• Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit ni la flèche qui vole de jour. Psaume 91.5

     

    Infirmière originaire des Pays-Bas, Geeske Zijp a servi son prochain dans différents pays : Thaïlande, Soudan, Irak et à présent au Tchad où elle est engagée avec la Mission Lèpre (In En Action, magazine de Mission Lèpre, septembre 2016). Femme courageuse, elle n'a cependant rien d'une aventurière qui ignorerait la peur.

    Les tension vécues en Thaïlande ont longtemps provoqué de l'angoisse chez Geeske, dès qu'elle entendait un bruit soudain. Par quatre fois déjà, du fait des conflits armés dans les endroits où elle venait en aide à la population, elle a dû quitter un pays  la hâte. Mais à chaque fois, elle est repartie servir.

    « Je ne cherche pas l'aventure, c'est Dieu qui me ramène à chaque fois à l'endroit où je dois travailler. Lors d'un trajet en voiture au Tchad, des bandits ont visé le chauffeur pour voler la voiture. Il s'est baissé sous le volant et a appuyer à fond sur l'accélérateur. Les balles ont frôler nos oreilles. Je me suis aussi baissée et j'ai sentie une balle frôler mes cheveux. Le câble d'électricité a été touché et le tableau de bord s'est éteint, mais le moteur marchait toujours. Lorsque nous étions en sécurité, nous avons constaté que treize des quatorze câbles avaient été touchés par les balles. Le quatorzième avais été épargné, justement celui qui était nécessaire pour continuer à rouler. C'était un miracle. »

    Dieu prend encore soin de ceux qui se confient en Lui.

    Claude Siefert

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    Lecture proposée : Psaume 91.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Le Dieu de paix brisera bientôt Satan sous vos pieds. Que la grâce de notre Seigneur Jésus soit avec vous ! Romains 16. 20

     

    Satan ne pouvait rien contre Jésus. Celui-ci est sorti vainqueur de la terrible tentation au désert (Matthieu 4. 1-11). Il n'y avait pas en lui une seule faille par laquelle le diable puisse l'atteindre. Juste avant la crucifixion, il a déclaré à ses disciples : "Le chef du monde vient ; et il n'a rien en moi" (Jean 14. 30). La mort de Christ n'a pas été le triomphe de Satan, au contraire : par elle, Christ a rendu "impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable" (Hébreux 2. 14). La mort de Jésus et sa résurrection ont été un triomphe sur Satan et ses anges (lire Colossiens 2. 15).

    Bien que cette défaite de Satan soit acquise, Dieu lui permet encore d'agir, mais cela ne durera pas. Pendant le "millénium", règne futur de Christ sur la terre. Satan sera retenu captif, "afin qu'il ne séduise plus les nations". Il sera ensuite relâché pour une courte période, où il suscitera une ultime révolte (Apocalypse 20. 2, 3, 7). Son sort définitif sera "le feu éternel préparé pour le diable et ses anges" (Matthieu 25.. 41 ; Apocalypse 20. 10).

    Chrétiens, Satan peut nous attaquer, mais nous pouvons lui résister car "nous n'ignorons pas ses intentions" (Jacques 4. 7 ; 2 Corinthiens 2. 11) et nous possédons les armes spirituelles que Dieu nous donne par sa Parole (Éphésiens 6. 11). Et surtout, nous pouvons compter sur les prières de notre Sauveur, lui qui a dit un jour à Pierre : "Satan a demandé à vous avoir pour vous cribler comme le blé ; mais moi, j'ai prié pour toi,afin que ta foi ne défaille pas" (Luc 22. 31, 32)

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Je regardai et il n’y avait point de secours et je m’étonnais qu’il n’y eût personne qui me soutint.” Ésaïe 63. 5

     

    Un plus grand que ces hommes de foi est passé par cette souffrance de la solitude : notre Seigneur Jésus. Plus il approche de la croix, plus il est seul en face de l’animosité, puis de la haine cruelle des hommes, de son peuple. Certes, quelques voix s’élèvent bien pour prendre parti en sa faveur : des gens de la foule affirment : “Celui-ci est véritablement le prophète” (Jean 7. 40), d’autres déclarent : “Celui-ci est le Christ” (v. 41) ; d’autres proclament la prophétie le concernant (v. 42) ; les huissiers même reconnaissent que “jamais homme n’a parlé comme cet homme” ; Nicodème, un membre du sanhédrin, tente de prendre la défense de Jésus (7. 50, 51). Mais toutes ces voix timides sont vite écrasées par celle des chefs (v. 47-59 et 52). Jésus reste seul, il est trahi par un disciple, renié par un autre et abandonné finalement par tous : “Vous me laisserez seul” (Jean 16. 32 ; Matt. 26. 56). En effet lors des différentes comparutions de Jésus devant les autorités juives et romaines, dans la nuit du jeudi au vendredi, personne ne prend sa défense. Aucune voix ne s’élève, aucun ami ne défend sa cause, Jésus n’a aucun avocat.

    Que s’est-il passé dans l’âme de Jésus notre Seigneur dans ces moments-là ? Les Psaumes en particulier nous le dévoilent : “L’opprobre m’a brisé le cœur, et je suis accablé, j’ai attendu que quelqu’un eût compassion de moi, mais il n’y a eu personne” (Ps. 69. 20) ; “la détresse est proche et il n’y a personne qui secoure” (Ps. 22. 11) ; “tout refuge est perdu pour moi, il n’y a personne qui s’enquière de mon âme” (Ps. 142. 4).

    Mais Jésus trouve à cette souffrance une douce et bienheureuse compensation dans la communion avec son Dieu et Père : “Celui qui m’a envoyé est avec moi, il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable” (Jean 8. 29) ; “je ne suis pas seul, le Père est avec moi” (Jean 16. 32).

    Bien-aimé du Seigneur, vous sentez-vous seul en face de l’épreuve ? Nous qui avons part dans le temps présent à la communion de cette souffrance (Phil. 3.10), nous voulons chanter dans la foi, le refrain de ce vieux cantique toujours actuel : « Non, jamais tout seul… ».

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Craignez l'Éternel vous ses saints ! Car rien ne manque à ceux qui le craignent." Psaume 34.10

     

    Je me souviens d'un matin : je m'étais assise pour prier, mais au lieu de cela, j'ai commencé à m'inquiéter de ma situation du moment et à rechercher des solutions.

    "Lorsque nous louons le Seigneur, nous nous libérons du fardeau émotionnel et mental qui pèse sur nous."

    Tout à coup, j'ai entendu dans mon esprit cette petite voix calme me dire : "Joyce, vas-tu adorer ton problème ou vas-tu m'adorer moi ?" Vous voyez, Dieu avait vraiment le désir de résoudre mon problème, mais pour cela il fallait que j'oublie mes soucis et que je passe du temps à l'adorer, lui.

    Lorsque nous louons le Seigneur, nous nous libérons du fardeau émotionnel et mental qui pèse sur nous. Ce fardeau est englouti par la toute-puissance de Dieu.

    Lorsque nous fixons nos yeux sur Dieu et que nous l'adorons, Il fait concourir toutes choses à notre bien. La Bible dit que ceux qui adorent réellement le Seigneur et qui le craignent, ne manquent de rien.

    Voulez-vous être assuré de ne jamais être dans le besoin ? Alors souvenez-vous d'adorer Dieu et de ne pas vous inquiéter. Continuez à le louer et à lui rendre gloire sans regarder à vos difficultés.

    La foi va ainsi grandir dans votre cœur et vous permettre de surmonter les obstacles.

    Commencez par prier ainsi :

    Seigneur, je choisis de ne pas m'inquiéter mais de t'adorer. Tu es grand et puissant et je sais que tu combles mes besoins parce que tu es bon et que tu m'aimes.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? Matthieu 27.46

     

    Les évangiles nous rapportent ce cri de Jésus sur la croix. Jésus souffre horriblement. Innocent, il est pourtant condamné ! Crucifié, il endure le supplice ! Et qui plus est, il se sent abandonné par Dieu son Père !

    Jésus connaît la réponse à sa question. Pourquoi la pose-t-il alors ?

    Il y a à cela au moins trois raisons :

    - Pleinement Fils de Dieu, Jésus n'en demeure pas moins pleinement homme. Comme nous, dans sa terrible souffrance, il implore son Père.

    - Sa crucifixion accomplit une prophétie, celle du psaume 22 qui décrit précisément son agonie et mentionne ce cri, presque mille ans avant l'événement.

    - Il crie l'angoisse de l'abandon de Dieu sans doute pour que nous saisissons mieux la portée de sa mort.

    Le prophète Ésaïe la détaille : Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos fautes : le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui. C'est par ses blessures que nous sommes guéris... Il a subi notre punition, et nous sommes acquittés ; il a reçu les coups et nous sommes épargnés. L'Éternel a fait retomber sur lui les fautes de nous tous. (Ésaïe 53. 5-6)

    Jésus, sur la croix, a connu le pire, l'enfer de la séparation d'avec Dieu. Et cela à cause de nos péchés.

    N'est-il pas digne de recevoir tout notre amour en retour ?

    Francis Rivère

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    Lecture proposée : Psaume 22, versets 1 à 22

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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