• Tout bienfait et tout don parfait viennent d’en haut ; ils descendent du Père des lumières, en qui il n’y a ni changement ni l’ombre d’une variation. Jacques 1.17

     

    Le mètre est la base de tout notre système métrique. Sa définition et sa valeur ont subi bien des variations. Variations historiques et variations physiques. Quand j’étais enfant, on m’a enseigné que le mètre était la dix-millionième partie d’un quart de méridien terrestre. Puis on s’est aperçu que les méridiens n’avaient pas la même longueur partout. Un objet matérialisait cette longueur de référence : le mètre-étalon, règle en platine iridié exposée au pavillon de Breteuil à Saint-Cloud. Malgré les qualités de ce métal et le soin apporté à sa conservation, sa longueur varie un peu avec la température. Depuis 1983, ces références ont été remplacées par « la longueur du trajet parcouru par la lumière dans le vide pendant une durée d’un 299 792 458ème de seconde ».

    À cause de ces hésitations scientifiques, certains en ont déduit que la vérité absolue n’existait pas. La majorité croit désormais que toute vérité est relative : « à chacun sa vérité ».

    Jésus, notre Maître, n’est pas une référence tirée de la création de Dieu. Les sciences des hommes sont faillibles, mais pas lui. Il est la référence initiale et ultime, absolue, la mesure de toute la création ! À nous d’être confondus et admiratifs ! À nous de chercher en lui notre modèle, et en ses paroles notre référence.

    Bernard Smagghe

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    Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 1, versets 11 et 12.

    1.11 Eux, ils disparaîtrons, tandis que toi, tu restes là. Ils vieillirons tous comme un vêtement.

    1.12 Tu les enrouleras comme un manteau, ils seront remplacés [comme un vêtement]. Mais toi, tu es toujours le même et ton existence n'aura pas de fin.

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  • Sachez que l’Éternel est Dieu, c’est lui qui nous a faits. Psaume 100.3

     

    Un automobiliste s’était arrêté au bord d’une route aux États-Unis. Il était près de minuit. Son moteur était tombé en panne. Qui viendrait à son secours à cette heure tardive ? Pourtant une voiture s’arrêta et son occupant, un monsieur fort bien mis, en descendit. Le premier automobiliste songea en lui-même :

    – Ce n’est pas ce gentleman qui pourra me sortir d’embarras.

    Mais l’inconnu insista :

    – Permettez-moi de regarder sous votre capot.

    En quelques instants il repéra la cause du contact défectueux et y remédia. Le moteur se remit en marche. L’automobiliste, se confondant en remerciements, demanda :

    – À qui ai-je l’honneur de parler ?

    Son interlocuteur lui tendit sa carte de visite, et il y lut : « Henry Ford, directeur général de l’entreprise de construction automobile Ford ». Tout s’expliquait : cet homme n’était autre que le créateur de la voiture. Il la connaissait mieux que personne…

    Il faut le reconnaître : notre monde, comme la vie personnelle de chacun, est en panne. Quelque chose ne tourne pas rond. Vers qui se tourner pour trouver un remède ? De qui attendre le secours ? Le plus qualifié n’est-il pas celui qui nous a créés et qui sait de quoi nous sommes faits : Dieu lui-même ! En Jésus-Christ, il est venu réparer ce qui était cassé dans le moteur de notre vie.

    Vous qui êtes en panne au bord du chemin de la vie, n’hésitez pas à faire appel à lui !

    Gilles Georgel

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    Lecture proposée : Psaume 107, versets 4 à 9.

    107.4 Ils erraient dans le désert, en chemin dans les lieux arides, sans trouver de ville où ils puissent habiter.

    107.5 Ils souffraient de la faim et de la soif ; leur âme était abattue.

    107.6 Dans leur détresse, ils ont crié à l'Éternel, et il les a délivrés de leur angoisse ;

    107.7 il les a conduit par un chemin bien droit, pour qu'ils arrivent dans une ville où ils puissent habiter.

    107.8 Qu'ils louent l'Éternel pour sa bonté et pour ses merveilles en faveur des hommes,

    107.9 car il a désaltéré les assoiffés, il a comblé de bien les affamés.

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  • Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : «Tout est accompli.» Puis il baissa la tête et rendit l'esprit. Jean 19.30

    Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié. Il est ressuscité, il n'est pas ici ! Jean 16.5

     

    Imaginez la joie qu’ont dû ressentir les femmes lorsqu’elles ont trouvé le tombeau vide ! La pierre a été roulée, le corps de Jésus n’y est plus. Il ne reste que les bandelettes, soigneusement pliées à l’endroit où avait été déposé le corps de Jésus.

    Attristées lorsqu’elles constatent que le corps n’y est plus, les femmes se demandent qui a bien pu le prendre. Deux personnages en vêtements resplendissants les rassurent et leur annoncent la bonne nouvelle de la résurrection de Jésus : Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est plus ici, mais il est ressuscité (Luc 24.5-6).

    Ne pouvant contenir leur joie, les femmes accourent prévenir les disciples qui seront témoins eux aussi de la résurrection de Jésus qui leur apparaît ensuite.

    Par la mort du Fils de Dieu, tout a été accompli pour notre salut. Grâce à sa mort et sa résurrection, nous avons accès auprès du Père céleste, et la victoire sur le péché devient une réalité. Maintenant, Dieu est réconcilié avec les hommes et les ténèbres ont laissé place à la lumière.

    Si nous croyons au Seigneur Jésus et à son sacrifice, à ce sang versé pour le pardon de nos péchés, nous serons sauvés et nous vivrons en nouveauté de vie.

    Sandra Lascombe

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 24, versets 1 à 12.

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  • Tous les athlètes s’imposent toutes sortes de privations, et ils le font pour obtenir une couronne qui va se détruire ; mais nous, c’est pour une couronne indestructible. 1 Corinthiens 9.25

     

    Je n’ai pas l’habitude de faire des pronostics sportifs, mais aujourd’hui, vous pouvez me croire : 100 % des médaillés aux Jeux olympiques se déroulant au Japon auront participé à une épreuve, sinon plusieurs. Ils se seront préparés pendant de longs mois, se privant de choses bien légitimes dans le seul but de gagner une ou plusieurs médailles. Nous les admirons, n’est-ce pas ? Et à cause de la gloire attachée à sa victoire, l’athlète médaillé ne regrette absolument pas les efforts et les privations qu’il s’est imposés.

    Sans dénigrer la gloire attachée aux médailles olympiques, reconnaissons qu’elle est éphémère. Sauf quelques exceptions, les champions sportifs sont assez vite oubliés, et leurs médailles n’intéressent plus que leurs proches. La Bible parle d’une autre gloire, éternelle celle-ci. L’apôtre Paul la compare à une couronne, l’équivalent à son époque d’une médaille. C’est la couronne de justice,que le Seigneur lui-même donnera à l’apôtre et à tous ceux qui, auront attendu avec amour sa venue (2 Timothée 4.8).

    Entrez donc dans la course ! Croyez au Seigneur Jésus-Christ qui a donné sa vie pour vous, et consacrez votre vie dorénavant à le servir. Sa promesse est incomparable, au-delà tout ce que nous méritons : la vie éternelle en sa présence.

    Allan Kitt

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    Lecture proposée : 2ème lettre à Timothée, chapitre 4, versets 6 à 8.

    4.6 Pour ma part, en effet, je suis déjà comme sacrifié et le moment de mon départ approche.

    4.7 J'ai combattu le bon combat, j'ai terminé la course, j'ai gardé la foi.

    4.8 Désormais, la couronne de justice m'est réservée. Le Seigneur, le juste juge, me la remettra ce jour-là, et non seulement à moi mais aussi à tous ceux qui auront attendu avec amour sa venue.

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  • Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, il produit les éclairs et la pluie, il tire le vent de ses trésors. Psaume 135.7

     

    Les sciences et la raison humaine aimeraient comprendre et expliquer ce qui nous entoure, ce dont nous sommes faits, ce que nous voyons et ce que nous ne voyons pas, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. De son côté, le croyant reçoit ce que Dieu dit et ce que la création exprime clairement à qui veut bien l’entendre. Comme le dit le psalmiste, les cieux racontent la gloire de Dieu (Psaume 19.1-2).

    Durant le nouveau et long épisode de sécheresse de cet été 2018, les hommes et les autorités sont démunis. Ils ne commandent pas la pluie, ils ne peuvent qu’espérer qu’un épisode pluvieux viendra les rafraîchir. Le souvenir de la canicule de 2003 en France reste présent dans tous les esprits, avec ses conséquences importantes sur les santés et tous les organismes fragiles. Les pouvoirs humains ne peuvent que gérer l’urgence, en s’adaptant aux circonstances. Mais comme ils sont limités pour faire face aux fortes températures et à la nouvelle sécheresse !

    Dieu est souverain ; il est tout-puissant pour maintenir la régularité du mouvement des astres, la beauté des saisons et la vie équilibrée sur la terre, comme pour avertir les hommes se prétendant sages et prévoyants ! Avec le psalmiste, sachons reconnaître sa puissance et avouer notre petitesse face à sa grandeur, sa force, sa bonté !

    Bernard Fourmont

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    Lecture proposée : Psaume 46, versets 1 à 11.

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