Le vent souffle où il veut et tu en entends le bruit, mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. C'est aussi le cas de toute personne qui est née de l'Esprit. Jean 3.8

Elle aime beaucoup son travail mais son client, là, elle le trouve un peu lourd. À chaque rendez-vous, une fois qu’ils ont fini de parler affaires, il fait allusion à sa foi chrétienne. Aujourd’hui, voilà qu’il lui propose comme par hasard de lui donner une Bible : « J’en ai justement une dans mon coffre ! ». Et comme leurs voitures sont garées côte à côte, elle ne peut pas refuser.

Elle rentre chez elle. On est vendredi soir, la semaine est finie et elle a un week-end de fou en perspective avec des amis. Tout à coup, ses yeux tombent sur la Bible qu’elle a posée sur le meuble de l’entrée…

Étrangement, elle est saisie par l’urgence de la lire. Elle écrit aussitôt un SMS à ses amis. « Ne m’attendez pas. Je ne peux pas venir. » Et elle se plonge dans la lecture de la Bible. Elle y passe tout son week-end.

Elle n’y connaît vraiment rien, mais elle veut comprendre. Le dimanche suivant, elle décide d’aller à la source. Et là aussi, curieusement, elle ne choisit pas internet, elle choisit une église. Elle veut trouver quelqu’un de vraiment qualifié pour lui donner la réponse qu’elle cherche.

De questions en réponses, elle trouve finalement la foi en Dieu.

L’Esprit de Dieu souffle toujours. Vous avez une Bible chez vous que vous n’avez peut-être pas lue ? N’attendez plus pour l’ouvrir !

Sylvie Dugand

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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 8, versets 4 à 15.

Source (Vivre Aujourd'hui)

Dieu a-t-il vraiment dit : « Vous ne mangerez aucun des fruits des arbres du jardin ? » Genèse 3.1

Voilà près de trente ans, une couleuvre de quarante centimètres, s’étant introduite dans un transformateur, a privé d’électricité une partie du département de l’Isère. L’animal s’était glissé dans le tableau de distribution, provoquant un court-circuit. Électrocuté sur le coup, il a privé de courant des centaines de clients. Cette information m’impressionna, car elle me suggéra une panne de courant d’un autre genre, due à un serpent, au tout début de l’humanité. La Bible en rapporte le fait dès ses premières pages.
Dieu créa l’homme et la femme, Adam et Ève. Adam devait garder et cultiver le jardin d’Éden. Tous les arbres étaient à sa disposition, à l’exception de l’arbre donnant la connaissance du bien et du mal. Mais Satan, le diable, apparaissant sous la forme d’un serpent suggéra que Dieu n’avait pas interdit de manger du fruit défendu. Il sema le doute et provoqua la désobéissance d’Adam et d’Ève. Des conséquences désastreuses en résultèrent. Adam et Ève furent privés de la communion avec Dieu. Entre eux et Dieu, le « courant ne passait plus ». Cette disjonction s’est prolongée et nous a atteints.
Cependant, Jésus a vaincu Satan, celui que la Bible appelle le serpent ancien. Il en a triomphé sur la Croix. Il a restauré nos relations avec Dieu, notre Père.

Lucien Clerc

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Lecture proposée : Livre de la Genèse, chapitre 3, versets 14 à 19.

Source (Vivre Aujourd'hui)

Or, sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu, car il faut que celui qui s’approche de lui doit croie que Dieu existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent. Hébreux 11.6

L’écrivain Jean d’Ormesson (1925-2017) n’a cessé d’évoquer ses questionnements spirituels. Il confiait ainsi : « J’ai vécu dans le tumulte et dans l’agitation. J’ai cherché le bonheur et trop souvent le plaisir. Mais, avec maladresse et ignorance, je n’ai jamais cessé, du fond de mon abîme, de chercher le chemin, la vérité et la vie. »

N’est-ce pas aussi le constat que la majorité d’entre nous peut porter sur notre vie ? Vivre dans l’agitation de nos multiples activités sans pouvoir prendre suffisamment de recul… Courir après des plaisirs éphémères au lieu de rechercher le bonheur véritable…

Jean d’Ormesson se disait agnostique, mais il n’a cessé de s’interroger sur Dieu : « Ce qui ne laisse pas […] de m’émerveiller, c’est l’Incarnation : Dieu s’est fait homme […]. Le Dieu des chrétiens est le seul qui s’incarne par amour. »

Nous ne savons jusqu’à quel point il a reconnu en Jésus le chemin, la vérité et la vie… On peut s’émerveiller devant le Dieu Créateur et les beautés de l’Univers, être ému par le message d’amour de Jésus, mais ne jamais aller plus loin. Dieu attend de nous ce pas de foi, cette réponse personnelle et volontaire à son attente. Croyons qu’il existe et que grâce à Jésus son Fils nous pouvons nous approcher de lui.

Bernard Grebille

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Lecture proposée : Livre du prophète Jérémie, chapitre 29, versets 11 à 13.

29.11 En effet, moi, je connais les projets que je forme pour vous, déclare l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance.

29.12 Alors vous m'appellerez et vous partirez, vous me prierez et je vous exaucerai.

29.13 Vous me chercherez et vous le trouverez, parce que vous me chercherez de tout votre coeur.

Source (Vivre Aujourd'hui)

Heureux l’homme qui place sa confiance en l'Éternel. Psaume 40.5

« Ça va, monsieur ? » Le maître-nageur semble un tantinet inquiet : j’étais resté longtemps immobile sur l’eau ! La planche, c’est ce que je fais de mieux. Je crois que je pourrais même remporter un championnat de planche aquatique, si cela existait !

Quel bonheur ! Je peux simplement rester allongé sur le dos, conscient, confiant que l’eau me porte ! Il me suffit de respirer pour ne pas couler. J’essaie d’initier à cet « art » mes petits-enfants. Crispés au début, ils se détendent progressivement !

Le secret de la pratique de la planche : la confiance. En d’autres mots, la foi. L’application est toute trouvée. Confiez votre vie à Jésus. Vos péchés pardonnés, vous serez légers, légers ! Ne vous crispez pas, détendez-vous, celui qui a marché sur l’eau vous porte.

Les promesses de Dieu sont réelles, il « sous-tient » tous ceux qui mettent leur foi en lui. Non pour rester statiques, mais pour marcher dans ses voies, en tant que disciples de Jésus-Christ.

Francis Schneider

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Lecture proposée : Psaume 40, versets 1 à 6.

Source (Vivre Aujourd'hui)

Faites des vœux à l’Éternel, votre Dieu, et accomplissez-les ! Psaume 76.12

En 1711, le roi du Portugal, Jean V était toujours sans enfant après trois ans de mariage. Il fit à Dieu le vœu de construire un palais destiné à être un monastère, s’il lui accordait un héritier. Il fut exaucé : une fille naquit qui devint plus tard la reine d’Espagne.

Et Jean V d’accomplir son vœu. Le projet fut grandiose. Pour le réaliser, 50 000 ouvriers furent embauchés. Le palais, terminé après 13 ans de travaux, comptait 800 pièces (ayant 4 500 portes et fenêtres !) et couvrait 4 hectares. C’est l’or du Brésil qui finança le tout.

Avons-nous dans le temps fait parfois des vœux à Dieu ? Les avons-nous accomplis ?…

D’après l’Évangile, le vœu le plus excellent à faire à Dieu est de suivre Jésus-Christ tous les jours de sa vie après l’avoir accepté comme Sauveur et Maître.

Puis d’écouter tous les jours sa Parole pour la mettre en pratique. Ce serait, dit Jésus, comme si l’on bâtissait, non pas un monastère, mais la maison de notre vie sur le roc, après avoir creusé profondément.

Cela ne sera pas un travail facile, mais la maison en sera rendue forte et sûre. Et lors des orages et des tempêtes de la vie, elle résistera.

Pierre Wheeler

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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 6, versets 46 à 49.

Source (Vivre Aujourd'hui)