• "Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que notre coeur parvienne à la sagesse !" Psaume 90.12

     

    Vous venez peut-être de "toucher le manteau de Jésus" pour recevoir une guérison et il vous a "touché(e)" en retour. Vous exultez et il y a de quoi ! Maintenant, qu’allez-vous faire ?

    Repartir dans le brouhaha de vos activités, comme si rien ne vous était arrivé ? Oublier Celui-là même qui vous a tant donné comme ces 9 lépreux que Jésus a guéris et qui n’ont même pas daigné le remercier en retour ?  (Luc 17.17)

    "Mépriser le don de Dieu" et retomber dans vos anciennes addictions, celles-là mêmes qui ont été à l’origine de votre maladie ? Je pense à un jeune drogué qui s’était converti et qui avait été guéri miraculeusement du sida. Un jour, il est parti "avec la caisse de l’église" ; il est "retourné à son vomi."   (Proverbe 26.11)

    Mal gérer ces années de "rab" pour lesquelles vous avez tant supplié comme le fit, jadis, le roi Ézéchias qui, après avoir vécu une vie remarquable, a chuté à la fin de ses jours ? "Que servirait-il à un homme de gagner des années de vie en plus, s’il perd son âme ?" (Marc 8.36)

    Ou "faire fructifier" votre guérison en vivant dans la louange, la sainteté, le respect de votre corps et en racontant la grâce extraordinaire que Dieu vous a accordée ? Mon amie Rita, atteinte de myasthénie, s’est retrouvée clouée à une chaise roulante. Un jour, touchée par la grâce, elle se lève et se met à danser ! Elle écrit plusieurs livres avec son mari et parcourt le monde entier pour témoigner de ce que Jésus a fait pour elle. (Marc 5.19) Des années plus tard, elle est de nouveau attaquée dans son corps avec une infection à la hanche et la mise en place d’une prothèse. On lui dit que, désormais, c’est la canne qui l’attend. Mais, elle continue de croire contre toute espérance. Aujourd’hui, à 72 ans, elle parcourt 20 km à pied chaque jour ! Elle fait partie d’un groupe international de marcheurs et témoigne - même à un prince du Moyen Orient ! - désormais par le biais du téléphone.  

    Une action et une prière pour aujourd’hui

    Écouter et adorer : https://www.youtube.com/watch?v=5m--ptwd_iI

    Comment ne pas te louer pour ma guérison ? Je ne veux pas être ingrat(e) ni mépriser ce don que tu m’as accordé mais le faire fructifier en m’appliquant à la sagesse et en racontant tes merveilles. Amen.

    Catherine Gotte Avdjian

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Le Dieu d'éternité est un refuge sous les bras éternels est un abri. Deutéronome 33. 27

    Oui, c'est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse : je ne serais pas ébranlé. Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge est en Dieu. Psaume 62. 7, 8

    Je me confierai en lui. Hébreux 2. 13

     

    Un randonneur imprudent, surprit par la nuit, est tombé d'une falaise. Pendant sa chute, il parvient à saisir une branche et y reste suspendu, haletant, plein d'angoisse, durant un temps qui lui paraît infini. Finalement, ses mains crispées lâchent prise. Disant un adieu désespéré à la vie,il se laisse tomber... Cinquante centimètres plus bas, ses pieds rencontrent le sol ! Il ne savait pas qu'il en était si près.

    Nous nous reconnaissons dans cet homme. Nous nous tourmentons, nous nous agitons, nous nous débattons, cherchant des solutions à nos problèmes. Nous oublions de faire confiance à Dieu, qui est si proche.

    On raconte que Luther se mettait le soir à la fenêtre et disait : "Mon Dieu, est-ce là mon propre monde ou le tient ? Est-ce mon Église ou la tienne ? Si c'est ton monde et ton église, je t'en prie, veille sur eux. Pour moi, je suis fatigué et je vais me coucher. À demain mon Dieu". Nous pouvons lire le Psaume 91 en pensant à nos peurs personnelles : "Il est mon Dieu, je me confierai en lui... Tu n'auras pas peur des frayeurs de la nuit, ni de la flèche qui vole de jour". Et ajoutons : ni chômage, ni de la retraite, ni de la maladie, ni du handicap, ni du cancer, ni de la guerre, ni de la mort... "Dans la détresse, je serais avec lui" et lui avec moi.

    Non, je ne craindrai rien. Ni Satan ni le monde,

    Ne peuvent le ravir des bras du bon Berger.

    Là je savoure en paix sa charité profonde ;

    Là je suis pour toujours à l'abri du danger.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Remets-nous nos dettes comme nous aussi nous remettons à nos débiteurs.” Matthieu 6. 12

     

    Cette parole de Jésus : “remets-nous nos dettes” se trouve dans la prière qu’il a enseignée à ses disciples. Ils connaissaient bien la notion de remise des dettes car cette disposition faisait partie de la Loi donnée par Dieu à Moïse. Elle stipulait la remise de toute dette existante chaque année du Jubilé (Lév. 25). Mais Jésus va plus loin. Il ne faut plus attendre le Jubilé (tous les 49 ans !) pour remettre la dette, il faut le faire… chaque fois que nous prions.

    Par les versets qui suivent, nous comprenons que les dettes que nous devons remettre sont plus que des dettes d’argent. Il s’agit de tout le mal qu’on a pu nous faire. Jésus nous parle du pardon comme d’une remise de dettes, un renoncement à exiger ce qui nous est dû. Dans le processus du pardon, cette étape — renoncer à réclamer justice — me semble incontournable et bienfaisante. Or la seule condition pour remettre une dette, c’est… qu’elle existe.

    Il est difficile de pardonner. C’est pourquoi, parmi les huit demandes qui composent la prière enseignée, c’est la seule que Jésus commente, si je peux dire ainsi, comme pour en souligner la motivation qu’elle requiert : “Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi ; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes” (Matt. 6. 14, 15). Il ne s’agit pas là, dans ce verset, du pardon à l’égard de la culpabilité engendrée devant Dieu par nos péchés — “Il nous a pardonné toutes nos fautes” (Col. 2. 13) — mais du pardon relatif aux conséquences pour notre vie sur la terre des péchés que nous avons commis, après les avoir confessés. Demander pardon à Dieu pour nos propres fautes ne peut donc s’inscrire que dans un esprit de pardon envers ceux qui nous ont offensés. C’est ainsi que, dans sa grâce, Dieu nous incite au pardon à l’égard de ceux qui nous ont offensés.

    Il y a un parallèle très touchant entre le pardon reçu et le pardon accordé. Que Dieu nous fasse grâce n’est que la moitié du don que nous recevons. L’autre moitié du don de Dieu, c’est que nous pouvons nous-mêmes faire grâce à l’autre, et ainsi être collaborateurs du Dieu de pardon, fils et filles de notre Père miséricordieux.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Et lorsque vous êtes debout pour prier, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez-lui afin que votre Père céleste vous pardonne aussi vos fautes." Marc 11.25

     

    Les offenses les plus difficiles à pardonner sont celles que nous infligent nos proches. Pourquoi ? Parce que nous devons vivre avec eux tous les jours ! Quand on est petit, les émotions sont si fortes que certaines blessures ne cicatrisent jamais. La souffrance est encore pire si l’agresseur fait partie de notre entourage. 

    . Une mère qui rejette son enfant au lieu de lui prodiguer son amour

    . Un père alcoolique auteur de violences ou d’abus sexuels

    "N’oubliez pas : Dieu ne vous pardonne que si vous pardonnez."

    Les victimes de ces horreurs peuvent continuer à éprouver de l’amertume et de la colère bien des années après les faits. Cette colère qui rejaillit peut conduire à faire du mal aux gens qu’on aime. Quelle est la solution ? Le pardon. 

    Archibald Hart définit le pardon comme "le fait d’abandonner mon droit de te blesser pour m’avoir blessé". Vos blessures ne peuvent guérir qu’à partir du moment où vous avez la maturité nécessaire pour pardonner à ceux qui vous ont blessé(e), qu’ils aient ou non demandé pardon. 

    Jésus dit : "Et lorsque vous êtes debout pour prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez-lui afin que votre Père céleste vous pardonne aussi vos fautes." (Marc 11.25) 

    N’oubliez pas : Dieu ne vous pardonne que si vous pardonnez. Vous dites : "Mais si je leur pardonne, ils ont le champ libre." Non, vous avez le champ libre ! Libre de la souffrance et de l’amertume, Dieu peut vous bénir. Laissez l’offenseur et l’offense entre les mains de Dieu. Lui seul sait ce qu’ils ont fait et pourquoi ils l’ont fait. Dites-vous seulement qu’il n’y a pas de guérison sans pardon.

    Une prière pour aujourd’hui

    Père, aide-moi à pardonner à tous ceux qui m’ont blessé(e). Je veux aller de l’avant avec toi et recevoir ma guérison en ce jour. Amen.

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre. Actes 1. 8

     

    Un évangéliste indien fut attaqué un jour par des malfaiteurs et traînés, les yeux bandés, jusque dans la jungle. Quand ils arrivèrent dans une clairière, on lui ôta le bandeau et il vit qu'une cinquantaine d'hommes campaient là. Le chef pointa un révolver vers lui et lui intima l'ordre de cesser de prêcher, lui reprochant de détourner ses semblables vers un dieu étranger, au lieu de combattre pour la libération de l'humanité. Sans crainte, l'évangéliste rendit témoignage à Jésus, le Fils de Dieu. Le chef lui rétorqua :

    - Je peux te tuer, et personne ne peut t'aider.

    - C'est vrai, tu peux me tuer. Mais j'ai une arme qui est plus puissante que ton révolver.

    - Vous ne l'avez pas fouillé ? demanda le chef à ses gens.

    - Si, et il n'a rien sur lui, répondirent-ils.

    - Je ne parle pas de ce genre d'arme, expliqua le chrétien. Et mon arme ne servira que lorsque tu auras tiré !

    - De quelle arme s'agit-il donc ? demanda le chef, incrédule.

    - Tu peux me tuer. Mais beaucoup de gens l'apprendront. Et ils diront : "La foi des chrétiens doit être solide, si un missionnaire est même prêt à mourir pour elle ! Et ainsi beaucoup de personnes vont croire en Jésus Christ. C'est cela mon arme".

    Le chef se mit à réfléchir. Il baissa finalement son arme et libéra l'évangéliste.

    Source (La Bonne Semence)

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