• Dès le commencement le diable pèche. C'est pour ceci que le Fils de Dieu a été manifesté : pour qu'il détruise les œuvres du diable. 1 Jean 3. 8 

     

    Beaucoup de gens de croient pas au diable, pourtant il existe bel et bien, il est présent du début à la fin de la Bible ! Deux prophètes de l'Ancien Testament parlent de son origine. C'était un ange particulièrement puissant, "forme accomplie de la perfection, plein de sagesse, et parfait en beauté ;... un chérubin oint (choisi)" (Ézéchiel 28. 12, 14). Mais, aveuglé par l'orgueil, il a dit : "Je monterai aux cieux, j'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu" (Ésaïe 14. 13). Dieu l'a alors précipité de sa montagne "comme une chose profane" (Ézéchiel 28. 16). Il est maintenant le chef des anges déchus avec lui, le chef de cette "puissance spirituelle de méchanceté" basée dans le ciel (Éphésiens 6. 12), mais active sur la terre pour faire le mal.

    Il s'es attaqué à l'homme dès le commencement, poussant Adam et Ève à ne plus faire confiance à Dieu (Genèse 3). Cela n'a que trop bien réussi, mais dès ce moment-là Satan a su qu'il n'aurait pas le dernier mot, que "la descendance de la femme" (c'est-à-dire Jésus Christ) "lui écraserait la tête" (Genèse 3. 15). Depuis, dans les limites fixées par Dieu, il s'occupe à "courir sur la terre et à s'y promener" (Job 1. 7 ; 2. 2) pour essayer d'entraîner les hommes dans sa chute. C'est encore le cas aujourd'hui, l'apôtre Pierre nous en avertit : "Soyez sobres, veillez : votre adversaire le diable, comme un lion rugissant, rôde autour de vous, cherchant qui il pourra dévorer" (1 Pierre 5. 8).

    Mais le chrétien n'a pas à craindre Satan, car Jésus l'a vaincu.

    (la suite demain)

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Je n’ai personne qui soit animé d’un même sentiment avec moi pour avoir une sincère sollicitude à l’égard de ce qui vous concerne.” Philippiens 2. 20

     

    Le propre de la souffrance, qu’elle soit physique ou morale, est d’être très personnelle. Toutefois nous avons souvent à nos côtés des enfants, des amis, des frères et sœurs aimants qui sympathisent avec nous ; ils prient pour nous et ils essaient de nous encourager. Dans d’autres épreuves, surtout d’ordre relationnel, nous sommes beaucoup plus seuls : des personnes se retirent pour éviter de prendre parti ; ou bien nous-mêmes nous craignons de mettre en cause d’autres personnes et nous nous taisons. Le résultat, c’est un sentiment de grande solitude.

    L’apôtre Paul l’avait ressenti. Cette expression : “je n’ai personne” est lourde de souffrance. Déjà l’emprisonnement l’isolait douloureusement ; mais de plus la jalousie de certains (Phil. 1. 17) ou l’égoïsme d’autres (Phil. 2. 21) les empêchaient d’être en communion avec Paul au sujet des Philippiens : il était seul, sans personne, sauf Timothée qu’il leur envoie.

    Lors de son second emprisonnement, la solitude de Paul est encore plus grande : “dans ma première défense, personne n’a été avec moi, mais tous m’ont abandonné”. Il était sans doute bien difficile de prendre parti pour celui qui allait sous peu mourir en martyr. C’est dans ce sentiment douloureux de solitude que Paul ajoute : “Le Seigneur s’est tenu près de moi et m’a fortifié” (2 Tim. 4. 17). Bien des hommes de Dieu ont senti la morsure de cette souffrance : la solitude.

    Elle a dû être bien grande pour Joseph, emmené comme esclave vers l’Égypte et encore plus grande quand il fut emprisonné dans la tour injustement… Mais “Dieu était avec lui” (Gen. 39. 23 ; Act. 7. 10). Quelle compagnie ! Dieu n’est-il pas aussi à nos côtés dans nos solitudes douloureuses ? Et pour Moïse rejeté par son peuple dans sa mission, obligé de fuir dans le désert de Madian, quelle solitude ! Elle n’était pas moins grande pour David, pourchassé par Saül pendant près de vingt ans. Il a décrit cette souffrance particulière dans les psaumes (Ps. 69. 20 ; 142. 4 ; 102. 6, 7). La solitude de Jérémie était profonde et douloureuse en face d’un peuple rebelle à Dieu : “Ils m’ont entendu gémir ; il n’y a personne qui me console” (Lam. 1. 21). Mais Dieu, lui, est attentif à la prière de l’affligé : “Il aura égard à la prière du désolé et ne méprisera pas leur prière” (Ps. 102. 17).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Vous faites partie du peuple de Dieu ; Dieu vous a choisis et il vous aime." Colossiens 3.12

     

    La Coupe du Monde de Football en Russie bat son plein. Avant qu’elle ne démarre, je suivais en direct l’annonce des joueurs élus pour faire partie de l’équipe de France. Certains étaient sûrs d’être choisis car cadres indiscutables de l’équipe, mais je n’ai pas pu m’empêcher de penser aux autres. A ceux qui étaient en compétition pour un poste en particulier. A l’annonce de leurs noms, je les ai imaginés sautant de joie et courant comme des enfants dans leur maison. Du moins, c’est comme cela que j’aurais réagi à leur place !

    "Je fais partie de l’équipe de Dieu, une équipe victorieuse qui ne pourra jamais perdre !"

    Représenter un pays, lors d’une Coupe du Monde de Football ou lors des Jeux Olympiques, est une chose extraordinaire que seuls ceux qui l’ont vécue peuvent comprendre. Cependant, cette joie n’est rien comparée à celle de savoir que nous avons été choisis par Dieu. Oui, nous faisons partie de son équipe (son peuple) et nous pouvons courir la course céleste fortement avantagés, car Jésus est le capitaine de l’équipe. "Avec lui, nous restons vainqueurs et nous allons de victoire en victoire." (Romains 8.37).

    Nous pouvons courir notre course aussi en proclamant que "si Dieu se place ainsi de notre côté, qui peut tenir contre nous ?" (Romains 8.31). Oui, la victoire est assurée !

    Oui, je ne suis pas un croyant qui fait partie d’une équipe banale. Je suis un envoyé de Jésus faisant partie de son équipe d’ambassadeurs, avec la mission d’apporter le plus extraordinaire message au monde.

    Oui, je suis un ambassadeur du royaume céleste, et je vais sortir de ma zone de confort pour aimer les gens et leur annoncer le message du salut avec ce puissant encouragement de la part de Dieu lui-même : "N’aie pas peur, mais parle et ne te tais pas, car je suis moi-même avec toi et personne ne s’attaquera à toi pour te faire du mal. En effet, j'ai un peuple nombreux dans cette ville." (Actes 18.9-10).

    Oui "un peuple nombreux" que Dieu a choisi pour lui appartenir. (Colossiens 3.12).

    Une prière pour aujourd’hui

    Mon Dieu, je confesse que tu m’as choisi et que je ne suis pas une erreur. Des parents peuvent rejeter ou ne pas désirer un enfant, mais dans les coulisses du ciel, c’est toi Père qui nous crées et nous choisis pour t’appartenir. Je confesse que j’ai été choisi non seulement pour revêtir ta sainteté, mais aussi pour devenir ton représentant et parler de ton amour et de ta grâce aux autres. Je fais partie de l’équipe de Dieu, une équipe victorieuse qui ne pourra jamais perdre !

    David Nolent

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Il compte le nombre des étoiles  à elles toutes il donne des noms. Notre Seigneur est grand et d'une grande puissance ; son intelligence est sans bornes. Psaume 147. 4, 5

    Qu'est-ce que l'homme, que tu te souviennes de lui ? Psaume 8. 4

     

    Martin revient de l'école, tout excité : "Ma maîtresse a dit que si le soleil était de la taille d'une orange, la terre ne serait qu'un minuscule grain de sable qui tournerait à 7 mètres autour de l'orange. Et alors l'univers serais beaucoup plus grand que la terre entière !" Martin est émerveillé. Pourtant une question l'inquiète et il la pose le soir à son papa :

    - Pourquoi l'univers est-il si grand et nous si petits ?

    - Martin, autrefois les hommes ne savaient pas que l'univers était si grand et si ancien, mais il étaient émerveillés de voir que le monde était fait pour que les hommes puissent y vivre. Alors ils pensaient à Dieu qui a tout créé, et qui l'a fait pour leur bien. Maintenant les scientifiques connaissent mieux les dimensions et l'âge de l'univers, ainsi que les mouvements des astres. Ils ont compris le fonctionnement du système solaire, et ils ont découvert que si un seul des paramètres de ce système (comme la distance terre-soleil) était modifié, la vie ne serait plus possible sur la terre.

    Bien plus qu'autrefois, nous pouvons êtres émerveillés par la grandeur de Dieu et par sa sagesse infinie. La Bible dit qu'il est d'une intelligence suprême, et qu'il n'a pas d'âge : il est éternel. Il s'appelle : JE SUIS. Elle nous dit aussi que Dieu s'intéresse aux hommes qu'il a créés, et qu'il veut leur bonheur.

    En entrevoyant la grandeur de l'univers, dans notre coeur nous nous tournons vers Dieu pour lui dire : "Tu es merveilleux !" et aussi : "Merci !"

    (suite mercredi prochain)

    Source (La Bonne Semence)

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  • [Jésus dit] : Je te loue, ô Père du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits enfants.” Matthieu 11. 25

     

    Les “choses” dont Jésus parle, ce sont les informations qu’il fait transmettre à Jean Baptiste en prison : “les aveugles recouvrent la vue… et l’Évangile est annoncé aux pauvres” (Matt. 11. 4-6). Face à l’incrédulité qu’il rencontre, Jésus rend grâces à son Père, car il cache ces choses à ceux qui se confient dans leur intelligence et “les révèle aux petits enfants”, ceux qui sont prêts à le croire. Deux scènes de l’évangile illustrent ces attitudes.

    1re scène (Matthieu 2) : Hérode interroge les principaux sacrificateurs et les scribes à propos du lieu de naissance de Jésus ; ils lui répondent : “à Bethléem de Judée” (Matt. 2. 5) et ils citent sans hésiter leur source : le prophète Michée (5. 2). Mais ils ne songent même pas à s’informer davantage sur la demande d’Hérode qui est “troublé et tout Jérusalem avec lui” par les propos des mages venus d’Orient (2. 3). Ces notables juifs se glorifient de leur position mais n’ont pas de réel intérêt pour le Messie qu’ils prétendent attendre.

    2e scène (Jean 9) : Un aveugle de naissance, guéri par Jésus un jour de sabbat, est rudoyé par les mêmes pharisiens. Ils l’interrogent et s’insurgent contre la pseudo-violation du sabbat. Enhardi, l’aveugle leur réplique : “Ce qui est étrange, c’est que vous ne sachiez pas, vous, d’où il est, alors qu’il m’a ouvert les yeux ! Si celui-ci n’était pas de Dieu, il ne pourrait rien faire” (v. 30, 31). En colère, les pharisiens l’injurient et le chassent de la synagogue, lui imposant l’excommunication (v. 34).

    C’est alors que Jésus le trouve et lui dit : “Crois-tu au Fils de Dieu ? Il répondit : Qui est-il, Seigneur, afin que je croie en lui ? Jésus lui dit :… celui qui parle avec toi, c’est lui. Il dit : Je crois, Seigneur ! Et il lui rendit hommage” (v. 35-38).

    Ces exemples n’éclairent-ils pas ce que veut dire Jésus quand il parle de « cacher » et « révéler » ? Sa personne est cachée aux pharisiens imbus de leur savoir, mais elle est révélée à cet aveugle disposé à croire celui qui l’a guéri.

    Source (Plaire au Seigneur)

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