• "Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ta sagesse. Reconnais-le dans toutes tes voies et il aplanira tes sentiers" Proverbes 3.5-6

     

    Avez-vous remarqué qu'il n'est pas facile de décrire les sentiments de peur ou d'angoisse ? En combien d'occasions ont-ils pris le pas sur votre foi ?
    Vous reconnaissez-vous dans le récit qui suit ?

    Avec Dieu, vous avez un appui solide...

    Un homme hésitait à traverser le Mississippi au crépuscule, à l'époque de la conquête de l'Ouest américain. Le fleuve était gelé, et l'homme ne connaissait pas l'épaisseur de la glace ; il s'y engagea pourtant. Mais en rampant, de manière à répartir son poids sur la glace, il avançait péniblement.

    Il était arrivé au milieu du fleuve, lorsqu'il vit un chariot rempli de charbon, attelé à quatre chevaux, le traverser aisément. Il comprit alors que si la glace pouvait supporter un tel poids, il n'avait pas à craindre de se mettre debout et de franchir à pied la distance qui le séparait encore de l'autre rive. Il était maintenant tout à fait confiant.

    Ne vivez plus dans la crainte, car Jésus vous appelle à lui faire entièrement confiance.

    Regardez autour de vous, tous ceux qui se sont fondés sur la parole de Dieu et qui ont expérimenté la solidité de ses promesses ! Considérez leurs vies. Ne sont-elles pas des témoignages vivants de la fidélité de Dieu ? 

    Avec lui, vous avez un appui solide, et vous pouvez lui faire confiance pour toute la traversée de votre vie.

    Un engagement pour aujourd'hui

    Seigneur, je ne veux plus m'appuyer sur ma propre sagesse. Aujourd'hui, je prends l'engagement de faire un pas de foi supplémentaire avec toi en te reconnaissant dans toutes mes voies, malgré les circonstances difficiles dans ma vie, car c'est toi qui aplanis mes sentiers.

     
    Source (La Pensée du Jour)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Des hommes de Ninive se lèveront, lors du jugement, face à cette génération, et la condamnation, car ils se sont repentis à la prédication de Jonas, et voici, il y a plus que Jonas. Une reine du midi se lèvera, lors du jugement, face à cette génération, et la condamnera, car elle vint des bouts de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon." Matthieu 12. 41, 42

     

    La nation d'Israël avait au milieu d'elle un prophète plus grand que Jonas et un roi plus grand que Salomon.

    Les habitants de Ninive se sont repentis à la prédication du prophète Jonas qui, pourtant, annonçait le jugement et la destruction de leur ville.
    Si ces païens se sont repentis en entendant les paroles d'un prophète désobéissant, combien plus les Juifs auraient-ils dû croire en la personne, les œuvres et l'enseignement de Jésus qui apportait la grâce de Dieu à son peuple. Combien il surpassait Jonas ! Mais ils ont refusé de se repentir.
    La sagesse de Salomon était remarquable, reconnue dans les pays voisins, mais elle est peu de chose devant la sagesse divine manifestée en Christ qui "nous a été fait sagesse de la part de Dieu, et justice, et sainteté, et rédemption" (1 Cor. 1. 30). Il est lui-même "la sagesse de Dieu" (v. 24).
    Le Fils de Dieu est merveilleusement grand, plus que tout ce que l'on peut imaginer, plus que tous ceux à qui on a voulu le comparer. Pourtant on l'a vu sur la terre sous l'aspect d'un homme humble, pauvre extérieurement, mais tellement riche de cœur. Lors de son passage sur la terre, il prend volontairement la dernière place, s'approche des humbles. S'il rencontre des malheureux, des malades, des victimes de Satan, il sympathise avec eux, les guérit, les délivre. Il ne possède rien. Pour sa subsistance, il dépend de quelques femmes qui "l'assistaient de leurs biens" (Luc 8. 3). Quand les hommes mettent les mains sur lui, il ne résiste pas.
    Quand ils le condamnent avec la plus grande des injustices, il ne proteste pas. Quand on le met en croix, il supporte toutes les marques de mépris et d'insolence. Quel abaissement pour le Fils de Dieu, mais en même temps, quelle grandeur incomparable !
    Oui, il y a en Christ plus que Jonas, plus que Salomon, infiniment plus !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Moi-même je ferai paître mes brebis… dit le Seigneur, l'Éternel. La perdue, je la chercherai, et l'égarée, je la ramènerai. Ézéchiel 34. 15, 16

    Quel est l'homme parmi vous qui, s'il a 100 brebis et en a perdu une, ne laisse les 99 au désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait trouvée ? Luc 15. 4

     

    Ce soir-là, la grande salle où l'évangile est prêché est pleine. Une petite fille, sans qu'on sache pourquoi, s'éloigne de sa mère. Quand celle-ci s'en aperçoit, c'est l'affolement. Elle se met à la recherche de la petite, interrogeant les uns et les autres, mais sans résultat. Finalement elle fait part de son angoisse au prédicateur qui annonce au micro : “Une maman a perdu sa petite Marie. Qu'elle vienne tout de suite vers nous”.

    Pas d'écho, personne ne répond. On finit par retrouver l'enfant, assise tranquillement sur un banc. Sa maman lui demande : “Pourquoi n'as-tu pas répondu quand on t'appelait ? – J'ai cru qu'on cherchait une autre Marie. Moi, je n'étais pas perdue.”

    Ils sont nombreux ceux qui ressemblent à cette petite Marie ! Dieu les cherche, mais ils pensent que l'appel n'est pas pour eux. Ils lisent dans l'évangile que le Seigneur Jésus est venu chercher et sauver ce qui était perdu (Luc 19. 10) et ils ne répondent pas parce qu'ils n'acceptent pas le fait qu'ils sont perdus. L'apôtre Paul déclare que Christ est mort pour des impies, des pécheurs, des ennemis de Dieu, alors ils se récrient: nous ne sommes pas de ceux-là. Ils sont pourtant perdus s'ils croient pouvoir se présenter devant Dieu sans avoir été purifiés de leurs péchés par le sang de Christ.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Tout Israël entendit parler du jugement que le roi avait prononcé ; et ils craignirent le roi, car il voyait que la sagesse de Dieu était en lui pour faire justice." 1 Rois 3. 28

     

    La sagesse de Salomon s'exerçait dans tous les domaines : la jurisprudence (1 Rois 3. 28), l'administration (4. 29 ; 5. 7), les sciences naturelles (4. 33), l'architecture et les travaux publics (5. 1-7 ; 9. 15-22), le commerce (9. 26 à 10. 29), la philosophie (Ecc. 2. 3), l'horticulture (Ecc. 2. 5). En voici trois exemples :

    - Le verset du jour fait allusion au célèbre jugement de Salomon à propos des deux prostituées qui se disputaient un nouveau-né. Elles portent leur différent devant le roi, mais comment découvrir la vraie mère sur la base de leurs seuls dires contradictoires ? Salomon propose un test qui révélera les sentiments de la nature humaine, l'instinct maternel et la jalousie. Il suggère de sacrifier l'enfant ce qui fait réagir la vraie mère : "Ah, mon seigneur ! Donnez-lui l'enfant vivant, et ne le tuez point... (l'autre proposait de le partager). Et le roi répondit et dit : Donnez à celle-là l'enfant qui vit... c'est elle qui est sa mère" (1 Rois 3. 26, 27).
    - Aux confins du monde d'alors, la reine de Sheba entend parler de la "renommée de Salomon en relation avec le nom de l'Éternel et elle vint pour l'éprouver par des énigmes" (1 Rois 10. 1). Surprises par sa grande sagesse, elle s'exclame : "Tu surpasses en sagesse et en prospérité la rumeur que j'en ai entendue. Heureux... ceux-ci, tes serviteurs, qui entendent continuellement ta sagesse !" (v. 8).
    - Dans les relations avec les États voisins, Salomon manifeste cette même sagesse. Pour la construction du temple, Salomon va utiliser les talents des Phéniciens qui étaient renommés pour leur habiletés artisanale.
    Il demanda donc au roi Hiram de lui fournir du bois de cèdre et des experts pour le travailler. En compensation, Hiram recevra blé et huile en abondance. Comme Hiram tenait à entretenir avec Salomon les bonnes relations qu'il avait eues avec David, il accepte cette demande et reconnaît la sagesse de son interlocuteur : "Béni soit aujourd'hui l'Éternel qui a donné à David un fils sage, sur ce grand peuple !" (1 Rois 5. 7).
    Nous n'avons pas la sagesse et l'intelligence de Salomon, mais nous pouvons honorer notre Dieu en lui restant fidèles jusqu'au bout. Que toutes nos compétences et nos dons puissent être utiles aux intérêts du royaume de Christ !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • (Jésus a dit) : Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. Luc 21. 33

     

    Un médecin me raconte : Ma mère priait beaucoup pour moi ; elle ne perdait jamais l'espoir qu'un jour je me tournerais vers Dieu. Mais dès ma première année d'études, je me suis rapidement détourné de ce qu'elle m'avait appris. Ma manière de vivre m'a amené à vendre des choses dont je n'avais pas absolument besoin, entre autres la Bible que ma mère m'avait donnée quand j'avais quitté la maison.

    Plus tard, j'ai exercé la médecine dans un hôpital, et j'y ai rencontré toutes sortes de souffrances et de misères. Parfois je me trouvais par hasard en contact avec de vrais croyants, et je ne pouvais alors m'empêcher de penser à ma mère et à mon passé.

    Un jour, un patient atteint d'une grave maladie a été admis à l'hôpital. Son état était sans espoir ; lui-même se savait condamné. Mais j'ai été singulièrement frappé par l'expression heureuse de son visage, alors que je savais qu'il souffrait de douleurs intolérables.

    Cet homme n'avait pas de parenté, et après son décès, on a fait l'inventaire de ses biens en ma présence. L'infirmière m'a montré une Bible. Quel choc pour moi quand j'ai reconnu la Bible que ma mère m'avait donnée ! Mon nom y figurait encore, de même qu'un verset écrit de sa propre main.

    Son dernier propriétaire avait beaucoup lu cette Bible, de nombreux passages étaient soulignés. Cette découverte m'a laissé une impression profonde. Tout à coup, j'ai vu ma vie de péché défiler devant moi. Je n'ai pas eu de repos avant d'avoir accepté Jésus Christ comme mon Sauveur et mon Seigneur.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire