• Jésus dit : Venez à moi, vous qui êtes fatigués et courbés sous un fardeau, et je vous donnerai du repos. Matthieu 11.28

     

    Vous connaissez peut-être, pour l’avoir vue sur une carte postale ou dans un reportage sur le Brésil, cette immense statue du Christ Rédempteur. Inaugurée le 12 octobre 1931, haute de 30 mètres, elle domine la ville de Rio de Janeiro. Avec ses bras déployés, elle symbolise à mes yeux l’invitation du Christ citée en en-tête.

    Ce que je relève, c’est que l’invitation est adressée à tous sans exception. Qui que nous soyons et quel qu’ait été notre passé, nous pouvons venir à lui. Cette invitation est adressée à vous qui êtes fatigués, chargés de soucis ou de fautes, pour vous offrir du repos. L’apôtre Pierre nous encourage : Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même (Jésus) prend soin de vous (1 Pierre 5.7).

    Jésus ne nous pousse pas à l’insouciance pour autant. Ce qui peut paraître paradoxal, c’est qu’il propose à ceux qui ont trouvé le repos en lui faisant confiance : Prenez mon joug sur vous. Le joug était une lourde pièce de bois servant à atteler ensemble deux bœufs, en vue d’additionner leurs forces en les contraignant à marcher d’un même pas au labour. Le bonheur du chrétien est de cheminer avec ce bon Maître, accordant notre pas sur le sien. C’est alors lui qui porte la plus grande charge de l’effort.

    Jack Mouyon

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 11, versets 28 à 30.

    11.28 Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un fardeau, et je vous donnerai du repos.

    11.29 Acceptez les exigences, et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos pour votre âme.

    11.30 En effet, mes exigences sont bonnes et mon fardeau léger.

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  • Alléluia ! Le salut, la gloire et la puissance sont à notre Dieu. Apocalypse 19.1

     

    Lors d’un match de foot, pour un but marqué, on entend parfois les commentateurs ou les supporters s’écrier : Alléluia (prononcé : allélouya). Ou dans toutes sortes d’occasions où on réussit une performance, exécute un exercice difficile avec succès ou gagne une compétition. C’est devenu une expression à la mode, synonyme de « Hourra ! » ou « Gagné ! » Parfois ça veut simplement dire : « J’avais raison » ou bien « Ouf, j’ai fini ! ».

    Enfin, ce sont surtout les jeunes qui crient ça… Mais d’autres, de tous âges, disent alléluia à bon escient, à l’église, par exemple. On chante souvent alléluia dans des cantiques de louange. On proclame alléluia parce qu’une prière a été exaucée. En levant les bras au ciel, éventuellement.

    Et ces gens ont raison ! Parce que « alléluia », en hébreu, ça veut dire « Louez Dieu » ou « Gloire à Dieu » Donc, aucune raison de s’en priver : l’église, c’est vraiment le lieu pour chanter la gloire de Dieu.

    Autant dire que ça paraît vraiment bizarre quand on entend crier alléluia dans un match ou pour un défi réussi : n’est-ce pas traiter la personne de Dieu à la légère ? Réservons donc nos « alléluia » à la louange du Seigneur !

    Sylvie Dugand

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    Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 19, versets 1 à 10

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  • Après avoir vu ce qui était arrivé, tout ceux qui en foule assistaient à ce spectacle repartirent en se frappant la poitrine. Luc 23.48

     

    Il y a 2000 ans, nombreux ont été ceux qui ont vu Jésus mourir sur le bois. Pour quels effets ?? Voyez plutôt :

    Pour les uns, une émotion passagère : la foule s’en retourna en se frappant la poitrine. Des réflexions sentencieuses oubliées le lendemain ??

    Pour d’autres, un cœur dur, inchangé : le même jour, les chefs du peuple auront préparé la Pâque... Ils avaient fait enlever les dépouilles des suppliciés, pour éviter toute souillure rituelle. Ils purent donc s’en laver les mains comme Pilate.

    Un cœur touché : le centenier romain avait été saisi et bouleversé. En avait-il tiré une conclusion salutaire ??

    La foi qui sauve : l’un des brigands se repentit vraiment. Il avait reconnu le ROI et imploré son secours. Le salut fut pour lui, le jour même.

    Et pour vous et moi ?

    Je me souviens de la vie rayonnante de M. K. Dans sa jeunesse, il avait entendu une chorale chanter : «Celui qui regarde avec foi à Jésus mis en croix est sauvé à l’heure même... ?» Alors il avait pris ces paroles pour lui-même, et sa vie en fut profondément transformée.

    Ne restons ni indifférents, ni le cœur endurci. Disons au Christ : « Ô Seigneur, tu as dû subir ce terrible châtiment pour moi, à cause de mes péchés. Je mérite la mort, aie pitié de moi et sauve-moi de la perdition. Seigneur Jésus, toi le ROI, je crois en toi ?! »

    Albert Lentz

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 23, versets 39 à 54.

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  • Si je me rend témoignage à moi-même, mon témoignage n'est pas valable. Jean 5.31

     

    Les deux témoins d’un mariage civil attestent de manière officielle que le mari et la femme se sont présentés à la mairie et ont été mariés. Pour la Justice et pour l’Histoire, les faits sont établis sur la base des récits de témoins : plus on en a, mieux la preuve en sera faite.

    La vie de Jésus-Christ a été rapportée dans les quatre évangiles rédigés par Matthieu, Marc, Luc et Jean, avec des variantes certes.

    La lecture proposée nous indique encore quatre autres témoignages en faveur de Jésus :

    – celui de Jean-Baptiste, qui reconnaît en lui le Sauveur qui ôte le péché ;

    – celui des œuvres accomplies par Jésus-Christ : les miracles, les guérisons, et même plusieurs résurrections ;

    – celui de Dieu le Père lui-même, qui a parlé du haut du ciel en deux occasions : au baptême public de Jésus (Matthieu 3.17) et à la transfiguration en présence de trois disciples (Matthieu 17.5) ;

    – celui des Écritures de l’Ancien Testament, qui toutes annoncent la venue de Jésus-Christ.

    À ces témoignages, s’ajoutent encore ceux des écrits de plusieurs auteurs de l’Antiquité.

    Nous en faudrait-il plus pour croire à l’authenticité des événements, et pour prêter attention au message biblique ?

    Jean-Louis Théron

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 5, versets 31 à 47.

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  • Pierre dit à Jésus : «Et lui Seigneur, qui lui arrivera-t-il ?» Jésus lui répondit : «Si tu veux qu'il vive jusqu'à ce que je revienne, en quoi cela te concerne-t-il ? Toi, suis-moi.» Jean 21.21-22

     

    Gandhi nous a laissé une foule de pensées à méditer. Je reprendrai celle-ci : « La vie est un mystère qu’il faut vivre et non un problème à résoudre ».

    Nous sommes souvent très habiles à transformer les questions vitales en problème. Bien sûr, les questions sans réponse ne manquent pas. Mais elles peuvent servir de prétexte à l’immobilisme et à l’incrédulité. Une de ces questions concerne le salut de ceux qui n’ont jamais entendu parler du Sauveur. Qu’en sera-t-il d’eux ?

    Cette question n’a rien de neuf. C’est celle de Luc 13 : Y a-t-il peu de gens qui seront sauvés ? ou de Pierre au sujet de Jean : Que lui arrivera-t-il ? Dans les deux cas, la réponse de Jésus est la même et a peut-être inspiré Gandhi : « Au lieu de t’occuper des autres, occupe-toi de toi. Laisse à Dieu le soin de résoudre ce qui ne te concerne pas. Efforce-toi d’entrer par la porte étroite. Là est l’urgence. Toi, suis-moi. Là est la décision à prendre aujourd’hui, sans attendre ».

    Les questions qui nous viennent à l’esprit ne sont pas toujours faciles et la compassion les rend parfois oppressantes. Mais Dieu ne les laissera pas sans réponse. Et elle sera fruit de son amour autant que de sa justice. Ce qui nous regarde et s’impose à nous, c’est notre propre réponse à son amour, notre entrée par la seule porte qui conduise à la vraie vie.

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 13, versets 22 à 30.

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