• Rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 8.39

     

    En ce premier Noël, Dieu a fait une chose extraordinaire. Max Lucado le dit en ces termes : « Descendu du trône, il délaisse sa robe immaculée et se revêt d’une peau humaine imparfaite. La lumière du monde se glisse dans un ventre humide et sombre. Celui que les anges adoraient se niche dans la matrice d’une paysanne, naît par une nuit froide, puis s’endort dans une crèche. Marie ne savait pas si elle devait l’allaiter ou l’adorer, alors elle a fait les deux, voyant qu’apparemment il était autant affamé que saint. Joseph hésitait entre l’appeler fils ou père. Mais il a fini par l’appeler Jésus, comme l’ange l’avait dit, ne sachant pas mettre un nom sur un Dieu qu’il pouvait tenir tendrement dans ses bras. Il y avait de quoi être bouleversé : "Mais qu’est-ce qui t’arrive, Dieu ? Que fais-tu dans ce monde ?" Et Dieu répond : "Pourquoi devrais-je cesser de t’aimer ? Tu veux savoir combien de temps durera mon amour ? Regarde cette infâme croix sur une colline escarpée. C’est moi que tu vois là-haut, ton créateur, ton Dieu… Voilà combien je t’aime." » 

    "En effet, j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie..."

    Paul demande : "Qui nous séparera de l’amour de Christ ?" (Romains 8.35) Puis il répond lui-même à sa question : "En effet, j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l'avenir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Sauveur." (Romains 8.38-39) Voilà le vrai sens de Noël !

    Un engagement pour aujourd’hui

    Seigneur Jésus, je veux manifester ton amour en ce jour mais aussi tous les jours de ma vie afin que chacun comprenne le vrai sens de Noël. Tu es venu sur la terre uniquement par amour pour nous. Je veux proclamer autour de moi combien tu aimes l’humanité toute entière.

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Si tu savais quel est le cadeau de Dieu et qui est celui qui te dit : Donne-moi à boire, tu lui aurais toi-même donné à boire et il t'aurait donné de l'eau vive. Jean 4. 10

    En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Jean 3. 16

     

    Il y a plus de 2000 ans, des étrangers venus de l'Est sont arrivés à Jérusalem. Ils ont posé une question qui à consterné les habitants : "Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?" (Matthieu 2. 2).

    On se serait bien passé d'un tel événement. Le roi Hérode en est troublé, et toute la ville avec lui. En effet la vie économique, culturelle et sociale suivait son cours, et à Jérusalem les habitants n'étaient pas prêts à changer grand-chose à leur manière de vivre.

    N'en est-il pas de même encore aujourd'hui ? La vie s'écoule au rythme des saisons, des circonstances bonnes ou mauvaises. Noël est là, avec ses sapins, ses crèches, et sa profusion de cadeaux. Noël, c'est pourtant bien la naissance de Jésus qui est commémorée par beaucoup de gens ? Mais cet événement n'est-il pas souvent vidé de son sens profond ? Au milieu de la fête, qui pense encore au cadeau que Dieu a fait en nous donnant Jésus Christ ? Et quel don ! Il n'est comparable à aucun autre.

    Refuser un cadeau est une insulte pour celui qui l'offre. Quelle responsabilité de refuser Jésus Christ que Dieu offre comme Sauveur à chacun ! Un cadeau est une marque d'affection. On offre des cadeaux à ceux que l'on aime. Dieu, en nous donnant Jésus, nous a donné la plus grande preuve de son amour.

    Parmi les cadeaux qui vous seront offert pour Noël, ne négligez pas le don de Dieu : Jésus Christ comme Sauveur. Lui peut transformer votre vie et vous donner un nouveau départ.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme la porte et prie ton Père qui est là dans le lieu secret ; et ton Père qui voit dans le secret, te le rendra ouvertement.” Matthieu 6. 6

     

    Contrairement à l’habitude des pharisiens qui priaient en public “dans les synagogues et aux coins des rues pour être vus des hommes” (Matt. 6. 5), Jésus invite ses disciples à se retirer à l’écart pour prier, pour être seuls avec Dieu. Il introduit ainsi dans l’exercice de la prière une proximité intime avec Dieu, connu comme “Père”.

    L’apôtre Paul invite les croyants de Philippes à “faire connaître leurs besoins à Dieu par des prières et des supplications, dans une attitude de reconnaissance” (Phil. 4. 6). Quand nous exposons à Dieu nos soucis, nous lui manifestons notre dépendance et notre confiance. Nous avons conscience que la situation nous dépasse, nous voulons la lui présenter sachant qu’il “peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons” (Eph. 3. 20). C’est ainsi que Dieu nous ouvre de larges champs d’action.

    Celui par exemple de prier pour ceux qui nous sont proches, que Dieu aime mais qui ne semblent pas encore avoir répondu à son amour. Nous le faisons parce qu’il est écrit que “Dieu notre Sauveur, lui qui désire que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité” (1 Tim. 2. 3, 4). Prier ainsi pour notre prochain, c’est manifester notre intérêt pour lui, c’est entrer dans le projet bienveillant de Dieu à son égard.

    De même, remettre à Dieu, notre Père, ses enfants dans la peine, malades ou face à des circonstances difficiles, c’est participer à la sollicitude qu’il a pour eux avec l’assurance qu’il nous écoute.

    La situation qui nous incite à la prière peut paraître ne pas changer. En effet la réponse à nos prières dépend de la souveraineté divine devant laquelle nous nous inclinons. Mais l’apôtre Paul nous assure d’une part, que “tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu” (Rom. 8. 28) et, d’autre part, que “la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l'on peut comprendre, gardera votre coeur et vos pensées en Jésus-Christ” (Phil. 4. 7).

    C’est là, semble-t-il, le sens de la prière faite en « cœur à cœur » avec notre Dieu. Nous pourrons alors savourer sa présence, profondément réconfortante et bienfaisante.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour éprouver la sincérité de votre amour, par l'exemple du zèle des autres. 2 Corinthiens 8.8

     

    Dans ce passage, Paul et Timothée rappellent que la preuve de l’amour, pour les frères dans le besoin, se traduit par la générosité. Certes, on peut donner sans aimer, par exemple : 

    . On peut donner par intérêt

    . On peut donner pour corrompre ou séduire

    . On peut donner par obligation en se soumettant à une loi religieuse

    . On peut donner d’une main et reprendre de l’autre

    "On ne peut aimer sans donner."

    Mais on ne peut aimer sans donner. 

    C’est ce que Dieu a fait pour nous. Il nous a tellement aimés qu’il a donné son Fils. Le Fils nous a tellement aimés qu’il a donné sa vie. Voilà l’esprit de Noël !

    Notre générosité est à la hauteur de notre amour. Celui qui donne peu aime peu, celui qui donne largement aime profondément. 

    Dans Luc 7.36-48, la femme de mauvaise vie, sauvée par Jésus, va démontrer la profondeur de son amour pour le Seigneur en lui offrant un parfum de grand prix : un an de salaire ! Le pharisien, qui a invité Jésus pour le repas, manifeste une générosité à la mesure de son amour limité envers Jésus. Cette femme est une donatrice généreuse, alors que le pharisien est un donateur frileux.

    La pauvre veuve qui a mis ses deux petites pièces dans le tronc a donné infiniment plus, en valeur absolue, que tout l’argent que donnaient les riches. (Luc 21.1-4) Leur amour pour Dieu se limitait à un devoir religieux, l’amour de cette veuve pour Dieu n’avait pas de limite. Elle a donné tout ce qu’elle avait pour vivre. 

    Les rois, venus d’Orient, offrent au Seigneur des cadeaux dignes d’un roi. Leur amour pour cet enfant dans la crèche est extraordinaire. Ils aiment celui en qui ils voient le messie promis.

    Une invitation pour aujourd’hui

    Pour ces fêtes de fin d’année, vous avez certainement pensé à offrir des cadeaux à vos bien-aimés, mais au Seigneur qu’allez-vous lui offrir ? Donnez-lui votre cœur, votre amour, votre vie. Soyez à cent pour cent pour Jésus, faites-lui ce beau cadeau !

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Bartimée, le fils aveugle de Timée, était assis en train de mendier au bord du chemin. Il entendit que c'était Jésus de Nazareth et se mit à crier : Fils de David, Jésus, ait pitié de moi ! Beaucoup le reprenaient pour le faire taire, mais il criait encore plus fort : Fils de David, aie pitié de moi ! Jésus s'arrêta et dit : Appelez-le. Ils appelèrent l'aveugle en lui disant : Prend courage, lève-toi, il t'appelle. Marc 10. 46-49

     

    Une foule nombreuse sort de la ville. Elle accompagne Jésus dans son dernier voyage vers Jérusalem. Rares sont ceux qui le reconnaissent comme le Messie, le Roi promis. Bartimée, le mendiant aveugle, ne peut pas voir avec ses yeux, mais son esprit voit clair : il interpelle Jésus avec justesse en utilisant son titre royal : Fils de David. Cela signifie : héritier du trône du grand roi David. La foule estime que le mendiant dérange, et le fait taire. Il ne se laisse pas décourager et continue de plus belle. Jésus s'arrête et le fait appeler. quel message il entend ! "Prend courage, lève-toi, il t'appelle".

    Nous est-il arrivé d'espérer un appel important, d'attendre qu'une personne particulière nous fasse signe ? Peut-être avons-nous dû insister, persévérer dans l'espoir d'entendre cet appel. Quel bonheur quand il arrive ! Ou peut-être avons-nous le sentiment de ne pas être appelés, de déranger, de rester sur le bord du chemin ? Mais non ! Jésus nous appelle, nous n'importunons jamais le Seigneur. Reconnaissons-le comme ce qu'il est : le fils de David, le Roi, le Sauveur du monde, le Fils de Dieu. Il est venu sur la terre pour devenir notre Sauveur. Ne laissons rien nous retarder. Comme Bartimée qui jeta loin son vêtement, levons-nous d'un bond, rejetons ce qui nous freine et allons à Jésus.Nous ferons l'expérience du salut qu'il offre, un salut éternel.

    Source (La Bonne Semence)

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