• Tu as plus de sagesse et de prospérité que je ne l'avais appris par la rumeur. 1 Rois 10.7

     

    J’ai eu le privilège de visiter l’Éthiopie, un pays fascinant : beauté et diversité des paysages, faune et flore endémiques (existant uniquement dans cette région du monde !), patrimoine historique riche et dense. Au sein duquel l’épisode de la visite de la reine de Séba au roi Salomon à Jérusalem y laisse une trace indélébile.

    Cette souveraine n’hésita pas à se déplacer depuis l’extrême sud (le « Midi ») du monde connu d’alors, pour vérifier si ce qu’elle avait entendu dire au sujet de la sagesse proverbiale du roi d’Israël était une réalité. Elle fut non seulement subjuguée par ce qu’elle entendit, mais encore stupéfaite par le rayonnement de ce règne, marque de la bénédiction de Dieu sur son peuple.

    Cette reine en recherche, en quête de réponses aux questions qu’elle se pose, reflète ce que nous pouvons également ressentir. Elle ne se contente pas de la renommée de Salomon, mais elle ressent le besoin impératif de le voir et de l’entendre. Pour cela elle n’hésite pas à se déplacer pour le rencontrer. En pénétrant dans son intimité, elle découvre sa majestueuse aura.

    Jésus lui-même citera en exemple cet épisode. Pour faire remarquer à ses auditeurs qu’en fait lui-même représente bien plus que Salomon ! (Matthieu 12.42) De quoi nous stimuler pour nous inciter à découvrir avec sérieux ce que cela peut signifier.

    Guy Gentizon

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    Lecture proposée : 1er livre des Rois, chapitre 10, versets 1 à 9.

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  • Jésus leur dit : C'est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. Jean 6.35

     

    Un petit déjeuner pris sur une terrasse m’a permis d’observer un phénomène qui ne m’a pas laissé indifférent.

    Ayant remarqué quelques oiseaux se baladant dans les arbres, je n’ai pu résister au plaisir de leur envoyer par terre des miettes de pain. Quelle ne fut ma surprise en les voyant arriver au fur et à mesure de plus en plus nombreux pour prendre eux aussi leur petit déjeuner.

    Je ne puis m’empêcher de faire une relation avec le verset ci-dessus et de me poser cette question : Et nous, par rapport à la Parole de Dieu, sommes-nous aussi « voraces » que ces oiseaux ? Pouvons-nous dire comme le Psalmiste : Ô Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche. Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau (Psaume 63.2).

    Dévorons-nous la Bible comme nous devrions le faire ? Comme ces oiseaux qui se jettent sur le pain pour se nourrir afin de vivre, nous devons alimenter notre âme en permanence par les Saintes Écritures. Ne nous en privons donc pas : cette nourriture spirituelle gardera notre âme de la famine.

    José Pétrocchi

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 28-35.

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  • La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. Jean 17.3

     

    En cette période après la rentrée, alors que nous réfléchissons à nos emplois du temps et à l’organisation de notre quotidien, voici un sujet essentiel à aborder : notre relation avec Dieu. En abordant ce sujet, il est important de faire la différence entre connaître vraiment Dieu et savoir des choses le concernant. Parler de quelqu’un et être son ami intime sont deux choses bien différentes.

    On connaît tous des choses sur Dieu, peut-être certaines par cœur. Le connaître personnellement, c’est autre chose, et c’est cela la vraie relation. La relation avec Dieu repose sur certains éléments fondamentaux : sa Parole, la prière et la louange, et son Esprit en nous. Pour commencer, réfléchissons à ce que représente la relation et comment Dieu l’a voulue, car c’est essentiel. Jésus l’a affirmé dans le verset cité en en-tête, et le prophète Jérémie l’avait déjà dit : Que celui qui veut éprouver de la fierté mette sa fierté dans ceci : je fait d'avoir du discernement et de me connaître (Jérémie 9.23). Connaître vraiment Dieu, avec tout ce que cela implique, est l’enjeu vital de notre existence.

    Méditons donc aujourd’hui ces paroles de Jésus. C’est lui qui nous permet de connaître Dieu !

    David Kéhéyan

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    Lecture proposée : Évangile de Matthieu, chapitre 11, versets 25 à 30.

    11.25 À ce moment-là, Jésus prit la parole et dit : Je te suis reconnaissant, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents et les as révélés aux enfants.

    11.26 Oui, Père, je te suis reconnaissant car c'est ce que tu as voulu.

    11.27 Mon Père m'a tout donné, et personne ne connaît le Fils, si ce n'est le Père ; personne non plus ne connaît le Père, si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler.

    11.28 Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un fardeau, et je vous donnerai du repos.

    11.29 Acceptez les exigences et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos pour votre âme.

    11.30 En effet, mes exigences sont bonnes et mon fardeau léger.

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  • Tout comme le Père m'a aimé, moi aussi, je vous ai aimés. Jean 15.9

     

    Sur le parking d’un magasin, je rencontre une dame que j’avais perdue de vue. Nous échangeons quelques nouvelles, conscientes que les épreuves que nous vivons nous rapprochent. Lorsque je rejoins ma voiture, elle me lance : « Françoise, je t’aime ! ». Je lui rétorque avec un grand sourire : « Moi aussi ! ». Pensive, je m’adresse à mon Père céleste : « Seigneur, derrière ces mots si aimables, j’entends ta voix qui m’assure de ton amour pour moi. Merci ! ».

    Qui peut combler notre besoin d’amour inconditionnel, sinon Dieu ? L’amour divin est si incommensurable que l’apôtre Paul, dans la Bible, manque de mots pour le décrire. Il désire que ses lecteurs comprennent combien l’amour de Christ est large, long, élevé et profond (Éphésiens 3.18). La largeur de l’amour divin indique qu’il atteint tous les hommes sans distinction. Sa longueur démontre qu’il est éternel, sans commencement, ni fin, ni variation. Sa hauteur atteste qu’il est infini, qu’il s’élève plus haut que les cieux (Psaume 108.5). Sa profondeur, qu’il rejoint l’homme aussi bas qu’il est tombé.

    Cet amour qui surpasse tout ce que l’on peut imaginer, Dieu nous le révèle en son Fils Jésus. Cherchons donc à le connaître personnellement, car savoir que Dieu aime tous les hommes ne change rien dans notre vie. Mais savoir que Jésus m’aime jusqu’à avoir donné sa vie pour moi, cela change tout !

    Françoise Lanthier

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    Lecture proposée : Psaume 36.6-11.

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  • Cette parole est certaine et digne d'être acceptée sans réserve : Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver des pécheurs. Je suis moi-même le premier d'entre eux. 1 Timothée 1.15

     

    Le pasteur Charles Spurgeon (1834-1892) avait été invité à prêcher au Palais de Cristal de Londres, long de 564 mètres avec des nefs hautes de 39 mètres. Pour s’assurer que sa voix y serait entendue, il s’y rendit la veille avec un ami, qui s’assit au dernier rang. Du haut de l’estrade, Spurgeon prononça à voix forte le verset placé en tête de ce feuillet. Il répéta le même verset, cette fois sans forcer la voix. L’ami fit signe que l’acoustique était bonne, et Spurgeon rentra chez lui, rassuré.

    Vingt-cinq ans plus tard, un homme très malade cherchant un pasteur rencontra Spurgeon. Celui-ci lui demanda s’il était prêt à rencontrer Dieu. Le mourant répondit qu’il n’avait pas peur, que Jésus était son Sauveur. Spurgeon voulut savoir comment il avait trouvé le salut de son âme. L’homme lui dit : « Étant plombier, il y a vingt-cinq ans j’eus à faire une réparation sous la coupole du Palais de Cristal. En ce temps-là, je vivais sans Dieu. Tout à coup, j’entendis à deux reprises une voix comme venant du ciel : “Cette parole est certaine et digne d'être acceptée : Jésus-Christ est venu dans le monde, pour sauver les pécheurs”. Ces mots atteignirent ma conscience et mon cœur avec une force telle que le jour même, je me tournai vers le Seigneur Jésus Christ ».

    Jean-Louis Théron

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    Lecture proposée : 1ère lettre à Timothée, chapitre 1, versets 12 à 19.

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