• Vendredi 3 Mai 2024

    Les pharisiens sortirent de la synagogue et se concertèrent sur les moyens de faire mourir Jésus. Matthieu 12.14 Version Bible du Semeur

    Pourquoi tant de haine ?

    Jésus est unanimement reconnu comme un homme de paix et d’amour, l’incarnation de la douceur et de l’humilité. Il a encouragé à aimer son prochain comme soi-même, à répondre au mal par le bien... Tout au long de sa vie, il a fait le bien autour de lui, guérissant les corps et les âmes, redonnant leur dignité à des lépreux, des prostituées, des possédés...

    Il a refusé toute violence, toute ambition personnelle, toute hypocrisie, toute corruption. Il a été un modèle de vie juste.

    Alors pourquoi déjà de son vivant, a-t-il suscité autant d’hostilité et de haine ? Dès le début de son ministère public, les chefs religieux se sont opposés à lui, s’unissant pour comploter contre lui et le faire mourir. Cette opposition contre sa personne culmina quand, dans un simulacre de procès nocturne, les responsables juifs portèrent contre lui de fausses accusations et poussèrent le peuple et le gouverneur romain Pilate à le condamner au supplice de la crucifixion.

    Une seule explication à ce paradoxe : Jésus est venu affronter le Mal pour le vaincre par son sacrifice sur la Croix et sa résurrection. Le Diable et ses démons ont tout tenté pour l’empêcher d’aller au terme de sa mission. Quand en expirant Jésus dit : Tout est accompli (Jean 19.30), il proclame par là qu’il a remporté la victoire sur l’Adversaire de Dieu.

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 12, versets 9 à 14.

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  • Jeudi 2 Mai 2024

    Au milieu de l’abondance, nous ressemblons à des morts. Ésaïe 59.10

    Un monde moribond

    Ce terrible réquisitoire que Dieu inspira au prophète Ésaïe concernant Israël, peut aussi s’appliquer à notre époque. Car le chapitre concerne aussi la fin des temps, lorsque Jésus-Christ reviendra sur terre pour juger les nations. Au milieu de l’abondance nous ressemblons à des morts. Sommes-nous conscients du monde dans lequel nous vivons ?

    Au cours de l’histoire de l’humanité, sciences et techniques n’ont jamais été aussi développées. Envoyer un robot à des millions de kilomètres se poser sur la planète Mars est prodigieux. Mais nous sommes incapables de résoudre les brûlants problèmes de notre humanité, dont une grande partie vit dans la misère.

    Le constat est clair : Nous avons été coupables et infidèles envers l’Éternel. Nous avons abandonné notre Dieu, proféré la violence et la révolte, conçu et médité dans le cœur des paroles de mensonge... La vérité a disparu... L’Éternel voit d’un regard indigné qu’il n’y a plus de droiture (Voir lecture proposée). Que nous faudra-t-il pour comprendre que notre monde court à sa perte ?

    Toutes les couches de la société sont impactées par le péché : mensonges, corruptions, incestes, violences, touchent même nos élites. Si le jugement divin est proche, il n’est pas trop tard pour que chacun se repente et mette sa confiance en Jésus-Christ, le Sauveur de tous ceux qui croient en lui.

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 59, versets 1 à 15.

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  • Mercredi 1 Mai 2024

    Oui, il est vain de vous lever très tôt et de vous coucher tard, et de vous donner tant de peine pour gagner votre pain. Car Dieu en donne autant à ceux qui lui sont chers pendant qu’ils dorment. Psaume 127.2 Version Bible du Semeur

    Fête du Travail

    En 1793, Fabre d’Églantine institue la Fête du Travail le 19 septembre de chaque année. Après bien des péripéties, et d’églantines en muguets, le 1er mai devient enfin un jour chômé en France en 1941. Aboutissement de la longue lutte pour ne pas devoir travailler plus de 8h par jour.

    Alors fallait-il « fêter » le travail ? Certainement, car le précieux trésor d’un homme, c’est l’activité (Proverbes 12.27). La satisfaction de l’ouvrage accompli, la joie d’être utile, voilà qui nous comble.

    Mais, aujourd’hui n’oublions pas : c’est Dieu qui nous donne l’intelligence et les forces ! En effet, c’est la bénédiction de l’Éternel qui enrichit, et toute la peine qu’on se donne n’y ajoute rien (Proverbes 10.22). Tous nos efforts et nos travaux peuvent être sans lendemain, réduits à néant en un instant sans sa protection.

    Ce jour doit aussi nous rappeler que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sortira de la bouche de Dieu (Matthieu 4.4). Les ouvriers des années 1930 voulaient ne pas travailler plus de 8 h, pouvoir se reposer pendant 8 autres heures et avoir encore du temps pour “vivre”.

    Alors vivons, mais vivons vraiment ! Vivons avec Dieu, car de lui tout dépend !

    Albert Lentz

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    Lecture proposée : Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 3, versets 1 à 14.

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  • Mardi 30 Avril 2024

    Si malgré cela vous ne m’écoutez pas encore, je vous infligerai, pour vos péchés, une correction sept fois plus sévère. Lévitique 26.18 Version Bible du Semeur

    Avez-vous eu une bonne correction ?

    Je ne parle pas d’une bonne raclée, rassurez-vous ! Mais toute société se dote d’un arsenal de contraintes et de corrections, nécessaires à son harmonie. La Bible elle-même montre ce qu’est une vie qui plaît à Dieu et évoque clairement les sanctions prévues... pour corriger notre style de vie et notre manière de penser.

    Car voilà le secret des bonnes corrections : elles... corrigent ! Tout comme celle de notre vue par le biais de lunettes adaptées !

    Quand j’étais enseignant, j’attachais une grande importance à la correction d’un exercice par mes élèves. Leur corrigé devait révéler qu’ils avaient compris leurs erreurs et qu’ils y remédiaient. Sinon, il fallait procéder à... un corrigé du corrigé !

    Dans notre vie, nous faisons bien plus de fautes qu’un écolier dans ses exercices, car notre cœur nous pousse à rechercher notre plaisir plutôt que ce qui est juste et bon devant le Seigneur, souvent exclu de nos vies.

    Pour corriger notre vision égocentrique, Dieu se sert de nos souffrances et de nos échecs. Parmi ces contrariétés figurent aussi les conséquences néfastes de nos péchés. Dans notre détresse, une vraie conversion à notre Sauveur, puis les lunettes correctrices de l’étude de la Bible, transformeront notre vie. Alors, jouissez-vous d’une bonne correction ?

    Claude Schneider

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    Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 12, versets 1 à 11.

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  • Lundi 29 Avril 2024

    Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie. Colossiens 2.8

    Une nuit salutaire

    Dieu appelle chacun à se tourner vers lui et à le servir. Au 19ème siècle, les missionnaires américains Adoniram et Ann Judson ont fidèlement annoncé l’Évangile en Birmanie (l’actuel Myanmar), au sein de nombreuses souffrances. Voici comment Adoniram, élevé dans un foyer chrétien, a donné sa vie à Jésus-Christ.

    À l’université, il rencontra Jacob Eames, qui devint son meilleur ami. Celui-ci rejetait la Bible et ne croyait ni en Jésus-Christ comme Fils de Dieu, ni au paradis ni à l’enfer. À son contact, Adoniram devint aussi incroyant que lui.

    Un jour, il dut s’arrêter dans une auberge. La dernière chambre disponible jouxtait celle d’un jeune homme agonisant. Toute la nuit, Adoniram l’entendit gémir et crier : « Dieu, Dieu, perdu, perdu ! » Interpellé, il se dit : « Cet homme n’est pas prêt à mourir. Mais moi, le suis-je plus ? » Un flot de pensées le tourmenta cruellement.

    Le matin, l’aubergiste l’informa que le jeune homme était décédé. « Savez-vous qui il était ? » demanda Adoniram. « Oui, il s’appelait Jacob Eames. »

    Foudroyé par cette nouvelle, il réalisa que son meilleur ami était mort loin de Dieu, perdu pour l’éternité ! Il commença à lire la Bible et ses doutes s’estompèrent peu à peu. Il se convertit à Jésus-Christ et devint un homme nouveau, prêt à être utilisé par Dieu.

    Françoise Lanthier

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    Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 45, versets 18 à 25.

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