• (Jésus dit) : Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Matthieu 11. 28

    Voici, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3. 20

     

    Se repentir, c'est faire un demi-tour radical dans ses pensées et ses actes. C'est ce qui arriva à un assistant du président Nixon. Après le scandale d'une affaire d'espionnage, il commença à jeter un regard différent sur sa vie et se mit à lire un ouvrage sur le christianisme, offert par un ami. Il raconte :

    "Je savais que mon heure était arrivée... Il fallait que j'accepte sans réserve Jésus Christ comme le Seigneur de ma vie. C'était comme un portail devant moi. Il ne m'était pas possible de le contourner. Je devais entrer, ou je devais rester dehors." Après un long combat intérieur, ce collaborateur du président des États-Unis réalisa finalement que Jésus Christ méritait son allégeance totale. Il capitula : "Seigneur Jésus, je crois en toi. Je t'accepte. S'il te plaît, viens dans ma vie. Je te la consacre." Il découvrit alors que ses questions particulières : "Pourquoi est-ce que j'existe ?" "Où est-ce que je vais ?" trouvaient leurs réponses dans cette nouvelle relation personnelle qu'il avait avec Jésus Christ.

    Connaître Jésus comme notre Sauveur permet une intimité réelle avec lui. Jésus Christ comble notre vide intérieur, nous remplit de sa paix, et nous donne une raison de vivre. L'accepter pour Seigneur de notre vie, répond aussi  nos besoins les plus profonds d'amour et de paix. Qui que vous soyez, Jésus vous aime et vous invite à cette relation personnelle avec lui.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “En effet, le royaume des cieux est semblable à un maître de maison qui sortit dès le point du jour afin d’embaucher des ouvriers pour sa vigne. Après être tombé d’accord avec les ouvriers pour un denier par jour, il les envoya dans sa vigne… Sortant enfin vers la onzième heure, il en trouva d’autres qui étaient là… il leur dit : Allez, vous aussi, dans la vigne et vous recevrez ce qui sera juste… [ces derniers] reçurent chacun un denier.” Matthieu 20. 1-9

     

    Cette parabole fait référence à la pratique d’embauche habituelle de travailleurs saisonniers. Un viticulteur se rend sur la place du marché pour embaucher ceux qui attendent du travail.

    Dans cette parabole on distingue deux types d’ouvriers : les premiers embauchés ont une rémunération convenue : un denier pour leur journée de travail. Le salaire des autres, embauchés à des heures différentes de la journée dépend de la seule appréciation de leur employeur sur leur travail : ils recevront “ce qui sera juste”. Et en fait ce sera… un denier également, ce qui ne correspond pas à la pratique salariale courante : « à chacun selon ses mérites et son travail ».

    Le Seigneur Jésus illustre ainsi plusieurs aspects du royaume des cieux qui sont déjà présents dans ses enseignements dans les évangiles, et qu’il fera largement développer par le ministère des apôtres.

    – Il y a une rémunération de ceux qui sont appelés à le servir dans le royaume

    – Il y a une hiérarchie entre les divers ouvriers, selon l’ampleur de leur tâche effectuée et sa qualité.

    – Les critères de classement ne sont fondés que sur l’appréciation et le propos du Roi. Les critères du Roi, lors des récompenses à sa prise de fonctions, ne sont pas identiques à ceux qui ont cours entre les ouvriers pendant leur travail. C’est lui seul qui apprécie

    – Le privilège de servir un tel maître, juste et bon, peut-il se comparer à un salaire ?

    Les conséquences pratiques de ces différents points sont aujourd’hui pour moi les suivantes :

    – Mes efforts auront leur récompense, j’abonde toujours plus dans son service. – Je m’applique donc maintenant à être agréable à Dieu, à lui être fidèle dans l’administration de ce qu’il m’a été confié.

    – Je bénéficie de sa bonté et de sa justice dans son service.

    – Je laisse à Dieu seul l’appréciation de ce que je fais ; c’est de lui que je recevrai une rétribution, il est celui qui récompense la foi (Héb. 11. 6).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous : comment ne nous donnerait-il pas tout avec son Fils ? Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? Personne, car c’est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur." Romains 8.31-34

     

    Vous est-il déjà arrivé de lever les yeux au ciel et de dire : “Seigneur, où étais-tu, quand… ? Où étais-tu quand le malheur a frappé ma famille ? Quand j’ai traversé la maladie, le rejet, l’incompréhension ?”

    "Si Dieu est pour vous, qui peut se tenir contre vous ?"

    Dieu vous dit : “Je suis avec toi ! J’ai toujours été avec toi, et je serai toujours avec toi. Dans toutes tes situations, je suis à tes côtés. Je suis Dieu, je suis tout-puissant, je suis “je suis”, de toute éternité. Et je suis pour toi. Je ne me contente pas de t’accompagner : j’intercède pour toi, je te supporte, je te couvre de mon amour, je te comprends, je te garde, je te délivre de toute forme de condamnation, parce que le prix de toute culpabilité a été payé par mon Fils sur la croix.”

    Si Dieu est pour vous, qui peut se tenir contre vous ? Quelle circonstance désagréable peut vous arrêter ? Quel problème de santé, quelle injustice, quelle moquerie peut vous stopper ? Aucune arme forgée contre vous ne peut prospérer car vous n’êtes jamais seul(e). Jésus a tout accompli. Oui, "Je suis" est avec vous !

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, mon âme exulte de reconnaissance pour ta présence victorieuse à mes côtés, chaque jour de ma vie, et en toutes circonstances. Merci d’être avec moi, merci pour ta faveur sur ma vie, merci parce que rien ne peut me séparer de ton amour !

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Par devers toi (ô Dieu) est la source de la vie, en ta lumière nous verrons la lumière. Psaume 36. 9

    En elle (la Parole) était la vie, et la vie était la lumière des hommes. Jean 1. 4

     

    Un bébé vient de naître : les parents s'émerveillent de ses premiers sourires, puis des gestes plus précis, et de chaque nouveau progrès... Les grands-parents aussi, ravis, regardent le bébé avec tendresse. Ils admirent son regard, ses gazouillis, comment il s'ouvre à la vie et désire explorer le monde qui l'entoure. "Il croque la vie", disait une grand-mère de 23 petits-enfants.

    Aucun de nous n'a choisi de venir à la vie. Elle nous a été donnée. Ma vie vient de mes parents, et la vie de mes parents vient de mes grands-parents, et ainsi de suite... Mais surtout ma vie vient de Dieu.

    Quelle pensée forte ! Je suis issu de la volonté et de l'amour de Dieu. Ma vie sur la terre n'est pas quelque chose de nouveau. Je suis né comme porté dans un fleuve de vie qui coule depuis sa source : Dieu lui-même qui donne la vie.

    Mais quand la Bible dit que la vie était dans la Parole, elle évoque bien plus que la vie physique, elle parle de la vie spirituelle. Car vivre, ce n'est pas seulement exister, c'est avoir une vraie relation de confiance avec Dieu. "La vie éternelle - à dit Jésus -, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ" (Jean 17. 3). Cette relation avec Dieu, mon Père, me fait comprendre le vrai sens de ma vie, car il m'instruit, il m'éclaire au sujet de ce qui m'entoure, au sujet du bien et du mal, de la joie et de la souffrance. Et ainsi le chrétien peut témoigner : vivre, c'est être venu à la "merveilleuse lumière" apportée par Jésus Christ (1 Pierre 2. 9).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Là où le péché abondait, la grâce a surabondé.” Romains 5. 20

     

    Jérôme naît en 331 en Illyrie, l’Albanie actuelle. Cherchant la vérité, il entre dans un monastère où il partage la vie austère des moines. Là, ne trouvant pas ce qu’il cherche, il se retire seul dans un désert. Mais là encore il revoit en souvenir les fêtes et les délices de Rome où il était étudiant. Il s’efforce de dompter ses pensées vagabondes par des semaines d’abstinence. Mais il n’a pas compris que Dieu seul peut lui donner la victoire par Jésus Christ (Rom. 8. 37).

    Plongé dans ses réflexions, il lui arrive de s’écrier : « Ô Jésus, mon Seigneur, comme tu es tremblant, comme ta couche est dure, et toutes ces choses tu les souffres pour moi ! Comment pourrais-je te les rendre ? » Et il lui semble entendre Jésus lui répondre : « Je ne te demande qu’une chose, c’est d’unir ta voix à celle de l’armée céleste, et de chanter comme elle : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ! » Tu me verras bien plus misérable dans le jardin des Oliviers et sur la croix ».

    Jérôme reprend : « Ô Jésus, je veux te donner quelque chose, je te ferai présent de tout mon argent ». Jésus lui répond : « Le ciel et la terre m’appartiennent ; je n’ai pas besoin de ton argent. Donne-le aux pauvres ; ce sera comme si je l’avais reçu ». « Je le ferai de bon cœur ; mais, ô Jésus ! je voudrais aussi te donner quelque chose qui soit pour toi, que tu ne refuses point ». Alors Jésus lui dit : « Mon cher Jérôme, puisque tu veux absolument me donner quelque chose, eh bien, donne-moi tes péchés, ta mauvaise conscience, ta condamnation ». « Et que veux-tu en faire ? » « Je les prendrai sur moi ; je porterai ton péché et t’en déchargerai ».

    Ainsi Jérôme comprend comment on est délivré du péché et s’écrie : « Ô Jésus ! Tu as touché mon cœur. Je pensais que tu demanderais de moi quelque chose de bon, et voici tu ne prends que ce qui est mauvais. Prends donc tout ce qui est à moi, donne-moi ce qui est à toi, et ainsi je serai délivré de mes péchés et assuré de la vie éternelle ».

    Comme Jérôme, nous n’avons rien à donner à Christ. Par contre, Lui nous a tout donné. Ce qu’il produit de nous en retour, c’est notre fidélité, notre amour, notre reconnaissance et notre adoration.

    Source (Plaire au Seigneur)

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