• "Je te célèbrerai de ce que j'ai été fait d'une étrange et admirable manière. Tes œuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très bien." Psaume 139. 14

     

    « Le cœur humain fonctionne avec quatre soupapes : deux à droite et deux à gauche. De chaque côté, la synchronisation est parfaite : lors de la contraction du cœur, la soupape de sortie s'ouvre pendant que la soupape d'admission se ferme. Cela cent mille fois par vingt-quatre heures, des milliards de fois dans une vie !

    L'anatomie de la valve mitrale, soupape d'admission à gauche, peut faire croire en Dieu. En effet, comment ne pas admettre l'existence d'un créateur en contemplant cette petite mécanique si parfaite, si admirablement adaptée au but qu'elle poursuit : faire circuler le fluide de vie ? Comment imaginer que le hasard ou la nécessité seuls aient pu réunir et ajuster tant de composants, tant de minuscules détails formant un ensemble aussi éblouissant ? Chacune des parties, chacun des composants de la valve mitrale est mathématiquement ciselé pour s'intégrer à un tout complexe...
    La valve mitrale est faite de deux voiles fixés en haut sur une sorte d'anneau fibreux, et en bas, du côté du ventricule, car une centaine de cordages.
    Aucun frottement au passage de huit mille litres de sang par jour, l'ouverture est totale par écartement des voiles. La fermeture est presque brutale, liée au changement de régime de pression avec affrontement des deux portions de la valve, retenues par la tension soudaine des cordages de longueur et d'épaisseur inégales.
    La moindre altération d'un des composants entraîne une fuite à chaque battement. »
    Ainsi s'exprime le Professeur Alain Deloche, mondialement connu comme chirurgien cardiaque, co-fondateur de « Médecin du monde » et fondateur de l'association « La Chaîne de l'espoir ».
    La valve mitrale n'est pas le seul organe du corps humain dont on peut admirer la parfaite adaptation à l'ensemble dont il fait partie. Pensons à la perfection de l'oreille interne ou de l’œil et à leur liaison avec le cerveau. Avec l'intelligence que Dieu nous a donnée, chaque approfondissement de nos connaissances du corps humain nous conduit à admirer davantage la sagesse infinie de notre Créateur.
    Mais il y a plus : Dieu nus a créés à son image pour nous introduire dans sa proximité et nous faire connaître son amour et "l'amour du Christ qui surpasse toute connaissance" (Eph. 3. 19).
     

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité et la vie ; nul ne vient au Père si ce n'est par moi. Jean 14. 6

     

    Dans la région de Dundee, sur la côte écossaise, la tempête se déchaîne. La marée est haute et les vagues se brisent avec violence contre les piliers de fer qui soutiennent le pont de cheminement de fer au-dessus de l'estuaire du Tay. On entend soudain le bruit de l'express en provenance de Londres. Le convoi ralentit puis s'arrête juste avant le pont ; le conducteur hésite il espère que celui-ci sera assez solide pour résister au double effort de la mer en furie du poids du train. Mais les passagers sont presser d'arriver ; le mécanicien remet la vapeur, le train repart... et c'est la catastrophe ! En quelques secondes, il n'y a plus ni pont ni train.

    Cet accident c'est produit il y a très longtemps dans la nuit du 28 au 29 décembre 1879. Tous les passagers avaient espéré que le pont était solide. Ils se sont trompés et ont tous péri, tant le mécanicien que ceux qui lui avaient fait confiance.

    Dans le voyage de la vie, bien des gens désirent arriver au ciel, mais placent leur confiance en un conducteur qui les mènent sur un pont lus précaire que celui du Tay. Ils disent : "J'ai lu dans tel livre, ou j'ai écouté tel orateur affirmer qu'on peut compter sur le "bon Dieu". Il m'accueillera de toute façon ; j'ai été baptisé et j'ai toujours fait de mon mieux. J'espère bien..."

    Ne vous contentez pas d'un vague espoir, c'est trop dangereux. Mettez votre confiance en Jésus Christ. "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a pas non plus sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés" (Actes 4. 11, 12).

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Quelqu'un parmi vous est-il malade ? Qu'il appelle les anciens de l'Église, et que les anciens prient pour lui, en l'oignant d'huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficacité." Jacques 5.14-16

     

    En tant que jeune pasteur, j'ai souvent commis l'erreur de privilégier l'apparence extérieure au détriment de l'être intérieur. Souvent, je n'arrivais pas à prier. Et si je lisais la Bible, c'était uniquement dans l'optique de préparer un sermon.

    Pour compenser un stress sévère et un vide intérieur grandissant, je tournais mes pensées vers le sexe opposé. Dieu me garda de la chute morale mais plus d'une fois, je conçus l'adultère dans mon esprit. Même si j'ai suivi une longue formation pastorale, personne ne m'avait appris la redevabilité, c'est-à-dire le fait de rendre des comptes à quelqu'un de manière délibérée. Je n'avais personne à qui me confier.

    Il n'y a pas de mal à être vrai, authentique, transparent et vulnérable. Bien au contraire !

    Tous les chrétiens risquent de tomber dans ce même piège de sauver les apparences sans régler les véritables problèmes intérieurs.

    Jamais plus je ne voudrais vivre en ayant seulement l'apparence de la vie chrétienne. Il n'y a pas de mal à être vrai, authentique, transparent et vulnérable. Bien au contraire !

    Je suis rassuré par le fait que le roi David, qui avait échoué de manière lamentable par un adultère et un meurtre, soit appelé “homme selon le cœur de Dieu”. Comme lui, vous pouvez prier : “Oh Dieu, crée en moi un cœur pur, renouvelle en moi un esprit bien disposé.” (Psaume 51.10)

    Un homme selon le cœur de Dieu est-il un homme parfait ? Non. C'est un homme vrai ! Que se passerait-il si nous acceptions de devenir vulnérables ? La grâce de Dieu aurait toute la place pour agir !

    Une action pour aujourd'hui

    À quand remonte la dernière fois où vous avez confessé vos péchés à quelqu'un ? C'est, selon la Parole de Dieu, la porte ouverte à la guérison divine. Vers qui pourriez-vous vous tourner aujourd'hui pour trouver une oreille attentive ? 

    Source (La Pensée du Jour)

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  • "Souvenez-vous de la loi de Moïse, mon serviteur, que je lui commandai en Horeb pour tout Israël , - des statuts et des ordonnances." Malachie 4. 4

    "Si quelqu'un pense être prophète ou spirituel, qu'il reconnaisse ce que je vous écris est le commandement du Seigneur." 1 Corinthiens 14. 37

     

    "La Loi a été donnée par Moïse" (Jean 1. 17). Lorsque l'Éternel rappelle ce fait à Israël dans son oracle transmis par Malachie, pratiquement mille ans se sont écoulé depuis le don de la Loi. Ce faisant, l'intention de Dieu n'est pas de se limiter à évoquer la pérennité de la Loi, mais d'en mettre en évidence l'origine de la nature : la Loi émane de son autorité, il l'a commandée. Elle ne consiste pas en un énoncé de pieuses intentions dont la poursuite serait désirable, mais en "statuts et en ordonnances" à observer.

    En outre, la Loi est donné, pour "la nation tout entière", "pour tout Israël" (Mal. 3. 9 ; Deut. 5. 1).), "peuple, hommes et femmes, et enfants" (Deut. 31. 11). Personne n'échappe à la Loi d'obédience divine, qu'il vive en Israël, dans les nombreuses colonies juives établies du Nil à l'Euphrate ou en Asie mineure comme en Grèce.
    Peut importe que mille ans se soient écoulés depuis "Horeb" (nom du Sinaï dans le Deutéronome), qu'Israël errant dans le désert soit désormais établi sur la terre promise, que le tabernacle ait été remplacé par le temple ; la volonté de Dieu pour le rétablissement du peuple est aussi absolue que précise : "Souvenez-vous de la loi de Moïse... des statuts et des ordonnances". Les circonstances ni le temps ne peuvent altérer les fondements du témoignage établis par Dieu lui-même.
    Au XXIe siècle, arrivés "à la fin du temps" selon Jude 18, nous pourrions avoir tendance à estimer que ce que l'Esprit a dicté aux différents apôtres relativement au témoignage chrétien, tant personnel que collectif, n'est plus adapté au mode de vie actuel. Ce serait une dangereuse méprise.
    Aussi l'apôtre Paul nous prévient-il (second verset du jour). Car, après avoir minutieusement signalé aux Corinthiens (comme à nous-mêmes) ce qu'ils devaient rectifier dans leur église et l'ordre à y respecter, Paul conclut : "ce que je vous ai écrit est le commandement du Seigneur". Sous la Loi, comme sous la grâce, Dieu définit sa volonté pour que notre témoignage soit à sa gloire. Honorons-le !
     

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Enfants, obéissez à vos parents en toutes choses, car cela est agréables dans le Seigneur. Colossiens 3. 20

    Honore ton père et ta mère (c'est le premier commandement avec promesse), afin que tu prospères et que tu vives longtemps sur la terre. Éphésiens 6. 2, 3

     

    Cherchons aujourd'hui ce que Dieu attend des enfants dans une famille chrétienne. Pour ceux qui sont encore jeunes, il leur demande en premier lieu d'obéir à leurs parents. Enfants qui lisez ces lignes, si vous voulez plaire au Seigneur Jésus, rappelez-vous qu'en obéissant à vos parents vous ferez quelque chose qu'il appréciera.

    Bien sûr vous allez grandir, prendre de plus en plus d'autonomie ; vos parents ne vous donneront plus d'ordre, ils ne déciderons plus pour vous. Et vous aurez peut-être le sentiment qu'ils ne sont plus "à la page", qu'ils ont de la difficulté à vous aider dans un monde qui change si vite. Tenez compte cependant des conseils de Salomon, l'homme le plus sage de tous les temps : "Écoute, mon fils, l'instruction de ton père, et n'abandonne pas l'enseignement de ta mère", ou encore : "Toi, mon fils, écoute et soit sage... Écoute ton père qui t'a engendré, et ne méprise pas ta mère quand elle aura vieilli" (Proverbes 1. 8 ; 23. 19, 22).

    Puis viendra peut-être le temps où vous serez des adultes chargés d'occupations multiples. Malgré tout, n'oubliez pas vos parents. Ils aurons "vieilli", soyez leur soutien moral. Ils aurons perdu des forces, sachez les aider ou les faire aider pour des tâches qu'ils ne peuvent plus faire seuls. Leur mémoire aura des défaillances, ne les accablez pas. Tout se résume en cette phrases : "Honore ton père et ta mère".

    Souvenons-nous que c'est Dieu qui a instauré le cadre et le contexte de vie de la famille, et appliquons-nous, à tout âge, à y tenir le rôle qu'il attend de nous.

    Source (La Bonne Semence)

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