• Heureux l’homme dont la faute est effacée, et le péché pardonné ! Psaume 32.1

     

    Dire de quelqu’un qu’il est bon ou méchant est souvent subjectif : sur quels critères classons-nous ainsi les gens ? Ceux de notre éducation, de notre morale, de notre religion ou de notre milieu culturel ? Ceux de notre société ? Ceux que nous nous sommes forgés nous-mêmes ? Alors celui qui est bon pour l’un est méchant pour l’autre et inversement. Ou bien tout est-il question de dosage, le pourcentage de bonté et de méchanceté variant d’un individu à l’autre ?

    Du point de vue de Dieu, les choses sont bien plus claires : par nature nous sommes tous pécheurs, incapables de toujours faire le bien et donc des méchants face à sa justice ! Mais Dieu distingue entre celui qui reconnaît sa faute et lui demande pardon et celui qui s’y refuse. Dans un psaume, David dit de celui-ci : Le méchant n’a même pas peur de Dieu. Il se considère d’un œil trop flatteur pour reconnaître sa faute, et la détester (Psaume 36.2-3). Tout autre fut l’attitude de David : Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit: «Je reconnaîtrai devant l’Éternel les péchés que j’ai commis.» Alors tu m’as déchargé du poids de ma faute (Psaume 32.5). David put alors recevoir de Dieu le pardon et la réconciliation.

    Magnifique message de l’Évangile : si nous confessons nos fautes et croyons que Jésus en a payé le prix à notre place, alors Dieu nous déclare justes !

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Psaume 32.

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  • C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter. Éphésiens 2.8-9

     

    Une entreprise de produits alimentaires a introduit sur le marché une nouvelle préparation très simple pour réussir de bons gâteaux. Tout était dans la préparation, il suffisait d’ajouter un peu d’eau, verser la pâte obtenue dans un moule et le glisser dans le four. Vingt minutes plus tard, on pouvait déguster la merveille encore chaude. Mais le directeur a dû constater que c’était un échec commercial. Il a alors décidé de réintroduire le même produit avec une modification : il fallait y ajouter un œuf et de la crème. Le produit eut alors du succès dans tout le pays.

    Pourquoi sommes-nous ainsi faits ? Pourquoi avons-nous besoin d’ajouter quelque chose de nous-mêmes à ce qui est déjà achevé et parfait ?

    Nous voulons faire quelque chose, ajouter notre contribution au salut parfait accompli par Jésus-Christ. Mais cela ne sert à rien, nos bonnes actions ne nous sauvent pas du mal et ne nous améliorent pas. Personne ne peut se glorifier d’avoir contribué soi-même à se rendre irréprochable devant Dieu. Seule l’œuvre de Christ à la croix nos justifie ; acceptez-la pleinement sans rien ajouter ! Comptez sur lui seul pour votre salut éternel.

    Martine Fleck

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    Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 2, versets 4 à 10.

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  • Tout bienfait et tout don parfait viennent d’en haut ; ils descendent du Père des lumières, en qui il n’y a ni changement ni l’ombre d’une variation. Jacques 1.17

     

    Le mètre est la base de tout notre système métrique. Sa définition et sa valeur ont subi bien des variations. Variations historiques et variations physiques. Quand j’étais enfant, on m’a enseigné que le mètre était la dix-millionième partie d’un quart de méridien terrestre. Puis on s’est aperçu que les méridiens n’avaient pas la même longueur partout. Un objet matérialisait cette longueur de référence : le mètre-étalon, règle en platine iridié exposée au pavillon de Breteuil à Saint-Cloud. Malgré les qualités de ce métal et le soin apporté à sa conservation, sa longueur varie un peu avec la température. Depuis 1983, ces références ont été remplacées par « la longueur du trajet parcouru par la lumière dans le vide pendant une durée d’un 299 792 458ème de seconde ».

    À cause de ces hésitations scientifiques, certains en ont déduit que la vérité absolue n’existait pas. La majorité croit désormais que toute vérité est relative : « à chacun sa vérité ».

    Jésus, notre Maître, n’est pas une référence tirée de la création de Dieu. Les sciences des hommes sont faillibles, mais pas lui. Il est la référence initiale et ultime, absolue, la mesure de toute la création ! À nous d’être confondus et admiratifs ! À nous de chercher en lui notre modèle, et en ses paroles notre référence.

    Bernard Smagghe

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    Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 1, versets 11 et 12.

    1.11 Eux, ils disparaîtrons, tandis que toi, tu restes là. Ils vieillirons tous comme un vêtement.

    1.12 Tu les enrouleras comme un manteau, ils seront remplacés [comme un vêtement]. Mais toi, tu es toujours le même et ton existence n'aura pas de fin.

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  • Sachez que l’Éternel est Dieu, c’est lui qui nous a faits. Psaume 100.3

     

    Un automobiliste s’était arrêté au bord d’une route aux États-Unis. Il était près de minuit. Son moteur était tombé en panne. Qui viendrait à son secours à cette heure tardive ? Pourtant une voiture s’arrêta et son occupant, un monsieur fort bien mis, en descendit. Le premier automobiliste songea en lui-même :

    – Ce n’est pas ce gentleman qui pourra me sortir d’embarras.

    Mais l’inconnu insista :

    – Permettez-moi de regarder sous votre capot.

    En quelques instants il repéra la cause du contact défectueux et y remédia. Le moteur se remit en marche. L’automobiliste, se confondant en remerciements, demanda :

    – À qui ai-je l’honneur de parler ?

    Son interlocuteur lui tendit sa carte de visite, et il y lut : « Henry Ford, directeur général de l’entreprise de construction automobile Ford ». Tout s’expliquait : cet homme n’était autre que le créateur de la voiture. Il la connaissait mieux que personne…

    Il faut le reconnaître : notre monde, comme la vie personnelle de chacun, est en panne. Quelque chose ne tourne pas rond. Vers qui se tourner pour trouver un remède ? De qui attendre le secours ? Le plus qualifié n’est-il pas celui qui nous a créés et qui sait de quoi nous sommes faits : Dieu lui-même ! En Jésus-Christ, il est venu réparer ce qui était cassé dans le moteur de notre vie.

    Vous qui êtes en panne au bord du chemin de la vie, n’hésitez pas à faire appel à lui !

    Gilles Georgel

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    Lecture proposée : Psaume 107, versets 4 à 9.

    107.4 Ils erraient dans le désert, en chemin dans les lieux arides, sans trouver de ville où ils puissent habiter.

    107.5 Ils souffraient de la faim et de la soif ; leur âme était abattue.

    107.6 Dans leur détresse, ils ont crié à l'Éternel, et il les a délivrés de leur angoisse ;

    107.7 il les a conduit par un chemin bien droit, pour qu'ils arrivent dans une ville où ils puissent habiter.

    107.8 Qu'ils louent l'Éternel pour sa bonté et pour ses merveilles en faveur des hommes,

    107.9 car il a désaltéré les assoiffés, il a comblé de bien les affamés.

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  • Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : «Tout est accompli.» Puis il baissa la tête et rendit l'esprit. Jean 19.30

    Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié. Il est ressuscité, il n'est pas ici ! Jean 16.5

     

    Imaginez la joie qu’ont dû ressentir les femmes lorsqu’elles ont trouvé le tombeau vide ! La pierre a été roulée, le corps de Jésus n’y est plus. Il ne reste que les bandelettes, soigneusement pliées à l’endroit où avait été déposé le corps de Jésus.

    Attristées lorsqu’elles constatent que le corps n’y est plus, les femmes se demandent qui a bien pu le prendre. Deux personnages en vêtements resplendissants les rassurent et leur annoncent la bonne nouvelle de la résurrection de Jésus : Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est plus ici, mais il est ressuscité (Luc 24.5-6).

    Ne pouvant contenir leur joie, les femmes accourent prévenir les disciples qui seront témoins eux aussi de la résurrection de Jésus qui leur apparaît ensuite.

    Par la mort du Fils de Dieu, tout a été accompli pour notre salut. Grâce à sa mort et sa résurrection, nous avons accès auprès du Père céleste, et la victoire sur le péché devient une réalité. Maintenant, Dieu est réconcilié avec les hommes et les ténèbres ont laissé place à la lumière.

    Si nous croyons au Seigneur Jésus et à son sacrifice, à ce sang versé pour le pardon de nos péchés, nous serons sauvés et nous vivrons en nouveauté de vie.

    Sandra Lascombe

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 24, versets 1 à 12.

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