• “Par lui [le Fils de l’amour du Père]… tout a été créé, ce qui est dans les cieux, et ce qui est sur la terre, le visible et l’invisible… tout a été créé par lui et pour lui.” Colossiens 1. 16

     

    Ce verset et bien d’autres, par exemple Héb. 1. 2, affirment que Dieu est à l’origine de la création et que Jésus Christ est à la fois le créateur des mondes et le motif même de leur existence.

    Si Dieu existe et qu’il est le créateur de tout, il faut lui accorder obéissance et soumission, ce que l’homme naturel, incrédule, ne veut ni ne peut faire. C’est pourquoi la théorie de l’évolution, quand elle veut se passer de Dieu comme créateur, a connu un si grand succès. Présentée comme une démarche scientifique, elle s’impose sans légitimité à la majorité de nos contemporains.

    En effet, un raisonnement scientifique honorable consiste à relier logiquement les observations, les faits entre eux afin de bâtir une théorie explicative que l’expérience répétée viendra valider ensuite. De ce point de vue une théorie des origines ne peut être véritablement « complètement scientifique ». Il est évident qu’aucun observateur humain n’était présent lors de la formation des mondes et qu’il est impossible de reproduire les conditions dans lesquelles elle s’est produite. De plus la plupart des faits sur lesquels elle s’appuie, sont régulièrement remis en cause par des découvertes successives et leur compréhension alors revisitée.

    La Bible n’est donc nullement contredite par une véritable démarche scientifique. Les chrétiens croient tout simplement ce qu’elle leur déclare concernant la création et toutes les autres questions.

    Jésus, lorsqu’il était sur la terre, a montré son attachement absolu à la Bible en citant fréquemment l’A.T. Il s’est référé, entre autres, aux deux premiers chapitres de la Genèse qui commencent ainsi : “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre”, pour nous raconter ensuite la création des choses qu’ils contiennent, y compris la création détaillée de l’être humain, de l’homme et de la femme.

    Soyons donc les imitateurs de notre Seigneur Jésus Christ en croyant pleinement, et simplement comme il se présente, le récit de la création. Ne cherchons pas à mettre obligatoirement la Parole de Dieu en concordance avec des hypothèses humaines nécessairement limitées et… évolutives ! Nous reconnaissons le Seigneur Jésus comme le Dieu sauveur et nous proclamons aussi sa gloire de Dieu créateur !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “Toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu” Romains 8.28

     

    Toute expérience est utile si vous l’utilisez avec sagesse. Dieu peut se servir de ce que vous vivez pour vous faire devenir la personne qu’il veut que vous soyez. 

    "Toute expérience est utile si vous l’utilisez avec sagesse."

    Moïse a grandi dans une famille d’accueil. Enfant adoptif de la fille de Pharaon, il a passé 40 ans à apprendre la langue et la culture des Égyptiens. Rien de mieux que de grandir parmi ses ennemis pour les comprendre. Mais Moïse devait aussi prendre quelques leçons particulières. Dieu l’a donc envoyé garder des moutons dans le désert pendant 40 ans. 

    Le petit-fils de Pharaon était devenu modeste berger. Rien ne vous rendra plus humble que d’avoir à accepter un emploi pour lequel vous êtes surqualifié, en particulier lorsque vos erreurs vous y conduisent. Mais pendant ces années de misère, Dieu a appris à Moïse à s’identifier aux malheureux. Finalement, à 80 ans, il était prêt à répondre à son appel. “Dieu l'appela de l'intérieur du buisson et dit : Moïse ! Moïse !” (Exode 3.4). De cet endroit plus qu’improbable, Dieu a révélé à Moïse qu’il allait délivrer Israël. Mais malgré sa peur, ses faux-fuyants et ses objections, il a fini par faire de l’excellent travail. 

    En fait, les 80 ans d’entraînement de Moïse n’ont pas été du gaspillage. Les 40 ans dans un palais l’ont préparé à négocier avec Pharaon, et les 40 ans comme berger l’ont préparé à guider le peuple de Dieu à travers le désert jusqu’à leur destination. 

    Une pensée pour aujourd’hui

    Alors même si vous pensez mériter une meilleure place que celle que vous occupez aujourd’hui, rappelez-vous que Dieu ne gaspille jamais une expérience. Jamais ! Il s’en servira pour votre bien et pour sa gloire.

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Une femme cananéenne... se mit à crier : Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David ; ma fille est cruellement tourmentée par un démon... Viens à mon secours !... Jésus lui répondit : Femme, ta foi est grande : qu'il te soit fait comme tu veux. Et, dès ce moment-là, sa fille fut guérie. Matthieu 15. 21-28

     

    Une femme supplie Jésus de guérir sa fille possédée d'un démon. Tout d'abord, Jésus ne lui répond pas, car elle ne fait pas partie d'Israël, le peuple de Dieu, vers lequel il était envoyé. Mais la femme insiste et les disciples, agacés, voudraient la renvoyer.

    Or Jésus persiste à ne pas lui répondre. Va-t-elle se décourager, et renoncer enfin ? Pas du tout ! Elle lance un vibrant appel au secours. Jésus n'aurait-il pas pitié d'elle ? Si ! Il répond enfin. Mais c'est le coup de grâce : il la compare, elle, une étrangère, aux chiens, auxquels on ne donne pas le pain des enfants ! Alors la femme prend sans protester cette place humiliante : s'il en est ainsi, les chiens ont au moins les miettes des enfants, répond-elle. Et voilà enfin la victoire. Jésus lui dit : "Ô femme, ta foi est grande". Et sa fille est guérie.

    L'attitude de Jésus nous paraît surprenante et même choquante. Mais il sait ce qu'il fait. Contrairement à l'apparence, il ne méprise pas cette étrangère, il veut mettre en évidence sa foi. Il semble d'abord l'ignorer, ou la repousser, mais il ne la laisse pas partir déçue ! Il l'amène à faire appel à la grâce de Dieu uniquement. Elle admet qu'elle n'a droit à rien. L'amour inconditionnel de Jésus est donc justement pour elle !

    Chrétien, Jésus met-il ta foi à rude épreuve ? Semble-t-il ne pas te répondre, et ne pas s'occuper de toi ? Ne crains jamais d'insister. Si tu ne mérites rien, sa grâce est justement pour toi, riche et abondante.

    Et personne ne fait appel en vain à la grâce divine !

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Ainsi, mes frères bien-aimés, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler." Jacques 1. 19

    “Répondre avant d’avoir entendu, c’est une folie et une confusion pour qui le fait.” Proverbes 18. 13

     

    L’écoute est à la base de la communication et c’est la communication qui nourrit et enrichit toutes les relations. Comment alors mieux écouter mon voisin, mon collègue, mon camarade qui ne connaît pas le Seigneur ? Voici quelques pistes :

    1. Préparer l’entretien en priant sincèrement pour cette personne.

    2. Cultiver à son égard un sentiment d’amour : ainsi je vais me montrer proche, sincère et bienveillant.

    3. Me décentrer de moi-même, de mes problèmes et me soucier de l’autre. Joseph, souffrant lui-même en prison, a été sensible à l’aspect du visage de l’échanson et du panetier, les a laissé raconter leur rêve et a saisi cette occasion pour parler de Dieu (Gen. 40. 6, 8).

    4. Ouvrir mon cœur avec une disposition bienveillante. Accorder du temps à l’autre signifie : « Je t’aime et je me rends disponible pour toi. Ce que tu as à me dire est important pour moi ».

    5. D’abord m’intéresser à ce qu’il dit, à sa vie, à ses préoccupations (même les plus insignifiantes à mes yeux) pour ensuite éventuellement lui parler du Dieu de ma vie. Donc passer peu à peu du plus banal (météo – santé…) au plus profond, au spirituel…

    6. Garder l’attention concentrée pour nourrir le contact, la confiance.

    7. Savoir me taire, car le silence est preuve de sagesse (Job 13. 5). Parfois être là, simplement, sans rien dire, prenant la dimension de son épreuve…

    8. L’écouter sans l’interrompre et le laisser terminer. Souvent il me tarde de donner mon avis, de faire la morale, de proposer une solution ! Or, il y a un temps pour se taire et… écouter (Ecc. 3. 7).

    9. Poser des questions ouvertes, si nécessaire, pour comprendre.

    10. Ne pas ramener son histoire à moi (mes émotions) ni comparer avec mes expériences passées tout en montrant ma propre sensibilité par des conditions personnelles comparables.

    11. Repérer tout blocage en moi qui m’empêche d’écouter l’autre ; ce qui est lié à mes préjugés, peut-être à mon orgueil.

    12. Me rappeler que l’Esprit Saint veut me venir en aide pour “que [ma] parole soit toujours dans [un esprit de] grâce, assaisonnée de sel, afin que [je sache] comment [je dois] répondre à chacun” (Col. 4. 6).

    Seigneur, donne-moi “un cœur qui écoute” (1 Rois 3. 9).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Vers le matin, pendant qu’il faisait encore très sombre, il se leva, et sortit pour aller dans un lieu désert, où il pria." Marc 1.35

     

    "En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu." Luc 6.12

    "Quand il l'eut renvoyée, il monta sur la montagne, pour prier à l'écart ; et, comme le soir était venu, il était là seul." Matthieu 14.23

    "Lorsque Dieu n'a plus la première place dans notre agenda quotidien, alors il n'est plus le premier du tout…"

    Jésus passait du temps avec son Père. Bien que Fils de Dieu, il était conscient de l'importance de la prière. Malheureusement, trop de chrétiens pensent que la communion de Jésus avec son Père était quelque chose de très facile, voire même inné… 

    Mais, Jésus n'avait pas une antenne sur la tête qui le reliait 24 heures sur 24 avec le Ciel. Non ! Lorsqu'il désirait prier, il devait se faire violence, se retirer dans des lieux déserts, se mettre à l'écart. Il n'était pas seulement Fils de Dieu, il était aussi fils de l'homme. En se dépouillant de sa gloire, Jésus a délibérément choisi de soumettre sa vie aux contingences terrestres. S'il voulait entendre la voix de son Père, il lui fallait prier. 

    Alors si Jésus a lutté pour prier, à combien plus forte raison devons-nous, nous aussi, lutter pour prier et lutter dans la prière !

    Celui qui décline spirituellement éprouve des difficultés à prier seul chez lui. Il ne sait plus ce qu'il convient de demander et ne permet plus à l'Esprit de lui venir en aide. Il ne prie plus dans les groupes de prière ni même dans les réunions de la grande assemblée…

    Chaque chrétien devrait démarrer sa journée en se présentant devant Dieu. Nous devrions tous voir la face de Dieu avant de voir celle des hommes. Lorsque Dieu n'a plus la première place dans notre agenda quotidien, alors il n'est plus le premier du tout… 

    Avez-vous besoin de retrouver le chemin de la prière ? Si tel est votre cas, redressez l'autel renversé ! Remettez en place le culte quotidien que vous devez rendre à Dieu ! 

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, pardonne-moi d'avoir négligé l'autel de ma communion avec toi. Je reconnais que je ne prie plus comme je devrais le faire... Aide-moi à retrouver le chemin de la prière. Amen.

    Franck Alexandre

    Source (La Pensée du Jour)

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