• Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre coeur. Hébreux 3.15

     

    Le plus souvent, c’est d’une manière, passive que nous « entendons », même ce qui se rapporte aux questions importantes. Cela ne peut porter bien loin, à moins moins qu’“entendre” se transforme en “écouter”… et que l’écoute soit moins qu’ «entendre » se transforme en « écouter »… et que l’écoute soit celle du cœur. Ne pas endurcir celui-ci, c’est cela. Mais pas seulement. Car on peut être touché, savoir même qu’une démarche s’impose et la reporter à plus tard.

    Si vous lisez ces lignes, ce n’est vraisemblablement pas la première fois que vous entendez ou lisez un commentaire relatif aux questions spirituelles, particulièrement à la relation au Créateur. Quel genre d’écoute accordez-vous à ces choses ? Peut-être y êtes-vous sensible, mais avez-vous reporté à plus tard la réflexion et les décisions qu’elle entraînerait. Tant de préoccupations vous mangent votre temps. Vous pensez : « On verra plus tard ! »

    C’est déjà çà. « Mieux vaut tard que jamais ». Ô Oui, sauf… que «plus tard» “plus tard” signifie souvent “jamais”, et que l’heure de la mort « plus tard » signifie souvent « jamais », et que l’heure de la mort n’est pas en notre pouvoir. Nous ne pouvons savoir s’il y aura un plus tard !

    Si vous êtes conscient d’avoir à prendre, vis-à-vis de Dieu, de justes décisions, c’est aussi à vous que s’adresse l’auteur de l’épître aux Hébreux, disant par trois fois : Si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur.

    Ne remettez pas à demain ce que vous avez à faire aujourd’hui !

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : Livre du prophète Ézéchiel, chapitre 33, versets 10 et 11

    33.10 Et toi, fils de l'homme, dit à la communauté d'Israël : Voici comment vous parlez : Nos transgressions et nos péchés pèsent sur nous, c'est à cause d'eux que nous dépérissons. Combien pourrions-nous vivre ?

    33.11 Dis-leur : Aussi vrai que je suis vivant, déclare l'Éternel, je ne prend pas plaisir à voir le méchant mourir, mais à le voir changer de conduite et vivre. Renoncez, renoncez à votre mauvaise conduite ! Pourquoi devriez-vous mourir, communauté d'Israël ?

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  • Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Genèse 1.27

     

    Les animaux forts mangent les faibles. Dans une même espèce, les dominants obtiennent tous les privilèges pour se nourrir, boire et se reproduire. Ils n’ont pas d’égard à l’égalité. L’instinct grégaire de certains ne procède pas de l’amour de l’autre, mais de l’intérêt. Il n’y a pas de justice ni de culpabilité dans le monde animal ; seule la survie compte.

    L’être humain n’est pas un animal évolué, comme certains le prétendent ! Sinon, pourquoi serait-il mal qu’un homme tue un autre, que le fort piétine le faible ? Qui nous dit que le génocide est une horreur et que la fraternité est bonne ? Notre intelligence supérieure n’y est pour rien. Autre chose nous différencie...

    Tout être humain possède une perception morale, un critère universel lui permettant de juger le bien et le mal. Certes, la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 a demandé de l’intelligence, mais le fond, la source de tout ça, procède d’une conscience morale qui dit qu’un choix vaut mieux qu’un autre...

    Entendons-nous cette voix intime qui nous dicte le bien ? Nous sommes des êtres uniques, appelés à aimer Dieu comme il nous aime, et à faire ce qu’il aime. Dieu a déposé en nous une projection de son tempérament. La Bible et notre conscience le confirment : nous sommes créés à son image !

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Livre de la Genèse, chapitre 1, versets 20 à 30.

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  • Vous tous qui avez soif, venez vers l'eau, même celui qui n'a pas d'argent ! Ésaïe 55.1

     

    Dans son récit Terre des hommes, Antoine de Saint-Exupéry, célèbre pilote disparu en Méditerranée avec son avion, raconte comment, une fois, il fut contraint d’atterrir en plein désert, le moteur de l’avion étant tombé en panne. Lui et son coéquipier marchèrent pendant des heures avant de rencontrer des Bédouins. Pressés par la soif, ils se mirent à boire l’eau qu’on leur offrit. Il écrivit plus tard: « Nous buvions à plat ventre, la tête dans la bassine. Eau, tu n’es pas seulement nécessaire à la vie, tu es la vie ! »

    Saint-Exupéry connaissait-il la Bible qui nous parle d’une autre soif, plus intense encore ? Celle de l’âme en quête d’éternité ! Le Psalmiste s’écriait : Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant (Psaume 42.2-3).

    Jésus a dit : Je suis la résurrection et la vie (Jean 11.25). Il a dit aussi : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein. Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui (Jean 7.37-39). Pourquoi refuser de croire en Jésus-Christ, le seul qui puisse étancher votre soif et vous donner la vie éternelle ?

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 55, versets 1 à 13.

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  • Dieu parle cependant, tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, et on ne le remarque pas. Job 33.14

     

    Le pasteur allemand Wilhelm Busch (1897-1966), touché par le malheur de Merle, un mineur qui a perdu l’usage de ses jambes dans l’éboulement d’une mine, décide de lui rendre visite.

    – Eh bien, où était ton Dieu quand les pierres me sont tombées dessus ? éructe Merle. Que le diable t’emporte avec toutes tes balivernes !

    Devant tant de colère, Busch repart sans dire un mot. Mais quelques mineurs chrétiens entourent Merle de leur amour et lui montrent la voie du salut en Jésus. Un jour, cet homme en détresse prend une grande décision : il confesse ses péchés et sa rébellion envers Dieu et reçoit la paix divine. Busch remarque combien il a changé.

    – Je sais à présent où j’irai lorsque je fermerai les yeux, explique Merle. Quand je me trouverai devant Dieu, je tomberai à ses pieds et je lui dirai merci de m’avoir brisé la colonne vertébrale.

    – Oh, que dis-tu là ? s’écrie Busch.

    – Si cela n’était pas arrivé, j’aurais continué sur une mauvaise voie, loin de Dieu, jusqu’en enfer. Dieu a dû employer les grands moyens pour me conduire vers son Fils, mon Sauveur. Cela a été dur, mais c’était pour mon salut éternel. Mieux vaut entrer au ciel estropié que de sauter en enfer avec les deux jambes valides.

    Oui, efforçons-nous de voir, au-delà de l’épreuve, l’appel de Dieu à venir à lui pour être sauvé et consolé.

    Françoise Lanthier

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 13, versets 1 à 5.

    13.1 À ce moment-là, quelques personnes qui se trouvaient là racontèrent à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mélangé le sang avec celui de leurs sacrifices.

    13.2 Jésus leur répondit : Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont subi un tel sort ?

    13.3 Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même.

    13.4 Ou bien ces 18 personnes sur qui la tour de Siloé est tombée et qu'elle a tuée, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ?

    13.5 Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même.

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  • Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière ! Car ta rosée est une rosée vivifiante, Et la terre redonnera le jour aux morts. Ésaïe 26.19

     

    Cet appel étonnant retentit de Jérusalem depuis 26 siècles !

    Un appel qui s’adresse à toutes les nations, à nous encore aujourd’hui ! Mais les morts peuvent-ils se réjouir ?

    Peu avant, Ésaïe avait annoncé l’anéantissement de la mort (Ésaïe 25.8). Ici, il annonce une résurrection certaine !

    Certes, la Bible raconte des récits de résurrection, et bien d’autres ont eu lieu ailleurs dans le monde. Mais ces ressuscités temporaires ont bien dû ensuite mourir un jour. Le seul qui soit ressuscité corporellement et qui soit toujours vivant, c’est notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. À la croix, il a vaincu pour toujours la mort et son aiguillon, le péché (1 Corinthiens 15.54-57).

    Si le sacrifice de Jésus est la plus grande preuve de l’amour de Dieu, la résurrection est la démonstration de sa puissance ! Elle est la signature ultime du Père sur le don de la vie parfaite du Fils qui s’est fait serviteur de nous tous. À nous d’adhérer à cette bonne nouvelle du pardon divin, offert gracieusement à celui qui vient à lui.

    S’il y a promesse de cris de joie pour ceux qui croient, Jésus enseigne aussi que pour les incrédules, le réveil sera fait de pleurs et d’amers regrets (Luc 13.27-28). Il est encore temps de choisir le bon passeport pour la vie éternelle !

    Reynald Kuffer

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    Lecture proposée : 1ère lettre aux Thessaloniciens, chapitre 4, versets 13 à 18.

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