• Celui qui vient d'en haut est au-dessus de tous. Jean 3. 31

    Éternel, notre Seigneur, que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Psaume 8. 10

     

    Il faut si peu de place pour coucher un petit enfant, et cette place, le monde l'a refusée à Jésus. Le Créateur de l'univers, entrant dans les limites de l'espace et du temps, a été couché dans une crèche, une mangeoire pour le bétail (Luc 2. 7).

    Pour reposer une tête fatiguée, il faut aussi bien peu de place. Même les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel, des nids. Le Fils de l'homme, lui, n'a pas eu de lieu où reposer sa tête (Luc 9. 58).

    Pour mourir, le plus pauvre à un lit. À Jésus, on a donné une croix. C'est le supplice horrible et infamant qu'on a infligé au seul homme juste.

    Avons-nous compris pourquoi, ou plutôt pour qui, le Fils de Dieu s'est engagé dans un tel chemin ? C'est pour vous et pour moi, par amour !

    Et que nous demande-t-il en échange ? Rien, sinon notre confiance. S'il était demandé beaucoup d'activité aux hommes en échange du salut, Dieu ne serait pas juste, les personnes faibles ou handicapées seraient éliminées. Beaucoup d'argent ? Les pauvres n'auraient rien à apporter. Une grande intelligence ou beaucoup de connaissance ? Les moins doués seraient exclus. Mais le peu qui vous est demandé - vous reconnaître perdu, accepter Jésus pour Sauveur, lui confier la direction de votre vie - cela est bien à votre portée. Pourquoi ne pas vous décider aujourd'hui ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Méprisé et rejeté par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui auquel on détourne la tête : nous l'avons méprisé, nous n'avons fait aucun cas de lui.” Ésaïe 53. 3

     

    Estimer, c’est attribuer une valeur. Mépriser, c’est attribuer, généralement à tort, une faible valeur, une faible importance. Rejeter, c’est exclure. Jésus a été “estimé”, puis “méprisé” et finalement “rejeté” !

    Jésus a été estimé

    Les pharisiens appelèrent une seconde fois l'homme qui avais été aveugle et lui dirent : Rends gloire à Dieu ! Nous savons que cet homme est un pécheur” (Jean 9. 24).

    Caïphe le souverain sacrificateur dit aux membres du tribunal juif : “Vous ne réfléchissez pas qu'il est dans notre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple et que la nation tout entière ne disparaisse pas.” (Jean 11. 50).

    Ils comptèrent “les 30 pièces d'argent, la valeur à laquelle il a été estimé par les Israélites” (Matt 27. 9).

    Jésus a été méprisé par les siens

    Il est venu chez les siens, et les siens ne l'ont pas accueilli” (Jean 1. 11).

    Les membres de la famille de Jésus vinrent pour s'emparer de lui, car ils disaient : Il a perdu la raison” (Marc 3. 21).

    En effet, ses frères non plus ne croyaient pas en lui” (Jean 7. 5).

    Ses paroles ont été rejetées

    Là-dessus les pharisiens lui dirent : Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n'est pas vrai” (Jean 8. 13).

    Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez pas écouter ma parole” (Jean 8. 43).

    Si je vous le dis, vous ne le croirez pas” (Luc 22. 67).

    Ses œuvres ont été rejetées

    Les spécialistes de la loi, qui étaient descendus de Jérusalem disaient : Il a en lui Béelzébul ; c'est par le prince des démons qu'il chasse les démons” (Marc 3. 22).

    Malgré tous les signes miraculeux qu'il avait fait devant eux, ils ne croyaient pas en lui” (Jean 12. 37).

    Sa personne a été rejetée

    Ils tinrent conseil de le faire mourir” (Jean 11. 53).

    Pilate répliqua : Que ferais-je donc de Jésus qu'on appelle le Christ ? Tous répondirent : Qu'il soit crucifié !” (Matt. 27. 22).

    Pilate dit aux Juifs : Voici votre roi. Ils crièrent alors : À mort ! À mort ! Crucifie-le !” (Jean 19. 14-15).

    Vous avez fait mourir le Prince de la vie” (Act. 3. 15).

    Quel accueil faisons-nous à Jésus ? À ses paroles ? A ses œuvres ?

    Le salut de l’incrédule et la marche du croyant en dépendent.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. 1 Jean 2.2

     

    "Bonjour Monsieur, je me présente. Je m’appelle Yannis Gautier. Il y a quelques mois, j’ai opéré un braquage dans votre banque. Ne craignez pas, je ne vais pas récidiver, je veux seulement rendre l’argent que je vous ai volé, et vous demander de mettre en place un plan de remboursement mensuel pour payer ma dette." 

    "L’une des raisons de la venue de Jésus-Christ sur la terre était de régler l’énorme dette que vous aviez envers Dieu."

    Réparer le mal par le bien a été l'attitude que j'ai adoptée, il fut un temps, pour aider Dieu à oublier mes fautes du passé. Ma compréhension de son pardon était purement humaine,  et au regard de toutes les choses ignobles que j'avais commises, je me disais : "Yannis, tu as une dette envers Dieu et un jour ou l’autre, tu vas devoir la régler !" Résultat : j'étais accablé par le poids de la culpabilité et je me demandais comment j’allais réparer toutes ces transgressions et infractions. "Car mes fautes s'élèvent au-dessus de ma tête ; pareille à un lourd fardeau, elles sont trop pesantes pour moi." (Psaume 38.5)

    Le mois de décembre annonce les Fêtes de Noël, des moments de joie où les familles se réuniront et s'offriront des cadeaux. En cette période, beaucoup parleront de la naissance de Jésus-Christ, ce sera peut-être votre cas. Permettez-moi alors de vous poser une question : avez-vous compris la raison de la venue de Jésus sur terre, l'œuvre qu'il a accomplie pour vous et pour chacun de nous ? Lorsque Jean-Baptiste le verra apparaître, il dira : "Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde." (Jean 1.29) Cette déclaration annonçait que le Fils de Dieu allait bientôt offrir sa vie en rançon pour nos péchés. "Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier." (1 Jean 2.2)

    Aujourd’hui, vos péchés sont peut-être innombrables et le simple fait de vous les remémorer  vous terrasse, vous anéantit intérieurement. Vous vous persuadez qu'ils vous séparent à jamais de l'amour de Dieu, et vous êtes convaincu(e) qu'Il ne peut vous accorder son pardon. La culpabilité vous ronge, vous isole. 

    Ne soyez plus accablé(e) ! Relevez la tête et écoutez la Bonne nouvelle : "En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle." (Jean 3.16) Vous êtes ce "quiconque". L’une des raisons de la venue de Jésus-Christ sur la terre était de régler l’énorme dette que vous aviez envers Dieu. Tout l’argent du monde n'aurait pu la solder, alors Dieu a décidé d'envoyer son Fils unique pour vous sauver, vous personnellement, ainsi que tous ceux qui croiraient en lui. "En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur." (Romains 6.23) Soyez donc dans la joie : votre dette est effacée ! Dieu veut dès maintenant vous donner une vie nouvelle.

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, merci pour l'œuvre que tu as accomplie afin de me sauver. Merci pour cette vie nouvelle que tu me donnes ! Au nom de Jésus. Amen.

    Yannis Gautier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • L'ange lui dit : N'aie pas peur, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici tu seras enceinte. Tu mettras au monde un fils et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut. Luc 1. 30-32

    Elle mit au monde son fils premier-né. Elle l'enveloppa de langes et le coucha dans une mangeoire parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans la salle des hôtes. Luc 2. 7

     

    Aujourd'hui au moins, peut-être entendez-vous parler de Jésus, né il y a plus de 2000 ans à Bethléem ? À Noël, on a coutume de parler du "petit Jésus". Si l'on peut s'émouvoir devant un bébé, il est aussi utile d'en savoir un peu plus sur cet enfant.

    L'ange qui annonce sa naissance à Marie précise : "Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut". Dieu prend soin de montrer qu'il n'est pas un enfant comme les autres, qu'il est d'une nature divine. Mais alors pourquoi le Fils de Dieu devait-il naître dans une étable ? Parce  qu'il voulait venir chez les hommes dans la condition la plus humble, se mettre au niveau des plus démunis et les visiter dans les endroits les plus sombres.

    Il n'est pas venu pour régner, mais pour rencontrer les humains tel qu'ils sont : les condamnés pour leur offrir le pardon ; les paumés auxquels il veut redonner une dignité ; ceux qui sont aveuglés par leurs propres idées ou celles des autres, pour les éclairer par la vérité. Jésus est venu sur notre terrain, là où il pouvait nous rencontrer, pour nous illuminer de sa présence. Il a masqué sa grandeur divine pour nous être accessible.

    Aujourd'hui, Jésus demande simplement à être reçu dans notre coeur (lire Jean 1. 12). Et pour ceux qui l'accueillent, il se révèle comme le grand Sauveur. Car il est grand, comme l'ange l'a annoncé. Il a été méprisé, bafoué, mis à mort, mais "Dieu l'a élevé à la plus haute place et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom afin qu'au nom de Jésus chacun plie le genou dans le ciel, sur la terre et sous la terre et que toute langue reconnaisse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père" (Philippiens 2. 9-11).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Ils furent saisis d'une grande frayeur. Mais l'ange leur dit : N'ayez pas peur, car je vous annonce une bonne nouvelle qui sera une source de grande joie pour tout le peuple : aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur.” Luc 2. 9-11

     

    Pour les bergers près de Bethléem, la journée avait commencé et s’était achevée comme toutes les autres. Ils avaient rassemblé leurs troupeaux pour la nuit et attendaient le jour suivant.

    Soudain le ciel visite la terre. La gloire du Seigneur illumine la nuit et l’hymne céleste éclate dans les oreilles des bergers, comme si les anges n’attendaient que ce signal si longtemps retenu : “Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre et bienveillance parmi les hommes !” (Luc 2. 14). La triple annonce prophétique trouve enfin son accomplissement : “Aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur”.

    Le Dieu d’éternité entre dans le temps. Emmanuel, « Dieu avec nous », vient habiter avec les hommes. Cet événement extraordinaire prend place au milieu de la pauvreté, de la nuit, du rejet. Celui qui habitait le ciel de toute éternité devient un bébé dans les bras d’une mère humaine. Mais elle doit le coucher dans une mangeoire pour animaux, car il n’y a pas de place pour eux à Bethléem.

    Je vous annonce une bonne nouvelle”, je vous « évangélise » une grande joie, dit l’ange du Seigneur. Cette grande joie, la joie du salut, est destinée par Dieu à tout le peuple : non seulement à quelques bergers, mais au peuple d’Israël d’abord, et ensuite au peuple de Dieu issu de toutes les nations.

    Un “Sauveur”, voilà le premier mot du message de l’ange, le sujet de la grande joie qu’il annonce.

    Le “Christ”, le Messie, l’Oint de Dieu qu’attendaient tous les Israélites pieux.

    Le “Seigneur”, à qui tout homme doit se soumettre et que chacun devra reconnaître comme tel un jour.

    Quel aboutissement à l’annonce de “la bonne nouvelle à Abraham : Toute les familles de la terre seront bénies en toi” (Gen. 12. 3), faite dix-neuf siècles plus tôt !

    L’hymne cesse, la nuit retombe. Les bergers, restés seuls, s’en vont rendre hommage à celui qui est le Sauveur du monde et dont le message de salut retentit encore aujourd’hui.

    Source (Plaire au Seigneur)

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