• Recherchez d'abord le royaume et la justice de Dieu, et tout cela vous seront donné en plus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain prendre soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6. 33, 34

     

    "C'est bien à regret, croyez-le, que nous sommes obligés de nous séparer de vous. Vous comprenez, la conjoncture, la restructuration..."

    Et voilà, j'étais licencié.

    Marié depuis peu, nous attendions un enfant, et notre situation n'allait pas être brillante. Bientôt ce fut la valse des coups de téléphone, des demandes d'emploi, des réponses toujours négatives. Au fil des jours, des sentiments divers m'envahissaient : la révolte, l'amertume, le découragement, l'impatience, l'espoir...

    Ma femme et moi avions tout deux trouvé en Jésus Christ notre Sauveur personnel. Nous avions donc une relation individuelle avec Dieu, et le problème de la mort, de l'au-delà, était réglé pour nous.

    Mais, dans notre situation, la question subsistait : comment nous en sortir ? La Bible et ses promesses, les prières d'autres chrétiens, leur aide morale et spirituelle ont été très précieuses pour nous. Puis Dieu est intervenu autrement. Il m'a dirigé dans mes recherches et nous a donné la solution au moment même ou aucune autre issue n'était en vue. J'au pu gardé ma profession de dessinateur et trouver un poste stable.

    Cette expérience n'a pas été inutile, car nous avons vérifier que Dieu répond aux prières et que, lui ayant livré la direction de nos vies, nous pouvions lui faire confiance pour nos besoins de chaque jour.

    Roland C.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel l'âme de ceux qui avaient été mis à mort à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu.” Apocalypse 6. 9

     

    L’empereur romain Dioclétien (245-313) a laissé une empreinte importante dans l’histoire des empereurs romains. Pendant son long empire, il entreprit de vastes réformes : administrative (division des provinces), militaire (création d’une armée de réserve), judiciaire (rédaction du code grégorien), financière (réorganisation des impôts), économique (il tenta de fixer les prix), et d’autres encore.

    Ce que l’Histoire retient aussi, c’est qu’il fut l’acteur initial de la plus longue des persécutions des chrétiens, de 303 à 315. Il promulgua nombre de décrets contre le christianisme, en particulier pour faire détruire les bâtiments chrétiens et brûler les écrits juifs et chrétiens. On raconte qu’au bout de quelques années il fit élever un monument portant l’inscription latine « Extincto Nomine Christianorum », c’est-à-dire : « Le nom des chrétiens ayant été éteint ». Peine perdue, vingt-deux ans plus tard, un de ses successeurs, l’empereur Constantin, instituera que le christianisme devenait la religion officielle et que l’Écriture était le Juge infaillible de la Vérité ! C’est un exemple parmi tant d’autres de la façon dont Dieu a protégé sa Parole. “La Parole de notre Dieu subsiste éternellement” (Es. 40. 8).

    Dans la plupart des pays christianisés depuis longtemps, on peut s’interroger sur la place qui est donnée à la Bible. Ces Bibles, qu’autrefois de fidèles croyants ont voulu conserver, parfois au péril de leur vie, que deviennent-elles aujourd’hui ? Qu’en fait-on ? On ne les lit plus ! Ou si peu ! Pas parce qu’elles sont devenues rares, jamais la Bible n’a été autant diffusée dans le monde. Pas parce qu’on a trouvé un défaut dans ses propos ou parce que sa lecture est jugée difficile. Alors pourquoi ? La réponse est stupéfiante : parce qu’on n’a pas le temps !

    Ceux qui ont une Bible n’ont pas le temps de la lire alors que ceux qui sont dans des pays où il est dangereux d’en posséder une, la « dévorent » ! Alors que ceux qui vivent dans des pays où elle est peu répandue ou pas encore traduite, la réclament avec passion.

    Il y a des chrétiens qui souffrent pour acquérir et conserver la Parole de Dieu, certains en meurent et d’autres en mourront. Nous avons le privilège de participer à cet élan quand nous la lisons nous-mêmes avec assiduité et quand nous en assurons la diffusion.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Il y eut une famine dans le pays et Abram descendit en Égypte pour y séjourner, car la famine pesait lourdement sur le pays." Genèse 12.10

     

    Abram (qui deviendra plus tard Abraham) fut appelé par Dieu à quitter la maison de son père pour une terre promise. Quelques temps après son arrivée, l’endroit promis devint un lieu de famine. Face à cela, Abram décida de quitter le territoire que Dieu lui avait offert pour se diriger vers l’Égypte. Pourtant, il ne reçut aucune parole de l’Éternel pour partir de Canaan. Même si la famine était là, et que l’Égypte était à sa portée, lui offrant la délivrance, le Seigneur le voulait dans le pays de la promesse. 

    "Il arrive parfois que, malgré la promesse divine, on se retrouve dans un temps de famine."

    Arrivé en Égypte, Abram eut peur pour sa vie à cause de la beauté de son épouse Sara. Il décida de la faire passer pour sa sœur. Son plan fonctionna si bien que Pharaon l’a prise pour épouse. Pour remerciement, Abram fut couvert de cadeaux et de bétails. Bref, il eut des biens en abondance. Mais à quel prix ? Heureusement, Dieu intervint et Sara fut rendue à son mari. Imaginez combien cet épisode dû être douloureux dans l’histoire du couple. Abram aurait pu tout perdre si Dieu n’était pas intervenu.

    Il arrive parfois que, malgré la promesse divine, on se retrouve dans un temps de famine. Et là, sans consulter le Seigneur, on se met en route vers la facilité, vers l’Égypte. Abram chez les égyptiens "reçut des brebis, des bœufs, des ânes, des serviteurs et des servantes, des ânesses et des chameaux" (Genèse 12.16), preuve évidente, diront certains, qu’Abram fit bien de descendre en Égypte. Oui, mais en Égypte, il n’y a eu ni autel  ni communion avec Dieu. Son mariage était sur le point de mourir. Le pays du pharaon n’était pas le lieu de la présence de l’Éternel et Abram, en y descendant, perdit plus qu’il ne gagna. Il en est toujours de même : la délivrance d’une calamité temporaire et l’acquisition des plus grands biens sont de pauvres équivalents de ce que l’on perd en s’éloignant, seulement d’un cheveu, du droit sentier de l’obéissance. 

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, peu importe que je sois dans le lieu de l’abondance ou de la disette, je désire suivre uniquement ta voie, celle que tu as tracée pour moi, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Car l'Éternel est bon : sa bonté dure éternellement, et sa fidélité de génération en génération. Psaume 100. 5

     

    Les sociologues classent les générations en plusieurs catégories. Les baby-boomers sont des personnes nées entre 1946 et 1964, la génération X celles nées après 1965, la génération Y après 1980, et Z après 2000. À chacune ils attribuent des caractéristiques qui leur seraient propres. Les événement historiques, les nouveautés technologiques et les changement sociaux ont une forte influence sur les caractères de chaque génération.

    Mais la Bible reste la même, elle nous invite à transmettre d'une génération à l'autre ce que Dieu est, et ce qu'il a fait pou sa créature. "Nous ne le cacherons pas à leurs enfants ; nous redirons à la génération future les louanges de l'Éternel"... ainsi "ils mettraient leur confiance en Dieu, ils n'oublieraient pas la manière d'agir de Dieu et respecteraient ses commandements. Ainsi ils ne seraient pas comme leurs ancêtres : une génération dont le coeur était inconstant et dont l'esprit n'était pas fidèle à Dieu" (Psaume 78. 4, 7, 8).

    Quel que soit son environnement, l'être humain a besoin de Dieu. Il s'est éloigné de Lui, mais Dieu veut bénir sa créature, et l'appelle à revenir à lui. "Et sa bonté s'étend de génération en génération sur ceux qui le craignent" (Luc 1. 50). Il est le même. Il ne change pas. Et, en tout temps, le seul moyen d'être réconcilié avec Dieu est d'accepter le don de son Fils Jésus, mort et ressuscité pour notre délivrance. Alors, racontons les merveilles de Dieu à ceux qui nous suivent !

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Ô Dieu, nous avons entendus de nos oreilles, nos pères nous ont raconté tout ce que tu as accompli à leur époque dans le passé.” Psaume 44. 2

    “J'ouvre ma bouche pour parler en paraboles, j'annonce la sagesse du passé. Ce que nous avons entendu, ce que nous savons, ce que nos pères nous ont raconté, nous ne le cacherons pas à leurs enfants ; nous redirons  la génération future les louanges de l'Éternel, sa puissance et les merveilles qu'il a accomplies.” Psaume 78. 2-4

     

    Le psaume 78 condense le récit de l’éducation de Dieu envers son peuple, depuis l’Égypte jusqu’à David. Il donne aussi une compréhension inédite de la responsabilité des pères croyants de transmettre le récit des actes de Dieu à leurs enfants. Car ce récit est désormais confié à leur parole.

    La perspective du psaume est résolument confiante pour les fils : “Ainsi, ils mettraient leur confiance en Dieu, ils n'oublieraient pas la manière d'agir de Dieu et respecteraient ses commandements” (v. 7). Cette confiance est d’autant plus remarquable que le narrateur du psaume 78 ne cache pas l’entêtement des pères, leur obstination à ne pas écouter Dieu. Mais le récit s’achève sur la figure de David dont l’intégrité est proposée en exemple aux fils “afin que leur cœur soit intègre”. Pour nous chrétiens, David représente le Seigneur Jésus, source et phare de notre vie.

    L’acte de raconter conduisait donc les enfants à orienter leur vie vers la confiance en Dieu et à aller de l’avant en s’appuyant sur Dieu. Il y a là un encouragement et une magnifique promesse pour les parents chrétiens à lire la Bible en famille.

    Pourquoi est-il si important de lire la Bible ? Parce qu’elle nous apprend à connaître Dieu et à nous confier en lui. De même que, dans la vie, nous connaissons les personnes par leurs actions, nous apprenons à connaître Dieu à partir des récits bibliques qui nous racontent ses actes puissants de miséricorde et de justice.

    Et, mystérieusement, ces récits bibliques nous conduisent à réfléchir sur notre propre histoire avec Dieu aujourd’hui. Cette prise de conscience éclaire et oriente notre vie. Je ne peux, en effet, répondre à la question « que dois-je faire ? » que si je peux répondre à la question préalable : « de quelles histoires est-ce que je fais partie ? » Et parmi celles-ci, la plus importante n’est-elle pas mon histoire avec Dieu ?

    Source (Plaire au Seigneur)

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