• Ne sais-tu pas… que le Dieu d'éternité, l'Éternel, créateur des bouts de la terre, ne se lasse pas et ne se fatigue pas ? On ne sonde pas son intelligence. Ésaïe 40. 28

    Ce qu'il y a d'invisible en lui, c'est-à-dire à la fois sa puissance éternelle et sa divinité, se discerne au moyen de l'intelligence, d'après les choses créées. Romains 1. 20

     

    “Je veux connaître les pensées de Dieu; le reste n'est que détail”, disait un jour Albert Einstein à l'un de ses étudiants.

    L'étude de l'univers avait révélé à ce savant hors pair la cohérence et l'intelligence qui régissent les lois de l'univers. Einstein ne croyait pas au hasard mais en un Dieu créateur. Aussi cherchait-il à percer la pensée maîtresse ou l'intention de celui qui avait établi une telle harmonie.

    Comme ce savant, demandons-nous quel est l'objectif que Dieu poursuit à travers le chef-d'œuvre de la création dont nous faisons partie. Sans doute, pas mieux qu'Einstein, nous ne saurons donner la réponse. Mais la question plus immédiate qui importe est celle-ci : quelle est la volonté de Dieu à mon sujet ? La Bible est claire : l'intention de Dieu est d'établir une relation étroite avec l'homme qu'il a créé. Chacun est invité à le connaître, non seulement comme le créateur mais aussi comme le Dieu qui veut délivrer l'homme perdu. Il a donné son Fils Jésus Christ pour sauver ceux qui se reconnaissent tels. En venant sur la terre, Jésus a révélé que l'auteur de l'univers est aussi le Dieu sauveur : son amour invite chacun à s'approcher de lui.

    Dieu ne vous a pas créé pour ensuite se désintéresser de vous. Chacun est connu de lui. N'a-t-il pas créé l'homme à sa ressemblance (Genèse 5. 1) ?

    La pensée de Dieu a de l'importance pour vous, c'est indéniable. Croyez en Jésus Christ, il est mort pour vous sauver du jugement éternel.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison.” Luc 19. 5

     

    Quand une personne rencontre Jésus dans sa vie, elle n’est plus la même après qu’avant. Soit elle suit Jésus, soit elle s’en éloigne. Elle change inévitablement.

    Le paralysé de Capernaüm a été descendu par le toit par quatre personnes pour l’approcher de Jésus ; mais il est ressorti seul par la porte, pardonné et guéri (Marc 2. 1-12).

    La femme samaritaine avait quitté le village de Sichar pour puiser de l’eau. Elle y est retournée transformée ! Sa cruche reste au bord du puits ; partager sa découverte du Messie avec ses concitoyens était plus important que de ramener de l’eau !

    Un chef des publicains détestés de tous, Zachée, a grimpé dans un sycomore pour voir Jésus. Il n’est plus le même quand il redescend : Jésus s’est invité chez lui !

    Quand Jésus entre dans un village, dix lépreux l’interpellent (Luc 17. 12). “Jésus, maître, aie pitié de nous”, crient-ils. En chemin pour obéir à Jésus, ils reçoivent une réponse à leur foi : ils sont tous guéris. Mais un seul revient vers Jésus pour lui rendre hommage, or c’est un Samaritain, race qui détestait les Juifs (et réciproquement) !

    Saul de Tarse était sorti de Jérusalem, plein de rage contre ceux qui croyaient en Jésus (Act. 9. 1-9). Il est tout différent quand il entre à Damas, ébloui par la lumière divine, ne voyant rien et conduit par la main de ses compagnons. Il est encore plus différent quand il revient à Jérusalem comme fervent disciple de Jésus.

    Un jeune homme riche se jette à genoux devant Jésus avec cette question : “Bon maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ?” Il repart tout triste, consterné par la réponse : “Une chose te manque : va, vends tout ce que tu as, donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel ; et viens, suis-moi” (Marc 10. 21). C’est le seul homme dans les évangiles qui s’éloigne de Jésus avec un tel sentiment. Il est pourtant dit que “Jésus l’aima”, comme pour souligner le drame : on peut être aimé de Jésus et ne pas répondre à son amour !

    Que Jésus soit assis sur la margelle d’un puits, qu’il marche à travers Jéricho, qu’il soit arrêté dans sa marche par un homme qui se jette à ses pieds, ou qu’il parle du haut du ciel, il nous interpelle pour se révéler à nous et nous transformer à son contact.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Vers le matin, pendant qu’il faisait encore très sombre, il se leva, et sortit pour aller dans un lieu désert, où il pria." Marc 1.35

     

    Bill Bright fondateur de Campus pour Christ, aujourd’hui décédé, a par la grâce de Dieu, envoyé des dizaines de milliers de missionnaires dans les campus universitaires à travers le monde. Deux ans avant sa mort, ses amis désirèrent lui rendre un bel hommage. Au cours de la commémoration, les invités pouvaient voir sur un écran des photos retraçant ce qu’avait accompli l’homme de Dieu pendant sa vie. Sur la première photo du diaporama était indiqué : "Comment tout cela a-t-il commencé ?" Une deuxième montrait Bill Bright en méditation assis sur une chaise tenant dans ses mains la Bible. Et une troisième photo répondait aux deux premières par ceci : "Avec un homme, sa Bible et son Dieu !"

    "Seuls ceux qui ont pris le temps de grandir avec leur Dieu en profondeur ont un impact éternel."

    Le puritain E.M. Bounds a déclaré ceci : "Les hommes recherchent de meilleures méthodes mais Dieu recherche de meilleurs hommes." C’est toujours d’actualité, nous avons besoin de gens profondément ancrés dans le cœur de Dieu, sachant apprendre dans le calme, la solitude et la méditation les choses importantes à ses yeux.

    La solitude réajuste les valeurs d’un homme. Elle lui permet vraiment de se recadrer et de réaliser qu’il est important de se regarder pour trier et peser ses choix avant que cela ne soit trop tard. Je me souviens d’une expression m’ayant interpellé lorsque je vivais au Canada, quand une personne passait par un temps d’émondage, les gens disaient : "Il dîne avec Dieu." 

    Seuls ceux qui ont pris le temps de grandir avec leur Dieu en profondeur ont un impact éternel.

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur je veux prendre le temps de dîner avec toi. Fais de moi une personne à ton écoute, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Ne vous vengez point vous-même, mais laissez agir la colère de Dieu. Romains 12.19

     

    Tout le monde connaît cette loi du talion. Quand ont entend les gens la citer, c'est toujours dans le sens de la permission accordée pour se venger du mal subi. Mais lorsqu'on la lit dans son contexte (Deutéronome 19.15 à 21 et 48), on découvre qu'elle ne devait pas être appliquée par la personne lésée ou blessée, mais par un juge qui décidait de la punition en constatant le mal subi. Cela limitait le risque d'en rajouter sous le coup de l'injustice ressentie. Dieu dans sa sagesse n'a pas laissé à l'homme la liberté de se venger. Ce serait l'escalade dans les nombreux conflits à travers le monde.

    Jésus a parlé de cette loi. Vous avez appris qu'il est écrit : Œil pour œil, dent pour dent : mais moi je vous dis : ne résistez pas à celui qui vous veut du mal, si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre... (Matthieu 5.38)

    Cette parole aussi est connue et souvent citée... et  tort en laissant penser que nous devons permettre à n'importe qui de nous maltraiter. Jésus ne parle pas d'un laisser-faire, mais d'un agir, librement décidé, qui va au-delà de la vengeance pour exercer la grâce, dans le sens même de la générosité de Dieu. Et qui a le pouvoir de changer les gens et les situations.

    Votre Père céleste est parfait. Soyez donc parfait comme lui. (Matthieu 5. 38).

    Elfriede Eugène

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    Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 5, versets 38 à 48

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • (Les autres disciples dirent à Thomas) : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : À moins que je ne vois dans ses mains la marque des clous, que je ne mette mon doigt dans la marque des clous, et que je ne mette ma main dans son côté, je ne croirais pas. Jean 20. 25

     

    Le dimanche de sa résurrection, Jésus apparaît à ses disciples, réunis dans une pièce à l'écart. Mais Thomas est absent et, lorsque ses amis lui raconte qu'ils ont vu Jésus, il émet de sérieux doutes. Il veut voir par lui-même. Le dimanche suivant, Jésus revient et, cette fois, Thomas est là. Jésus s'adresse à lui : "Avance ton doigt ici et regarde mes mains ; avance aussi ta main, mets-là dans mon côté ; et ne soit pas incrédule, mais croyant" (Jean 20. 27).

    Avez-vous remarqué combien la réponse de Jésus est précise ? Il répond, point par point, à chacune des interrogations de Thomas : voir ses mains, mettre son doigt dans la marque des clous, et mettre sa main dans son côté. Jésus répond exactement comme s'il avait tout entendu, lorsque Thomas avait émis des doutes en son absence. En réalité, même s'il n'était pas physiquement présent, il était là comme le Dieu qui est partout, entend tout et sait tout. La réponse de Jésus convainc entièrement Thomas. Il s'exclame : "Mon Seigneur et mon Dieu !" (Jean 20. 28).

    Aujourd'hui, Jésus n'est pas là physiquement, mais il sait tout ce que nous pensons. Y a-t-il des choses qui nous troublent, ou que nous avons de la peine à croire ? Posons-lui nos questions. Disons-lui simplement, par la prière, ce qui nous semble impossible à croire. Jésus nous connaît à fond, il est patient, et nous répondra de façon précise et personnelle, par la Bible, et de différentes manières. Si nous écoutons avec soin sa réponse, il saura nous convaincre.

    Source (La Bonne Semence)

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