• L'Éternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous. Ésaïe 53. 6

    Christ a souffert pour vous… Lui qui n'a pas commis de péché… a porté nos péchés en son corps sur le bois. 1 Pierre 2. 21-24

    Là où le péché abondait, la grâce a surabondé. Romains 5. 20

     

    Si vous insultez un passant ou un automobiliste, le plus souvent, les conséquences en sont minimes… Si vous insultez votre patron, vous aurez des ennuis. Si vous insultez en face une personne chargée d'une mission de service public, c'est plus grave, et vous n'échapperez pas aux sanctions. Les conséquences de l'insulte dépendent donc, généralement, de l'importance de la personne insultée, et de votre situation vis-à­-vis d'elle.

    Or le péché constitue une insulte à l'égard de Dieu, Celui qui est au-dessus de tous, même au-dessus de l'univers. N'est-ce pas extrêmement grave ?

    On a dit : “Il n'y a pas de petit péché, parce qu'il n'y a pas de petit Dieu”. Si le péché vous paraît peu de chose, c'est que vous ne connaissez pas Dieu. Plus vous réaliserez sa grandeur, sa sainteté et son amour, plus le péché vous fera horreur…

    Vous n'avez sans doute pas conscience d'insulter Dieu, ni l'intention de le faire. Mais savez-vous que le simple fait de vivre comme bon vous semble, sans tenir compte de lui, est un péché ? Oserez-vous affirmer que vous cherchez toujours à faire la volonté de Dieu ? Non ? Vous êtes donc pécheur…

    Personne n'est parfait, et Dieu fera preuve de grâce, pensez-vous. Certes, Dieu est plein de grâce envers le pécheur qui se repent, mais il ne traite jamais le péché à la légère. C'est pourquoi Jésus a pris notre place pour subir le jugement de nos fautes. Sa croix proclame, haut et fort, la terrible gravité du péché, mais aussi l'immense amour du Dieu Sauveur qui pardonne à tous ceux qui croient en Jésus.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien." Psaumes 139.14

     

    Dave et moi avons une petite-fille de huit ans qui est en tout point comme moi. Je veux dire par là qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche ! Aussi ses parents l'aident-ils à gérer ce problème. Il faut que vous sachiez que ma fille me donne régulièrement des nouvelles de ses enfants. Un matin, alors qu'elle était en désaccord avec sa propre fille, elle lui dit : "Je veux que tu arrêtes de me manquer de respect." Ma petite-fille lui répliqua : "Et toi, je veux que tu arrêtes de m'énerver !"

    La Bible dit que nos épreuves produisent l'endurance, la persévérance et la patience...

    Ce qui est amusant, c'est qu'à l'école ce jour-là, la leçon portait sur la maîtrise de soi. En rentrant le soir, ma petite-fille dit à sa mère : "Tu sais quel est le problème de tous les hommes ? C'est leur langue !" Mais il ne lui était pas venu à l'esprit qu'elle-même avait besoin d'aide dans ce domaine.

    Il est facile de rire d'une telle anecdote lorsqu'elle concerne une enfant de huit ans. Mais si nous voulons être honnêtes avec nous-mêmes, nous avons nous aussi des problèmes de comportement que nous devons régler.

    Une des meilleures choses que vous puissiez faire est de vous interroger régulièrement sur votre attitude. Par exemple, comment réagissez-vous quand on n'agit pas comme vous le voulez ? Ou lorsqu'un autre obtient ce que vous auriez aimé, ou encore que quelqu'un essaie de vous reprendre ?

    La Bible dit que nos épreuves produisent l'endurance, la persévérance et la patience (Jacques 1.2-3). Mais généralement, dans un premier temps, elles produisent l'impatience, la jalousie et la colère. Heureusement, par la puissance du Saint-Esprit, nous avons tout ce dont nous avons besoin pour ne plus être esclaves de nos émotions.

    Voyez-vous, lorsque nous sommes nés de nouveau, Dieu nous donne le fruit du Saint-Esprit dans sa totalité, y compris l'amour, la paix, la patience et la maîtrise de soi. Il faut simplement que nous apprenions à l'utiliser.

    Une partie du temps que je passe avec Dieu, je le consacre à me rencontrer moi-même – à dresser l'inventaire de mes pensées et attitudes, parce que je veux être libre. Il n'est pas question que je continue à porter ces fardeaux pesants. Nous devons nous poser des questions comme : "Suis-je susceptible ?", "Quel est le temps que je passe réellement dans la Parole ?", "Et celui que je consacre à essayer de rendre les autres heureux ?"

    Mon changement d'attitude a rendu ma vie infiniment meilleure et ouvert la porte à toutes sortes de bénédictions. Et je veux vous encourager à appliquer la Parole de Dieu à votre vie, parce qu'elle sera une source de bénédictions pour vous aussi.

    Une action pour aujourd'hui

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • "Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous préparer une place." Jean 14. 2

     

    27 mai 2015. Paris. Crypte du Panthéon, sur la montagne Sainte-Geneviève. C'est là que se trouvent les catafalques des personnages que la Nation veut particulièrement honorer. Quatre cercueils font leur entrée, ceux de quatre héros de la Résistance qui ont grandement œuvré contre l'invasion nazie des années 40. Le Président de la République achève son discours sur ces mots : « Pierre Brossolette, Geneviève De Gaulle Anthonioz, Germaine Tillion, Jean Zay, prenez place, ici c'est la vôtre ! »

    Cette expression rappelle à chaque chrétien qu'il a aussi une place qui lui est réservée... sans avoir été un héros pour qu'elle lui soit attribuée ! Ce n'est pas lui qui a fait quelque chose de méritoire pour l'obtenir, son Sauveur a tout fait !
    Peu de temps avant d'être conduit au supplice pour se charger de son péchés, les faire siens et entrer dans la mort, Jésus annonce à ses disciples, et à travers eux à tous ceux qui croient en lui, qu'il prépare pour chacun d'eux une place que personne ne peut leur arracher.
    Les quatre Résistants susnommés n'avaient pas demandé d'entrer au Panthéon, mais c'est leur activité pour la Patrie qui fait que la République les honore. Parmi les enfants de Dieu dont la place est prête dans le ciel, certes il y a des héros de la foi, des martyrs qui ont laissé leur vie pour Christ, des réformateurs qui ont réveillés les consciences, mais il y a aussi nombre d'anonymes que Dieu connaît. Tous ont répondu à cette promesse qui renferme l'Évangile dans toute sa richesse : "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé" (Act. 16. 31). Leur entrée dans les demeures célestes n'en est pas moins acquise et leur place assurée pour l'éternité.
    Qui accueillera chaque croyant ? Le Seigneur de gloire lui-même ! Que leur dira-t-il ? "Bien, bon et fidèle esclave ; tu as été fidèle en ce qui est peu, je t'établirai sur beaucoup : entre dans la joie de ton maître" (Matt. 25. 21). Quel moment pour chaque croyant quand le Seigneur lui montrera sa place réservée avec ce mot : "entre dans la joie de ton maître" ! Quel moment pour notre Sauveur et Seigneur qui alors "verra du fruit du travail de son âme, et sera satisfait" (Es. 53. 11).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Pour moi, vivre, c'est Christ, et mourir, un gain. Philippiens 1. 21

    Le Christ… est notre vie. Colossiens 3. 4

     

    Qui a écrit cette parole étonnante ? C'est un prisonnier, l'apôtre Paul, alors qu'il était incarcéré à Rome. Il risquait la mort, et pourtant il n'était pas inquiet. Il savait que la mort était un passage qui le conduirait dans la présence de Jésus. Cette déclaration reposait sur le fait que Paul faisait pleinement confiance aux promesses de Dieu.

    En écrivant : “vivre, c'est Christ”, Paul affirmait que Jésus Christ était la source, le sens et le but de sa vie. Et son affirmation prend toute sa signification quand on la met en relation avec les paroles mêmes de Jésus. Citons-en quelques-unes :

    “Celui qui croit en moi n'aura jamais soif”. “L'eau que je lui donnerai sera en lui une fontaine d'eau jaillissant en vie éternelle”. “Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie”. “Je suis le chemin, et la vérité, et la vie” (Jean 6. 35 ; Jean 4. 14 ; Jean 8. 12 ; Jean 14. 6).

    Si nous les recevons, ces paroles de Jésus viennent nous toucher au plus profond de nous-mêmes. Elles répondent à notre quête de sens, à notre soif de vie, et nous apportent la paix. Telle a été l'expérience de nombreux chrétiens depuis le début du christianisme jusqu'à aujourd'hui. Sœur Emmanuelle disait : “Ma joie de vivre, c'est l'amour – l'amour du Christ –, cette relation que Dieu m'a permis d'avoir avec lui, et avec son Fils bien-aimé, depuis l'âge de douze ans, et qui me porte. Cette relation quotidienne m'a fait comprendre le sens de la vie.”

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions." Jacques 4.3

     

    Je suppose qu'il vous est arrivé de dire à vos jeunes enfants, qui demandaient quelque chose : "Je n'entends pas", non parce que vous étiez sourds, mais parce qu'ils demandaient mal. Il manquait les mots magiques : "S'il te plaît" ou "merci". Dans ce verset, Jacques nous dit qu'il peut nous arriver également de demander mal. Non seulement parce que nous n'emploierions pas des formules de politesse, mais parce que nous ne demanderions pas avec de bonnes motivations.

    Apprends-moi Seigneur à prier selon ta volonté.

    Un chrétien, désireux de voir les païens des pays lointains être sauvés, commença à prier pour leur salut en ces termes : "Seigneur, sauve les païens". Au bout d'un certain temps, il s'est aperçu qu'il demandait à Dieu de faire, sans que les croyants s'impliquent. Alors il modifia le contenu de sa requête, et pria en disant : "Seigneur envoie des missionnaires, afin qu'ils évangélisent les païens, et que ceux-ci se convertissent".

    Par la suite, il continua de prier, mais en se sentant lui-même responsable. Il commença à dire : "Seigneur, si tu n'as personne qui soit prêt à aller, alors me voici disponible pour aller". En persévérant dans la prière, il changea encore sa requête en disant : "Seigneur, tu sais que je désire sincèrement que les païens soient sauvés, si je ne suis pas celui que tu veux pour les évangéliser, s'il te plaît, choisis-en un autre".

    Finalement il pria en disant : "Seigneur, envoie qui tu voudras envoyer, et si quelqu'un est appelé mais n'a pas les ressources financières pour partir, je veux prendre part à son soutien, sans que mon nom figure sur la liste des donateurs, la seule chose que je désire, c'est que les païens te connaissent". 

    Nous observons comment la forme et l'esprit de la prière ont évolué chez cet homme. Que s'est-il passé ? Il s'est rendu compte, qu'il demandait mal. D'abord il demandait à Dieu de faire, alors que Dieu nous a dit : "Allez". Ensuite il s'est aperçu qu'il demandait que d'autres fassent, mais pas lui. Quand il l'a remarqué, il s'est impliqué lui-même, mais avec un léger sentiment d'être l'homme de la situation. Enfin il s'oublie totalement, tout en s'impliquant, et la modestie, l'amour, le don de soi, sont les motivations qui sous-tendent sa prière.

    Une prière pour aujourd'hui

    Apprends-moi Seigneur à prier selon ta volonté, avec des sentiments et des motivations qui t'honorent. Amen !

     
    Source (La Pensée du Jour)
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