• Un homme sortit alors du camp des Philistins et s'avança entre les deux armées. Il s'appelait Goliath, venait de Gath et mesurait environs 3 mètres. 1 Samuel 17.4

     

    Le géant Goliath était un ennemi redoutable. Pensez donc, il mesurait plus de trois mètres, sa lance pesait environ dix kilos et il portait un casque et une cuirasse de 80 kilos. Oserait-on affronter un colosse de cette espèce ? Seule une confiance absolue en Dieu pouvait donner du courage au plus téméraire d’entre les soldats de l’armée d’Israël.

    C’est avec cette confiance que le jeune berger David vint au-devant du géant au nom du Dieu des armées d’Israël. Nous savons quelle fut l’issue de ce combat. Avec sa seule fronde, il lança une pierre qui s’enfonça dans le front du Philistin qui, terrassé, tomba le visage contre terre. L’armée du roi Saül fut ainsi délivrée.

    Bien plus redoutable est Satan, notre ennemi que la Bible dépeint à la tête d’une armée de princes des ténèbres et d’esprits méchants. Plus encore, il possède dans le cœur naturel de chaque humain un réseau de renseignements et de fidèles complices. Le diable est bien plus puissant que Goliath, mais Jésus l’a définitivement vaincu, lui et ses alliés, en triomphant d’eux à la croix.

    Si nous acceptons de confier à Jésus-Christ les rênes de notre vie et acceptons son autorité, en lui confessant notre péché, ce mal incurable qui nous ronge, alors il nous délivrera et il nous accordera son pardon et une vie de victoire.

    Albert Nouguier

    __________________

    Lecture proposée : 1 Samuel, chapitre 17,versets 31 à 51.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Vous valez plus que beaucoup de moineaux. Luc 12.7

     

    Alors qu’avec mes fils et mon épouse nous sommes affairés sous le hangar, nous découvrons sous des branches un nid avec plusieurs souriceaux. Et voilà que celle qui est sans doute leur mère s’emploie à les mettre, l’un après l’autre, en lieu sûr. Nous l’observons, étonnés et attendris, mener cette opération de sauvetage négligeant le danger qu’elle court… (Un coup de balai aurait suffi à anéantir toute la famille.) Nous venons d’assister à une belle démonstration de l’instinct maternel chez les souris !

    Même si ce n’est pas écrit noir sur blanc dans la Bible, vous avez beaucoup plus de valeur que n’importe quelle souris, Mickey inclus ! Et je puis vous certifier que le créateur qui a déposé dans les gènes de ce rongeur l’instinct qui l’a conduit à mettre ses petits en sécurité ne saurait se montrer moins attentif envers ceux qu’il a faits à son image. Dieu tient à nous. Au point que lui aussi s’est exposé pour nous arracher au triste sort qui nous attendait. Je confesse mon ignorance quant à ce qui se passe dans la cervelle d’une souris, mais après tout elle aurait pu se dire : « Tant pis pour cette portée, je reste bien cachée et d’ici quelques petites semaines la famille sera reconstituée. »

    Loin de passer cette humanité déchue et rebelle aux profits et pertes et de recommencer à zéro, Dieu a envoyé son Fils qui faisait toute sa joie pour la sauver. Quel prix nous avons à ses yeux !

    Claude Siefert

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 12, versets 4 à 9.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Je vis une foule immense que personne ne pouvait compter. Apocalypse 7.9

     

    29 septembre 2018, une cousinade rassemble dans le Centre de la France plus de 250 cousins et leurs familles, issus des 7 enfants d’un couple marié dans la région en 1866. Il a fallu plus d’une année de recherches à une poignée de cousins motivés pour retrouver les descendants vivants de chaque branche, soit plus de 400 personnes. Tous n’ont pas répondu à l’invitation, la moitié de ceux-ci étaient présents le jour J et remplissaient la salle réservée à cet effet. Pour entrer, il fallait une étiquette portant le nom de la personne et celui de son « chef de famille ».

    Comment ne pas faire le rapprochement avec ce grand rassemblement dans les Cieux qui se prépare depuis des siècles ! Jésus envoie une poignée d’hommes et de femmes à la recherche des descendants issus d’Adam et Ève ayant placé leur confiance en l’Éternel, comme Abraham (Galates 3.29). Beaucoup sont invités, mais peu répondent à l’invitation. Néanmoins, la salle du banquet sera quand même pleine au moment voulu. Pour y entrer, il faudra simplement être revêtu du vêtement de noces, indique la parabole de Matthieu. Un langage symbolique pour signifier un cœur purifié grâce au sacrifice de Christ pour nous à la croix (Apocalypse 7.13-15).

    Et vous, en recevant l’invitation de Jésus et de son Père, comment allez-vous y répondre ? Serez-vous compté parmi les invités présents dans la Salle des Fêtes ?

    Béatrice Guerche

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 22, versets 1 à 14.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Mais l'homme naturel n'accepte pas ce qui vient de l'Esprit de Dieu. 1 Corinthiens 2.14

     

    Le parfum suave des arbres colorés agités par une brise légère, l’essor gracieux d’une volée d’étourneaux, le doux roucoulement d’une tourterelle… Cette promenade est un ravissement pour les sens, mais de tout cela, elle ne voit rien, n’entend rien et ne sent rien. Elle avance avec nous, la tête obstinément rivée au sol. Elle s’arrête pourtant souvent, tous ses sens en éveil, parfois en fourrant son nez dans un trou de souris…

    Ah oui, elle, c’est Opale, la petite chienne de la voisine !

    En réalité, les animaux voient, entendent, sentent aussi en partie ce qui nous émerveille. Mais, à part un intérêt utilitaire, ces perceptions produisent-elles en eux une émotion esthétique ?

    À un autre niveau, nous avons été créés pour apprécier, adorer et aimer notre Créateur et Seigneur. Mais le péché a obscurci nos cœurs. Ainsi, un homme peut admirer la beauté de la création sans percevoir le Créateur, et s’il le perçoit, il le limite souvent à une conception entièrement utilitaire.

    Rien ne changera jamais la condition des chiens (voir Mathieu 7.6) et des autres animaux. Mais, bonne nouvelle, Dieu veut faire naître de nouveau les hommes et les femmes pour qu’ils deviennent de nouvelles créatures. Des personnes capables de vivre pleinement cette dimension essentielle de leur être : connaître et apprécier leur Sauveur ! (2 Corinthiens 5.17.)

    Claude Schneider

    __________________

    Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 2, versets 12 à 16.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Pendant six jours on travaillera, mais le septième jour, est le sabbat, le jour du repos, consacré à l'Éternel. Exode 31.15

     

    Il y a peut-être autour de vous des personnes qui parlent de prendre une année (ou un congé) sabbatique. Il s’agit d’une période où la personne interrompt son travail pour se consacrer à... sa passion, ses enfants, faire « un break », partir en formation, rejoindre une mission humanitaire... Peut-être que vous l’envisagez pour vous-même ?

    C’est très précieux d’avoir cette possibilité. Mais c’est aussi très curieux qu’elle porte ce nom ! En effet, cela fait référence à l’organisation du travail telle qu’on la trouve dans l’Ancien (ou le Premier) Testament. La loi mosaïque ordonne au peuple juif de l’Antiquité de consacrer un jour par semaine au repos : le septième jour, samedi. Les juifs pieux le font encore. Un jour de congé, c’était exceptionnel à cette époque.

    Mais les juifs devaient aussi respecter une année sabbatique : tous les 7 ans, ils devaient laisser reposer la terre (Lévitique 25.1-7).

    L’expression est restée, avec l’idée d’un repos, d’un changement radical de ses habitudes... pendant un temps donné. Mais on peut imaginer une économie entièrement basée sur cette alternance de travail et de repos : quel programme ! Et quelle bonté que celle de Dieu qui se penche sur notre quotidien et nous intime l’ordre de... nous reposer !

    Sylvie Dugand

    __________________

    Lecture proposée : Livre du prophète Ézéchiel, chapitre 34, versets 11 à 22

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique