"Fais appel à moi et je te répondrai. Je te révélerai des réalités importantes et inaccessibles, des réalités que tu ne connais pas." Jérémie 33.3

De tout temps l’être humain a cherché à connecter avec le divin pour recevoir des faveurs, des réponses, la paix, etc. et ce, par la prière, le jeûne, les sacrifices... Lequel d’entre nous peut dire qu’il n’a jamais lui aussi désiré connaître son avenir ? La raison pour laquelle tel ou tel malheur lui est arrivé ? Cette aspiration n’est pas condamnable en soi. Dieu sait "de quoi nous sommes faits". Mais la Bible nous donne des directives bien précises concernant cette recherche.

Avant tout, nous adresser à la bonne porte. Ne cédez pas à la tentation d’aller voir des médiums quand le Seigneur ne répond ni par "les rêves" ou "les prophètes". (1 Samuel 28.6) Ce fut le cas de Saül et son impatience lui a coûté sa perte. La Parole de Dieu condamne toutes formes d’occultisme sans appel. (Lévitique 20.6 - Deutéronome 18.10-12) La "bonne porte", c’est Jésus ! 

"Le Seigneur nous promet que si nous le cherchons, nous le trouverons."

Le Seigneur nous promet que si nous le cherchons, nous le trouverons. Encore faut-il le chercher de tout notre cœur. (Jérémie 29.13)

Quand mon fils Joseph est passé par une crise existentielle au point de remettre tout le sens de sa vie en question, je lui ai répondu que s’il était déterminé et sincère dans sa quête de Dieu, Dieu répondrait présent. Et c’est ce que le Seigneur a fait ! 

Dans le secret, le jeûne et la prière mais sans tomber dans la tentation de vouloir "manipuler" Dieu et "lui forcer la main". (Ésaïe 43.3)

Avec humilité : Dieu est Dieu et même s’il se plaît à révéler ses plans à ses serviteurs (Amos 3.7), il peut aussi parfois n’en révéler qu’une partie ou même choisir de garder le silence.

Avec patience : Dieu n’est pas un distributeur automatique de bonbons ! On aura beau taper du pied, comme un enfant gâté, on ne pourra pas jamais presser Dieu de parler. Il nous appelle à nous tenir devant lui - et parfois dans le silence - avant de recevoir la révélation. (1 Rois 19.11 - Habacuc 2.1) 

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, je veux te chercher toi d’abord, ta présence, avant d’aspirer à tes révélations. Car, de toute façon, "c’est dans ta lumière que je vois la lumière." Et dans ce processus, garde mon cœur de toute déviance. Amen.

Catherine Gotte Avdjian

Source (La Pensée du Jour)

Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère Dieu reste au contraire sur lui. Jean 3. 36

Sur le pont d'un navire, une dame distribuait des tracts évangéliques. Un homme qui en avait reçu un, y jeta un coup d’œil rapide. Quand il vit de quoi il s'agissait, il le déchira en morceaux, qu'il jeta par-dessus bord. Il vit avec satisfaction que le vent les faisaient tourbillonner et les emportaient dans l'eau.

Le soir, alors qu'il retirait ses vêtements dans sa cabine, il aperçut un tout petit bout de papier qui était resté collé à sa veste. C'était un morceau du tract, il portait juste deux mots : "Dieu, éternité", un sur chaque face.

Deux mots seulement, mais qui l'empêchèrent de s'endormir ! Ils passaient et repassaient en boucle dans sa tête. Il but un verre de cognac pour se détendre, mais en vain...

Dieu... Il faut compter avec lui, qu'on le veuille ou non.

L'éternité... Quel mot menaçant ! Combien la vie qui lui restait à vivre était courte, comparé à l'éternité ! Ne devait-il pas considéré sérieusement la question ?

Nous ne savons pas pendant combien de temps ces deux mots remuèrent la conscience de cet homme. Un jour, cependant, il entendit l'évangile de Jésus Christ venu sur la terre afin de réconcilier des coupables avec le Dieu saint et leur apporter la vie éternelle. Il reçut la bonne nouvelle par la foi, et trouva la paix pour sa conscience, et la joie pour son coeur.

Source (La Bonne Semence)

“Mon serviteur réussira. Il grandira et gagnera en importance, il sera très haut placé. Tout comme beaucoup ont été horrifiés en le voyant, tant son visage été défiguré, tant son aspect était différent de celui des humains.” Ésaïe 52. 13, 14

Selon des critères humains universels, la courte vie de Jésus est un échec ! “Il n'avait ni beauté ni splendeur  propre à attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire” (Es. 53. 2). Un échec parce qu’il n’avait pas une prestance remarquable, parce qu’il n’a pas construit d’édifice ou de château, parce qu’il n’a pas mené de campagne militaire glorieuse… Il est mort par le supplice horrible et infamant de la crucifixion, condamné, rejeté par tous, abandonné par ses disciples et même renié par l’un d’eux. Le monde n’aime pas voir le malheur, mais ce sont les propres malheurs des hommes que Jésus exposait sur la croix. Le monde préfère entendre de belles histoires qui satisfont sa convoitise, qui finissent bien et surtout qui ne lui demandent pas de réfléchir ou de se remettre fondamentalement en cause.

Pour le croyant, Jésus est le modèle : “Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un modèle” (1 Pi. 2. 21). Le modèle parce qu’il a été l’incarnation du bien au milieu du mal, l’homme juste au milieu des injustes. Il a laissé des traces sur la terre pour que nous puissions le suivre en posant nos pieds dans l’empreinte de ses pas ; il nous a frayé un chemin de lumière au milieu des ténèbres du monde. Modèle encore quand, homme sans péché et sans fraude, il endurait jour après jour “la contradiction des pécheurs contre lui-même” (Héb. 12. 3) ; quand il subissait le mépris et le rejet de ceux qu’il venait arracher à la mort et qu’il en ressentait une intense souffrance. Son chemin se termine à la croix mais la croix est le carrefour de l’histoire du monde. D’une part elle est la condamnation et le jugement de ceux qui rejettent Dieu et celui qu’il a envoyé ; d’autre part, elle est une source de vie pour quiconque croit et regarde à ce que Jésus a subi pour lui ; elle est aussi le début du chemin pour celui qui désire le suivre.

Échec pour le monde, modèle pour le croyant !… Et c’est bien au croyant de montrer au monde le modèle qu’il convient de suivre.

Source (Plaire au Seigneur)

"En lui nous avons été désignés comme héritiers, ayant été prédestinés suivant le plan de celui qui met tout en oeuvre conformément aux décisions de sa volonté." Éphésiens 1.11

La Bible dit : "L'Éternel donne la grâce et la gloire, il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité." (Psaume 84.12) Parfois il nous arrive de prier pour des choses que nous croyons bonnes pour nous. Mais Dieu, qui a un plan pour notre vie, sait ce qui nous convient ou non. 

L’épouse de Billy Graham a dit que si Dieu avait répondu à toutes ses prières quand elle était jeune, elle aurait déjà raté plusieurs mariages.

"Marcher par la foi veut dire avoir confiance dans le plan que Dieu a déjà établi."

Cette petite histoire prête à sourire. Deux larmes s’écoulent le long du fleuve de la vie. L’une demande : "D’où viens-tu ?" L’autre répond : "Je viens d’une fille qui a aimé un homme et qui l’a perdu. Et toi ?" La première larme dit : "Je viens de la fille qui l’a récupéré !" Ainsi va la vie, n’est-ce pas ? Nous pleurons sur ce que nous n’avons pas, sans réaliser que nous aurions pu pleurer deux fois plus si Dieu nous l’avait accordé.

"Marcher par la foi" veut dire avoir confiance dans le plan que Dieu a déjà établi et qu’il vous révélera au fur et à mesure en fonction des besoins. Paul a dit : "J’ai appris à être satisfait de ma situation." (Philippiens 4.11) Il est clair que son contentement ne venait pas de son environnement, vu qu’il avait passé plus de sept ans de son ministère en prison. Alors d’où venait-il ? De l’assurance que Dieu réalise toutes choses conformément à son plan. En comprenait-il chaque détail ? Non, mais lorsqu’il ne comprenait pas le plan, il faisait confiance à l’Architecte ! Voilà pourquoi Paul était en paix, joyeux et content. Vous pouvez faire pareil.

Un engagement pour aujourd’hui

Seigneur, je prends la décision de te faire confiance dans les plans que tu as établis pour moi, car tu veux mon bien ! Amen.

Bob Gass

Source (La Pensée du Jour)

"Tout bienfait et tout don parfait viennent d'en haut ; ils descendent du Père des lumières, en qui il n'y a ni changement ni l'ombre d'une variation." Jacques 1.17

Lorsque nous vivons des tragédies terribles, nous mettre en colère contre Dieu est une réaction assez commune. Les gens demandent souvent : "Si Dieu est bon, tout-puissant, et plein d'amour pour nous, pourquoi ne met-il pas fin à la souffrance ?" 

Dans ces moments là, Satan cherche à édifier un mur entre Dieu et la personne qui souffre. Il saisit cette opportunité pour dire : "Dieu n'est pas bon et on ne peut pas lui faire confiance."

Cependant, nous savons, d'après la Parole de Dieu, que la vérité ne se trouve pas en Satan - il est un menteur et le père du mensonge. Lisez Jacques 1.17. Tout ce qui est bon vient de Dieu qui est bonté et ne peut être autrement. De plus, il ne change pas d'humeur. Il est immuable. Il est bon, c’est sa nature. 

Il est évident qu'il n'arrête pas toujours les tragédies et honnêtement, nous ne savons pas toujours pourquoi les mauvaises choses se produisent. 1 Corinthiens 13.12 dit : "À présent, ma connaissance est limitée (imparfaite)..." Nous devons nous rappeler que la foi nous demande toujours d'accepter certaines choses sans comprendre et nous devons arriver au point où le fait de connaître celui qui sait et de placer pleinement notre confiance en lui nous satisfait pleinement.

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, peut-être que je ne comprends pas toujours pourquoi les mauvaises choses arrivent, mais je sais que tu es bon. Lorsque c'est le cas, je vais chercher et trouver mon réconfort en toi. Amen.

Joyce Meyer

Source (La Pensée du Jour)