• Au milieu même du rire le cœur peut être affligé, et la joie peut finir par la détresse. Proverbes 14.13

     

    Un jour, un malade vint sonner à la porte d’un médecin. Il ne souffrait, disait-il, d’aucun mal particulier, mais ressentait un malaise continuel, un trouble indéfinissable, une tristesse qu’il ne pouvait surmonter. En effet, après un examen minutieux, le médecin ne trouva aucun organe malade. Il finit par déclarer à son client :

    – Ce qu’il vous faut, c’est de la distraction. Tenez, commencez ce soir. Il y a un cirque qui donne des représentations avec le clown X… Il est réputé pour faire rire tout le monde. Allez le voir !

    Alors l’homme regarda tristement le médecin :

    – Ce clown… c’est moi !

    Les apparences sont trompeuses. Le visage que nous montrons en public ne reflète pas toujours la réalité que nous vivons à l’intérieur. Il y a un médecin chez qui nous pouvons à tout instant nous rendre pour la guérison de notre âme : c’est Dieu ! Devant lui, nul n’est besoin de cacher ou de simuler quoi que ce soit ! Avouons-lui notre mal-être ! Invitons-le à combler le vide qui est en nous. Jésus est venu pour ôter tout ce qui nous sépare de sa joie !

    Gilles Georgel

    __________________

    Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 61, versets 1 à 3.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • “Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des paroles qui ont été prononcées auparavant par les apôtres de notre Seigneur Jésus Christ ; ils vous disaient : À la fin du temps, il y aura des moqueurs marchant selon leurs propres convoitises d’impiété. Ceux-là sont ceux qui se mettent à part ; ce sont des hommes naturels, n’ayant pas l’Esprit.” Jude 17-19

     

    Le Saint Esprit a conduit presque simultanément l’apôtre Pierre, comme nous l'avons vu hier, puis Jude, frère cadet du Seigneur (Matt. 13. 55), à alerter de nombreux lecteurs sur la présence néfaste de moqueurs dans leurs assemblées, “parmi les fidèles” (Jude 4). L’une et l’autre épître signalent l’inhérence de ce mal “aux derniers temps”. Cela prouve que les moqueurs représentaient alors un danger considérable, tout comme aujourd’hui.

    Selon Pierre, l’incrédulité des moqueurs est révélée par leurs provocations. En niant la souveraineté des promesses de Dieu, ils sapent le fondement de la foi chrétienne. En contraste, les moqueurs que Jude dénonce ne se limitent pas à des insinuations et des mises en doute. Entièrement assujettis à leurs convoitises, ils veulent pouvoir s’adonner à leurs passions sans encourir la moindre restriction ni le plus timide reproche, prouvant par là qu’ils ne sont pas “nés de nouveau”, “n’ayant pas l’Esprit” (Jean 3. 3-6). Ces moqueurs se considèrent libérés des limites qu’implique une vie de piété ; ils méprisent les croyants fidèles, les ridiculisent, créant ainsi des partis au sein de l’église, voire des divisions.

    N’est-ce pas le problème que nombre d’églises affrontent aujourd’hui concernant les mœurs ? Gardons-nous de minimiser l’influence délétère qu’exercent les moqueurs ! Leur comportement est en fait une rébellion ouverte et délibérée contre Dieu, en le bravant outrageusement à la manière d’un “Zimri, fils de Salu” (Nom. 25. 1-15).

    Mais les ressources pour se protéger de ces dangers sont toujours aussi puissantes et actuelles qu’autrefois, Dieu en soit béni ! Il s’agit de nous édifier ensemble “sur notre très sainte foi, priant par le Saint Esprit” et de nous conserver “dans l’amour de Dieu” (Jude 20-23). Cependant Dieu nous rappelle aussi nos devoirs envers les égarés. Ils consistent d’abord à reprendre “ceux qui contestent” et “pour les autres”, de les arracher “hors du feu” (v. 22) c’est-à-dire de leur présenter et “la puissance de Dieu pour sauver quiconque croit” et “le Fils” qui seul peut les affranchir (Rom. 1. 16 ; Jean 8. 36).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • (Jésus dit :) “Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point.” Jean 14.27

     

    La paix… Qu’est-ce que la paix, selon vous ?


    Jésus ne donne pas comme le monde donne. Il donne gratuitement et par amour.

    Jésus est votre paix. Comme moi, vous étiez ennemi de Dieu, par vos pensées, vos actions, vos paroles, mais Christ est venu pour vous réconcilier avec le Père. Faire la paix avec Dieu est une expérience extraordinaire. C’est une libération. Vos péchés sont pardonnés. Vous êtes libre et en paix. Quel soulagement, quelle paix ! Cette paix n’est pas réservée à un seul jour de votre vie. Aujourd’hui encore, il vous laisse la paix, il vous donne sa paix. 

    La Bible dit : “En toute chose faites connaître vos besoins à Dieu… Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus Christ.” Philippiens 4.6-7 Est-ce que vos pensées sont troublées ? Est-ce que les choses s’agitent dans votre tête ? Une alarme intérieure semble s'être déclenchée et vos pensées fusent dans tous les sens alors que vous cherchez une solution à vos problèmes…

    Jésus vous dit en ce jour : “Que votre cœur ne se trouble point. Je suis là, tous les jours avec vous jusqu’à la fin du monde. Matthieu 28.20 J’ai tout pouvoir dans le ciel et sur la terre.” Matthieu 28.18

    Le monde ne donne pas gratuitement. Le monde donne au mérite, ou bien pour recevoir ou contrôler en retour, et tenir les personnes dans la dépendance. Quant à Jésus, il ne donne pas comme le monde donne. Il donne gratuitement et par amour.

    Il a donné sa vie pour vous sauver. Il s’est offert lui-même sans rien garder. Vous n’avez pas à mériter son amour, ni à travailler pour le recevoir. Il vous le donne, simplement et gratuitement. Jésus est doux et humble de cœur. Il ne veut pas contrôler votre vie, mais être votre ami, votre confident, votre berger. En ce jour, il est prêt à vous donner sa paix, simplement parce qu’il vous aime. 

    Une action pour aujourd’hui 

    Prenez quelques instants pour laisser la paix de Dieu vous envahir. Vous aurez sans doute besoin de lui déposer vos soucis et tout ce qui vous préoccupe… Faites-le, rapidement mais sincèrement. Puis, laissez sa paix calmer votre cœur.

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • “Aux derniers jours viendront des moqueurs qui se livreront, au gré de leurs désirs, à la moquerie, et diront : Où est la promesse de sa venue ?” Lire 2 Pierre 3. 3-6

    “À la fin du temps, il y aura des moqueurs marchant selon leurs propres convoitises d’impiété.” Jude 18

     

    Dès le livre de la Genèse, des moqueurs tournent en dérision la parole de Dieu (Gen. 19. 14) ; les livres de Job, des Psaumes et des Proverbes abondent en enseignements à leur sujet. En revanche, les moqueurs ne sont cités nommément que deux fois dans le N.T. et, chaque fois, ils sont présentés comme une caractéristique “des derniers jours”.

    C’est dans ce cadre que l’apôtre Pierre s’attache à mettre en évidence l’origine et la nature de leur ironie sarcastique résumée par “Où est la promesse de sa venue ?” Ce que Pierre dénonce est particulièrement grave. Les moqueurs connaissent l’œuvre de Dieu en ce qui concerne la création et le déluge (Ps. 33. 6 ; Gen. 7. 6-10). Il y a cependant une volonté délibérée de leur part d’ignorer ces deux faits, décrits précisément dans la Parole ; ils veulent en fait se soustraire à la souveraineté de Dieu sur la création, les éléments et les humains ; elle est irréfutable, pourtant elle leur est insupportable et ils la renient. Distincts des faux docteurs cités dans le deuxième chapitre de cette épître, ces moqueurs n’en sont pas moins des incroyants délibérés. Leur ironie n’est en aucun cas assimilable à quelque plaisanterie ou trait d’esprit anodin. C’est en fait une véritable attaque contre Dieu, car ces railleries tentent d’instiller des doutes dans l’esprit des croyants sur les déclarations formelles du Seigneur au sujet de son retour et sur les enseignements apostoliques sur le même sujet. C’est vouloir saper la foi chrétienne.

    La foi de Pierre a été affermie par la vision de la transfiguration du Seigneur (2 Pi. 1. 16-21) ; il sait donc trouver les arguments, non seulement pour réduire à néant ces présomptions (mille ans sont comme un jour pour le Seigneur, 2 Pi. 3. 8), mais aussi pour hâter le retour du Seigneur par la sainte conduite et la piété des chrétiens (v. 11, 12).

    Aujourd’hui encore, ne sous-estimons pas les moqueurs, ils sont pernicieux. Répondons-leur plutôt par une foi inébranlable, une piété et un témoignage à la gloire de Jésus qui affirme et réitère : “Voici, je viens bientôt” (Apoc. 3. 11 ; 22. 7, 12, 20) et proclamons-le !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “Repentez-vous…” Marc 1.15

     

    J’aime le mot repentance. Son sens profond indique un changement de vie, de mentalité. C’est comme si Dieu disait : “Arrêtez de vivre comme des esclaves, avec une mentalité obscurcie mais saisissez la lumière, la profondeur de la vraie vie.”

    Quel est le regard que vous portez sur vous, sur les autres et sur Dieu ?

    J’aimerais tellement que les autres changent ! Si je pouvais, je mettrais un coup de baguette magique sur mes parents, mon pays, mon conjoint, mon patron, etc. Alors ma vie serait tellement plus agréable. Ils m’empêchent d’être heureux, de devenir la personne que je rêve d’être.

    Attendez-vous des autres qu’ils améliorent votre environnement ? Cela est pure utopie. Le changement doit venir de votre être intérieur. Vous pourriez aller à l’autre bout du monde, changer de travail, de directeur, d’église et constater que votre quotidien n’évolue pas. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous avez certes changé votre environnement extérieur mais au fond de vous, rien n’a changé et vous restez accroché à votre perception des choses. 

    Pour changer votre manière de vivre, vous devez d’abord changer votre manière de concevoir la vie. Développez une bonne mentalité, une saine vision des choses. Le Seigneur vous invite à penser différemment. Tout commence par votre être intérieur. Quel est le regard que vous portez sur vous, sur les autres et sur Dieu ? Modifiez votre manière de voir les choses dans la vie. Et ainsi, au lieu de stagner, vous irez de l’avant. Ceux que vous côtoyez et Dieu ne seront plus des freins mais des tremplins pour saisir votre destinée.

    Vous devez croire que le Seigneur est avec vous, qu’il vous donne la force d’aller de l’avant, de réussir. Vous n’êtes pas un souffre-douleur mais un enfant de Dieu. Plus vous vous comporterez comme une victime et plus vous le serez. Cessez d’avoir peur, de rejeter la faute sur les autres et allez saisir la vie.

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, aide-moi à ne plus stagner dans la vie mais à changer la façon dont je perçois les choses, à développer une saine vision et à aller de l’avant. Amen. 

     

     
    Source (La Pensée du jour)
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