• Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, est le Seigneur du ciel et de la terre, et il n’habite pas dans des temples faits par la main de l'homme. Actes 17.24

     

    À l’époque de l’apôtre Paul, la ville d’Athènes comportait de nombreux temples dédiés à une multitude de divinités. Paul y découvre même un autel à un dieu inconnu ! Rien de tout cela au 21ème siècle, me direz-vous. Quoique ? Régulièrement se tient dans mon village un salon de la voyance. L’ésotérisme, les différentes religions expriment le même besoin de spiritualité ; elles révèlent la faim et la soif spirituelles qui sont communes à tous les humains.

    Celui que vous révérez sans le connaître, dit Paul, c’est celui que je vous annonce. Mais inutile de lui construire un édifice ou un autel, car Dieu n’habite pas les temples construits par les hommes. Essayer de confiner Dieu dans un endroit, vouloir l’emprisonner dans un rite, une doctrine, c’est faire fausse route. Aujourd’hui comme hier, Dieu demeure largement insaisissable, et il ne se laisse pas non plus enfermer dans l’étroitesse de nos boîtes crâniennes. Non pas qu’il se cache à nous. Au contraire, toute la Bible nous raconte son projet de réinstaurer entre lui et nous une communication directe !

    Ce projet, il l’a mené à son terme en la personne de Jésus de Nazareth. Il est, lui, le Dieu incarné qui vient pour nous rencontrer, nous parler, nous éclairer, nous révéler l’amour de Dieu le Père.

    José Frédérick

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 4, versets 3 à 26.

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  • Mais en réalité, Christ est ressuscité, précédant ainsi ceux qui sont morts. 1 Corinthiens 15.20

     

    Le témoignage de notre foi en Jésus-Christ se heurte à quelques vives réactions. Les interlocuteurs les mieux disposés répondent de façon amicale. D’autres manifestent des attitudes quelquefois courtoises, mais parfois vives ou moqueuses. Proclamer que je crois à la résurrection future de tous les hommes a souvent provoqué la réponse : « Comment le savez-vous ? Personne n’en est jamais revenu. »

    Notre époque devient de plus en plus matérialiste, humaniste et superstitieuse. L’homme s’éloigne des affirmations simples et vraies du credo de nos parents ou grands-parents. Alors que la mort physique touche tous les hommes, les épitaphes dans les cimetières ne manifestent que très rarement l’espérance quant à l’âme.

    Parcourant récemment un petit cimetière communal normand, j’ai découvert avec reconnaissance sur la tombe d’une famille qui vécut jusqu’au début du 20ème siècle ce court message de foi : « Ils se sont endormis dans le Seigneur et ils attendent la résurrection. » En accord avec eux, je crois à la résurrection des morts, parce que Christ est les prémices de ceux qui sont morts. Si j’ai nié jusqu’à présent cette évidence, cela me dispense-t-il de réexaminer avec simplicité ce sujet solennel ?

    Bernard Fourmont

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    Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 10, versets 8 à 10.

    10.8 Que dit-elle donc ? La parole est tout près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or cette parole est celle de la foi, que nous prêchons.

    10.9 Si tu reconnais publiquement de ta bouche que Jésus est le Seigneur et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité, tu seras sauvé.

    10.10 En effet, c'est avec le coeur que l'on croit et parvient à la justice, et c'est avec la bouche que l'on affirme une conviction et parvient au salut.

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  • Les uns ont été convaincus parce qu'il disait, les autres n'ont pas cru. Actes des Apôtres 28.24

     

    Le musicien existentialiste John Cage, concepteur renommé de musique concrète, s’efforçait de produire des compositions créées… par le hasard. Ses œuvres traduisaient sa conception que ce monde n’avait pas besoin de créateur, car le hasard serait parfaitement capable de créer l’ordre et l’harmonie. Étant aussi un des meilleurs mycologues d’Amérique, il a confessé :

    « Je me suis rendu compte que si je cueillais les champignons dans les mêmes dispositions d’esprit que je compose ma musique, je mourrais à bref délai. Aussi ai-je décidé de procéder autrement.» (John Cage, dans le New Yorker du 26.11.1964)

    Quelqu’un se prétend incroyant ? En fait, cette personne croit au moins… qu’elle ne croit pas en un dieu. Et elle croit certainement plein de choses, car nul ne peut vivre en ne croyant en rien et en ne faisant confiance à personne. Mais… ce qu’on croit est-il bien réfléchi, ou n’est-ce qu’un paravent pour nous éviter de voir les choses en face ?

    Je suis toujours étonné de toutes les croyances irrationnelles qu’exposent des hommes qui se targuent d’être incroyants. Cela frise souvent la superstition.

    Ne voulons-nous pas au moins une fois dans notre vie sonder sérieusement les Écritures ? (voir Jean 5.24.) Nous y découvrirons la vie à laquelle nous aspirons au fond de nous-mêmes, et ce ne sera vraiment pas un hasard !

    Claude Schneider

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    Lecture proposée : 2ème lettre aux Corinthiens, chapitre 4, versets 1 à 6

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  • Si donc le Fils vous donne libère, vous serez réellement libres. Jean 8.36

     

    Jean-Paul a « pas mal roulé sa bosse » dans plusieurs régions de France en tant que magasinier. À Rouen son épouse et lui habitaient à 100 mètres d’une église évangélique. Son épouse s’y est rendue et a été attirée par la proclamation de la Parole de Dieu. Puis ils y sont allés ensemble. Tous deux furent touchés par la révélation de l’amour de Dieu à leur égard. Ils y ont répondu en plaçant leur confiance en Christ. « À l’époque, nous dit Jean-Paul, j’étais un gros fumeur. Je fumais un paquet de tabac à rouler par jour, au point d’en avoir la langue toute noire. Lors d’une réunion, le pasteur a dit : « Levez-vous, ceux qui sont malades… » Je me suis levé et j’ai alors senti une petite chaleur au-dessus du ventre, comme une main qui se posait sur moi. Depuis je n’ai plus fumé une seule fois, et cela fait maintenant 15 ans. J’en remercie le Seigneur grâce auquel je suis toujours en vie. Le docteur m’avait dit que sinon c’était la mort! »

    Depuis le décès de son épouse, Jean-Paul souffre de son absence. « Mais j’ai l’assurance qu’elle est au paradis et que je la rejoindrai un jour pour l’éternité. Depuis ma conversion je suis resté fidèle à Dieu et lui est resté fidèle à moi ! », assure-t-il.

    Jésus est vivant, il peut délivrer de l’esclavage du péché celui qui se confie en lui. Il peut le libérer de tout ce qui l’asservit.

    Bernard Grebille

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 8, versets 31 à 36.

    8.31 Alors il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples,

    8.32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre.

    8.33 Ils lui répondirent : Nous sommes la descendance d'Abraham et nous n'avons jamais été esclaves de personne. Comment peux-tu dire : Vous deviendrez libres ?

    8.34 En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répondis Jésus, toute personne qui commet le péché est esclave du péché.

    8.35 Or, l'esclave ne reste pas toujours dans la famille ; c'est le fils qui y reste pour toujours.

    8.36 Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres.

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  • L’aveugle jeta son manteau, et, se levant d’un bond, vint vers Jésus. Marc 10.50

     

    Bartimée était un homme aveugle qui mendiait sur un chemin de Jéricho. Un jour, il entendit un brouhaha qui enflait. Il apprit que c’était Jésus de Nazareth qui provoquait un attroupement.

    Depuis plusieurs mois, il entendait des rumeurs à son sujet (Jean 7.12). Les uns disaient : C’est un homme de bien. D’autres disaient : Non, il égare la multitude. Mais lui, à son approche, se mit à crier : Fils de David, Jésus, aie pitié de moi ! Ce titre de Fils de David signifie que Bartimée le considérait comme l’élu de Dieu dans la lignée royale d’Israël. Il reconnaissait en lui le Christ-Roi promis pour son salut comme le prophète l’avait annoncé (Ésaïe 61.1) : L’Éternel m’a consacré par onction pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux déportés la liberté, et aux prisonniers la délivrance. Les gens voulaient faire taire Bartimée. Mais il insista, et Jésus l’appela. Alors il se leva d’un bond en jetant son manteau de misère ! En réponse à sa foi, il recouvra la vue et suivit Jésus dans sa nouvelle vie…

    Si un non-voyant a reconnu Jésus comme le Fils de Dieu, nous qui disposons d’une bonne vue en lisant les évangiles, comment ne verrions-nous pas le Christ dans ces lignes ? Comme Bartimée dans notre cécité morale, saisissons l’opportunité du salut en Jésus !

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Évangile selon Marc, chapitre 10, versets 46 à 53.

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