• Tous les athlètes s’imposent toutes sortes de privations, et ils le font pour obtenir une couronne qui va se détruire ; mais nous, c’est pour une couronne indestructible. 1 Corinthiens 9.25

     

    Je n’ai pas l’habitude de faire des pronostics sportifs, mais aujourd’hui, vous pouvez me croire : 100 % des médaillés aux Jeux olympiques se déroulant au Japon auront participé à une épreuve, sinon plusieurs. Ils se seront préparés pendant de longs mois, se privant de choses bien légitimes dans le seul but de gagner une ou plusieurs médailles. Nous les admirons, n’est-ce pas ? Et à cause de la gloire attachée à sa victoire, l’athlète médaillé ne regrette absolument pas les efforts et les privations qu’il s’est imposés.

    Sans dénigrer la gloire attachée aux médailles olympiques, reconnaissons qu’elle est éphémère. Sauf quelques exceptions, les champions sportifs sont assez vite oubliés, et leurs médailles n’intéressent plus que leurs proches. La Bible parle d’une autre gloire, éternelle celle-ci. L’apôtre Paul la compare à une couronne, l’équivalent à son époque d’une médaille. C’est la couronne de justice,que le Seigneur lui-même donnera à l’apôtre et à tous ceux qui, auront attendu avec amour sa venue (2 Timothée 4.8).

    Entrez donc dans la course ! Croyez au Seigneur Jésus-Christ qui a donné sa vie pour vous, et consacrez votre vie dorénavant à le servir. Sa promesse est incomparable, au-delà tout ce que nous méritons : la vie éternelle en sa présence.

    Allan Kitt

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    Lecture proposée : 2ème lettre à Timothée, chapitre 4, versets 6 à 8.

    4.6 Pour ma part, en effet, je suis déjà comme sacrifié et le moment de mon départ approche.

    4.7 J'ai combattu le bon combat, j'ai terminé la course, j'ai gardé la foi.

    4.8 Désormais, la couronne de justice m'est réservée. Le Seigneur, le juste juge, me la remettra ce jour-là, et non seulement à moi mais aussi à tous ceux qui auront attendu avec amour sa venue.

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  • Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, il produit les éclairs et la pluie, il tire le vent de ses trésors. Psaume 135.7

     

    Les sciences et la raison humaine aimeraient comprendre et expliquer ce qui nous entoure, ce dont nous sommes faits, ce que nous voyons et ce que nous ne voyons pas, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. De son côté, le croyant reçoit ce que Dieu dit et ce que la création exprime clairement à qui veut bien l’entendre. Comme le dit le psalmiste, les cieux racontent la gloire de Dieu (Psaume 19.1-2).

    Durant le nouveau et long épisode de sécheresse de cet été 2018, les hommes et les autorités sont démunis. Ils ne commandent pas la pluie, ils ne peuvent qu’espérer qu’un épisode pluvieux viendra les rafraîchir. Le souvenir de la canicule de 2003 en France reste présent dans tous les esprits, avec ses conséquences importantes sur les santés et tous les organismes fragiles. Les pouvoirs humains ne peuvent que gérer l’urgence, en s’adaptant aux circonstances. Mais comme ils sont limités pour faire face aux fortes températures et à la nouvelle sécheresse !

    Dieu est souverain ; il est tout-puissant pour maintenir la régularité du mouvement des astres, la beauté des saisons et la vie équilibrée sur la terre, comme pour avertir les hommes se prétendant sages et prévoyants ! Avec le psalmiste, sachons reconnaître sa puissance et avouer notre petitesse face à sa grandeur, sa force, sa bonté !

    Bernard Fourmont

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    Lecture proposée : Psaume 46, versets 1 à 11.

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  • Il s'engage sur une voie qui n’est pas bonne, il ne repousse pas le mal. Psaume 36.5

     

    Le verset que nous proposons à votre réflexion termine le portrait rapide que David brosse du méchant. Deux choses doivent être soulignées. D’une part, il a choisi une voie qui n'est pas bonne et s’y tient. C’est-à-dire qu’il n’a nul désir d’en changer. Tout le monde peut commettre des erreurs ou s’égarer sur une voie dangereuse. Mais le méchant s’y plaît et s’y installe.

    La deuxième caractéristique n’est pas moins significative. Nous sommes tous au contact du mal, souvent même environnés de toute part par les tentations que le Malin utilise pour nous perdre.

    L’homme droit reconnaît ces pièges et les évite. S’il vient à y tomber, il réclame du secours. Le méchant ne les repousse pas. Il les accueille et s’y complaît.

    Quelle est notre attitude ? Pour y répondre, il faut, évidemment, savoir de quoi l’on parle quand on utilise le mot « mal ». Pour beaucoup, est mal ce qui les blesse ou leur déplaît, en opposition au bien qui est ce qui leur fait plaisir. Il n’y a, alors, aucun repère. Et l’on peut changer à sa guise même les lois les plus légitimes et indispensables.

    Mais c’est là une escroquerie morale inexcusable. Le mal, c’est tout ce qui s’oppose à la volonté divine, à ce que Dieu demande. Le bien, c’est tout ce qui s’y conforme. Nul humain n’aura jamais la possibilité d’y changer quoi que ce soit.

    Dans quelle catégorie ces définitions me rangent-elles ?

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : Psaume 36.1-5

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  • Nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu'il est vraiment le Messie, le Sauveur du monde. Jean 4.42

     

    Entendre et savoir sont deux réalités différentes. Des Samaritains de Sychar crurent en Jésus à cause du témoignage étonnant d’une femme de leur village. Ils ont entendu. Puis, ce fut la nécessaire rencontre avec le Christ vivant. Ils ont alors dit à la femme : Ce n’est plus seulement à cause de ce que tu as dit que nous croyons, car nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu’il est vraiment le Messie, le Sauveur du monde (Jean 4.42).

    Tout d’abord, un témoignage : Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait ; ne serait-ce pas le Christ ? Puis l’irremplaçable rencontre avec le Christ lui-même. Ils ont alors pu dire : Nous savons ! La foi de ces Samaritains a pu dépasser la seule connaissance acquise par un témoignage individuel. Certes, celui-ci était important. Mais la foi qui ne dépend que du miraculeux, quel qu’il soit, manque de fondement, de solidité. La foi doit s’enraciner dans l’essentiel, c’est-à-dire dans le Christ lui-même, Fils du Dieu Sauveur, Parole faite chair.

    Chacun est appelé à entrer en relation personnelle avec Jésus-Christ, au moyen de sa Parole. Rien ne saurait remplacer la lecture de la Bible pour opérer cette rencontre. Elle seule nous permet de savoir avec certitude, non seulement ce que Jésus a fait, mais qui il est vraiment : le Messie promis par Dieu, le Sauveur du monde. Peut-être le croyez-vous ? Mais le savez-vous vraiment ?

    Yves Perrier

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 4, versets 27 à 42.

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  • La lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres. Jean 3.19

     

    Dans cette boutique de gadgets, il y a toujours des nouveautés. C’est l’évolution… technologeek ! Un objet m’intrigue. Sur l’emballage, ces mots : « brille dans l’obscurité ! » Tiens, c’est juste une… lampe de poche, tout ce qu’il y a de plus ordinaire !

    Je souris : et pourtant, c’est l’évidence. La lumière brille dans l’obscurité. C’est son job. Et j’écris :

    « Jésus est la lumière du monde. Mais le monde ne l’a pas reçu… », première surprise ! Le monde est-il mal informé ? Non, Jésus précise : « parce qu’il préférait les ténèbres à la lumière ! »

    La foi, c’est comme cette lampe de poche. À nous de nous en saisir. S’il lui fallait une notice :

    – Reconnaître qu’on est dans les ténèbres, loin de Dieu. C’est ça que la Bible appelle le péché.

    – Préférer la lumière. Accepter Jésus, la lumière du monde dans notre vie. C’est la conversion.

    – À nous de presser le bouton. Le déclic, c’est quand sa lumière met en fuite nos ténèbres. C’est si évident qu’on risque de passer à côté.

    Francis Schneider

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 1, versets 1 à 13.

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