• "Je suis l’Éternel, celui qui te guérit." Exode 15.26

     

    Un des plus grands mensonges qui parcourent le monde est que la maladie est une punition envoyée par un Dieu vengeur.

    Si vous êtes malade dans votre corps ou dans votre cœur, sachez que Dieu ne se plaît pas à vous voir dans la peine, qu’il pleure avec vous et comprend tout ce que vous vivez ! La Genèse révèle que c’est à cause de la désobéissance d’Adam, et de sa descendance après lui, que la mort, la maladie et la souffrance touchent l’humanité. Le mal ne vient pas de Dieu mais du diable qui agit en ce monde.

    "Jésus s’est chargé de vos douleurs physiques, psychiques et spirituelles pour que vous en soyez libérés."

    Parlant du diable, Jésus déclare : "Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire ; moi je suis venu afin que les brebis aient la vie et qu’elles l'aient en abondance." (Jean 10.10)

    Que vos problèmes soient la conséquence de l’hérédité, d’un accident ou même de vos mauvais choix ou comportements - comme cela peut aussi être le cas - sachez que Jésus est le remède que Dieu a envoyé. Jésus s’est chargé de vos douleurs physiques, psychiques et spirituelles pour que vous en soyez libérés.

    Vous avez cette assurance que vous êtes guéri(e) lorsque vous vous approchez de lui. 

    L’été dernier, alors que nous assistions à une célébration dans une église de la Réunion, un jeune homme m’a apporté une parole de guérison très précise alors qu’il ne me connaissait pas. Or, j’étais sous antibiotiques pour une infection urinaire. Pourtant, dans les mois qui ont suivi notre retour en métropole, j’ai fait des infections à répétition. J’étais déçue. Le miracle attendu ne s’était pas opéré. 

    Et puis, cet été, nous avons emménagé à la Réunion. Pendant le voyage en avion qui dure onze heures, une nouvelle infection urinaire s’est brutalement déclarée. Quand on en a souvent fait, on sait qu’il faut très vite prendre le traitement. Mais bien sûr, impossible pendant un vol ! Je n’avais rien sous la main. J’ai alors rappelé à Dieu la prophétie que j’avais reçue l’année précédente sur l’île où nous partions nous installer ! Et l’infection, pourtant bien là, a disparu dans les quarante-huit heures et je n’ai eu besoin d’aucun médicament. Le miracle s’est produit !

    La guérison peut être progressive, instantanée ou décalée. Parfois, elle tarde ou même, elle ne vient pas. L’essentiel est de garder la foi, quoiqu’il arrive. Parce que Dieu ne vous délaissera jamais jusqu’à l’accomplissement de toutes ses promesses.

    Une déclaration pour aujourd’hui

    Seigneur, je déclare que tu es souverain, que tu es le Dieu de la guérison et de la restauration. Je te fais pleinement confiance car tu as le meilleur pour moi !

    Solange Raby

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Que la parole de Christ habite en vous dans toute sa richesse ! Colossiens 3. 16

    C'est pourquoi, rejetez toute souillure et tout débordement dû à la méchanceté, et accueillez avec douceur la parole qui a été plantée en vous et qui peut sauver votre âme. Mettez en pratique la parole et ne vous contentez pas de l'écouter en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. Jacques 1. 21, 22

     

    Certains hommes ont une très bonne mémoire : on prétend que Cyrus, le roi de Perse, se souvenait du nom de tous les soldats de son immense armée. Mais quelle que soit la capacité de notre mémoire, elle est bien souvent sélective. Nous comptabilisons et ressassons facilement nos frustrations et les déceptions de nos vies quotidiennes, alors que nous oublions vite nos propres fautes et les leçons que nous aurions dû apprendre ! Jésus en faisait le reproche à ses disciples : "Avez-vous encore le coeur endurci ? Vous avez des yeux et vous ne voyez pas ? Vous avez des oreilles et vous n'entendez pas ? Ne vous rappelez-vous pas ?" (Marc 8. 18). Il insistait : "Quand à vous, écoutez bien ceci" (Luc 9. 44), mettez-les en lieu sûr, comme on enfermerait ses bien dans un coffret, à l'abri des voleurs.

    Que la Parole de Dieu pénètre en nous, comme une semence dans une terre bien labourée, où elle peut s'enraciner profondément ! Pour cela, il faut faire l'effort de la lire, de la comprendre et de la retenir, jusqu'à ce qu'elle produise du fruit, des résultats dans notre coeur et dans notre vie.

    Peut-être quelqu'un dira : Je la lis, mais je ne retiens rien, comme un panier qu'on plongerait dans une rivière. Immergé, il est plein d'eau. Retirez-le : le voilà vide. Alors, continuez tranquillement de la lire, en vous souvenant que le panier, s'il ne retient pas l'eau... en ressort tout propre ! La Parole de Dieu a sa propre puissance en elle-même : elle opère en nous qui croyons (1 Thessaloniciens 2. 13).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Je leur ai alors dit : Vous voyez vous-mêmes la malheureuse situation dans laquelle nous nous trouvons : Jérusalem est en ruine et ses portes ont été réduites en cendres. Venez, reconstruisons la muraille de Jérusalem et nous ne seront plus dans le déshonneur ! Puis je leur ai raconté comment la bonne main de mon Dieu avait reposé sur moi et leur ai rapporté les paroles que le roi m'avait adressées. Ils ont dit : Levons-nous et mettons-nous au travail ! Et ils se sont fortifiés dans cette bonne décision.” Néhémie 2. 17, 18

     

    Néhémie a reçu un rapport alarmant sur la situation de Jérusalem. Touché par la misère de la ville de son Dieu, ce haut fonctionnaire demande à l’empereur perse la permission d’aller prêter main forte aux Juifs revenus de déportation. Il arrive à Jérusalem avec une forte escorte, digne de son rang, et un titre de gouverneur local assorti de documents officiels confirmant ses pouvoirs. Pendant trois jours, il reste tranquille, sans rien dire de ses projets. Puis une nuit, avec seulement quelques proches, il fait le « tour du propriétaire » pour constater les dégâts subis par la muraille.

    Comment maintenant faire prendre conscience de la gravité de la situation aux autorités en place — qu’elles soient religieuses (les sacrificateurs), sociales (les nobles) ou administratives (les chefs) — sans les vexer, mais en les associant dans son projet ? Il aurait été facile pour Néhémie d’arriver en conquérant, fort de son appel divin et de l’aide impériale. Il aurait eu des raisons de reprocher aux responsables en place leur inaction pendant tant d’années.

    Au contraire, Néhémie s’inclut tout de suite dans la situation locale (“nous sommes”) et les prend à témoin de la situation (“vous voyez”). Il est à la fois lucide (c’est “la misère, l’opprobre”) et constructif (“venez et bâtissons”). Il prend aussi le temps de raconter son cheminement personnel et la façon dont Dieu l’a conduit et lui a fait trouver faveur auprès du roi. Et la réaction de ses interlocuteurs est immédiate et positive : “Levons-nous et mettons-nous au travail”.

    Nul doute que cet exemple de comportement plein de délicatesse trouvera de multiples domaines d’application, dans notre vie de famille, dans nos relations professionnelles ou dans notre vie d’église locale. Si Dieu nous donne une vision, sachons trouver la façon de la faire partager à d’autres !

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Dieu s'oppose aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. Soumettez-vous donc à Dieu, mais résistez au diable et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu et il s'approchera de vous. Jacques 4. 6-8

    Humiliez-vous devant le Seigneur et il vous élèvera. Jacques 4. 10

     

    Sur un marché, un homme s'approche du stand biblique. Au cours de la conversation, je lui dit :

    - Savez-vous que Dieu pardonne à toute personne qui lui confesse ses péchés ?

    Je n'ai jamais rien fait de mal, répondit-il.

    - Jamais menti ? Volé ? Détesté ? Triché ?

    - Jamais !

    - Bravo ! vous devez être fier de n'avoir jamais péché !

    - Oh oui, vraiment très fier !

    - Eh bien, c'est cela votre premier péché : l'orgueil !

    Mon interlocuteur se met alors à rire.

    Pourtant l'orgueil n'est pas un petit péché. C'est la faute d'Adam et Ève qui ont voulu être comme Dieu. Et avant eux c'était aussi le péché de Satan, l'ange de lumière, qui s'est rebellé contre son Créateur : il a voulu être semblable à Lui, et être adoré comme un dieu (Ésaïe 14. 12-15).

    Il est dur d'admettre que l'orgueil est un obstacle infranchissable pour entrer en relation avec Dieu. "Tout ceux dont le coeur est orgueilleux font horreur à l'Éternel" (Proverbes 16. 5).

    Pourtant, Dieu ne demande qu'a nous pardonner si nous reconnaissons notre orgueil. Si sa Parole dit que nous sommes tels, ce n'est pas pour nous culpabiliser, mais pour :

    - nous aider à comprendre notre problème fondamental : "Il n' a pas de juste, pas même un seul : aucun n'est intelligent, aucun ne cherche Dieu" (Romains 3. 10-11).

    - nous aider à trouver le moyen par lequel il nous accorde un plein pardon : "Il fait grâce aux humbles". "En effet, c'est par la grâce de Dieu que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu" (Éphésiens 2. 8).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Les paroles du critiqueur sont comme des friandises : elles descendent au plus profond de l'être.” Proverbes 18. 8 ; 26. 22

     

    Quand on montre une « friandise », on voit les yeux des enfants briller et aussi… ceux de tous les gourmands ! Tout le monde, finalement, apprécie la saveur de certaines friandises, et parfois on s’en souvient assez longtemps.

    Les friandises dont parle Salomon sont les paroles de ceux qui disent du mal des autres et entretiennent ainsi des disputes (Prov. 26. 21). Si des paroles fâcheuses sont comparées à des douceurs pour le palais, c’est certainement pour attirer notre attention sur ce triste penchant naturel de les apprécier. Ayons le courage de le reconnaître !

    Certes, quand nous portons une attention bienveillante pour une personne, nous avons de la joie en entendant des informations positives à son propos (3 Jean 3, 4). Mais il arrive qu’on entende des informations soient imprégnées de mépris, de dénigrement, de moquerie, voire de calomnie. Si, au lieu de les rejeter vivement, nous leur portons intérêt, elles sont alors comparées à “ces friandises qui descendent jusque dans les entrailles”, jusque dans les profondeurs les plus intimes de notre être. Et quels dégâts peuvent-elles alors y produire ! Des souillures dont il faudra que l’Esprit de Dieu nous purifie.

    Salomon insiste en répétant deux fois ce verset : attention donc aux « rapportages » malveillants ! Ne les écoutons pas avec complaisance en leur manifestant un intérêt malsain, voire méchant !

    Ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de s’offrir mutuellement de telles « friandises », s’entretenir les uns les autres d’exemples qui nous stimulent ? Ne vaudrait-il pas mieux évoquer des personnes semblables à Onésiphore qui a souvent consolé l’apôtre Paul (2 Tim. 1. 16) ou comparables à Aquilas et Priscilla qui firent tant de bien dans toutes les villes où ils passèrent ? Et nous trouverions maints exemples de personnes dont les qualités, les capacités et les attitudes feraient de bons sujets de saines conversations.

    Enfants de Dieu, fuyons les friandises qui nourrissent le mépris, les colères, les querelles, les intrigues, les divisions (Gal. 5. 20). Portez vos pensées sur “tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est digne d'être aimé, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est synonyme de qualité morale et ce qui est digne de louange” (Phil. 4.8) : “Que votre parole soit toujours pleine de grâce et assaisonnée de sel” (Col. 4. 6).

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire