• "Car il est un avenir, et ton espérance ne sera pas anéantie." Proverbes 23.18 et 24.14

     

    Le titre de la pensée de ce jour n’a pas pour objectif de nous faire entrer dans des spéculations stériles concernant l’avenir, ni de nous angoisser avec des suppositions négatives sur ce qui pourrait se produire... Mais plutôt de nous faire sortir de cette façon de penser qui consiste à envisager l’avenir comme une suite logique de notre passé. 

    "Ne laissez pas votre passé vous dicter la pensée de ce que sera demain."

    Un grand nombre de personnes ont vécu des traumatismes dès leur enfance. Certains ont grandi dans des familles déstructurées ; la peur, la crainte ont été des éléments constants qui ont marqué les premières années de leur vie. Arrivés à l’âge adulte, ils pensent que leur futur sera toujours marqué par ce passé douloureux. Ils pensent qu’avec le passé qu’ils ont connu, ils ne pourront jamais connaître un futur heureux. De telles pensées empoisonnent leur existence. Ils n’envisagent pas un avenir différent de ce passé dans lequel ils s’enferment.

    Peut-être vous reconnaissez-vous dans ce rapide tableau ? Peut-être traversez-vous en ce moment des heures difficiles : vous envisagez l’avenir avec l’angoisse de vivre demain ce que vous avez connu hier… Mais je voudrais vous dire avec assurance : "Pensez à demain en considérant les promesses de Dieu pour vous. Entrez dans une nouvelle façon de penser au lendemain. Croyez que le meilleur est devant vous. Laissez le soin à Dieu de vous parler de votre avenir en vous accrochant à ses promesses."

    Pourquoi les Israélites ont-ils tourné pendant 40 ans dans le désert alors qu’il suffisait d’une dizaine de jours pour aller d’Égypte en Canaan ? Parce qu’ils ont pensé à leur avenir en fonction de leur servitude passée. Ils ont pensé que les géants de Canaan les vaincraient, et en feraient des esclaves. Ils ont cru que leur futur serait comme leur passé.

    Parfois, nous tournons en rond pendant des années. Pourquoi ? Parce que nous laissons notre passé formater nos pensées sur demain.

    Aujourd’hui est le jour où vous pouvez penser à votre avenir, non avec les échecs et les drames d’hier, mais avec la foi en celui qui est avec vous.

    Une décision pour aujourd’hui

    "Seigneur, je décide de ne plus laisser mon passé douloureux m’influencer dans mes pensées pour ce que sera demain. Avec toi, je confesse que le meilleur est devant moi."

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • C’est le 19 avril cette année que les israéliens fêteront Yom Haʿatzmaout, le Jour de l’indépendance, à la date juive de la déclaration d’indépendance de l’État d’Israël par David Ben Gourion, le 5 du mois d’iyar (mois de l’éclat ou du bourgeonnement).

    Pour les nations, le 14 mai est le même jour historique (mais toujours la même date d’année en année). C’est donc ce jour-là que les nations honorent (ou pas) Israël. 70 ans après, des chrétiens mobilisent toutes les nations à Jérusalem, le jour anniversaire de la renaissance d’Israël ! Pour proclamer la vie, racheter le temps et changer les temps ! Comme un sceau sur les temps de la fin.

    March Of the Nations convie toutes les nations à venir honorer le peuple Juif sur la terre biblique, dans la cité de David, et aussi rendre gloire à celui qui a dit « Mon peuple…Mon héritage…Mon pays » (Joël 3), « La ville que j’ai choisie pour y mettre mon nom » (1 Rois).

    Marche de Vie France convie tous les intercesseurs français à venir marquer ces temps d’une empreinte de repentance et de bénédiction ! Un espace-temps exceptionnel pour se repentir et bénir !

    Ce sera :

    • La première conférence chrétienne après la déclaration sur Jérusalem capitale d’Israël
    • Le jour anniversaire des 70 ans
    • Le jour du déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem
    • Avec des temps de louange et d’adoration, avec des danses et des intercessions, des orateurs internationaux prépareront les cœurs à un repentir solennel envers Israël et le peuple Juif.
    • Une Marche de Vie exceptionnelle : avec des Israéliens venus de tous les horizons de la société, des chrétiens du monde entier marcheront de la Knesset jusqu’à la montagne de Sion pour honorer les survivants de la Shoah, pour témoigner publiquement que les nations se positionnent aux côtés d’Israël, et pour dire non à l’antisémitisme !
    • La « Fête de la Vie », en l’honneur du peuple juif et d ‘Israël, clôturera ces journées historiques.

    Informations complètes et inscriptions sur mon2018.com/fr/.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Jésus lui dit : – Ma fille, parce que tu as cru en moi, tu as été guérie, va en paix. Luc 8.48

     

    « Rendre plus visibles les handicaps invisibles » : tel était l’objectif des premières rencontres du handicap sensoriel, organisées à Paris en novembre 2015. Il s’agissait d’encourager les acteurs publics et privés à s’adapter aux handicaps visuels et auditifs, de façon à faciliter l’insertion sociale et professionnelle des personnes qui en souffrent.

    Sommes-nous conscients des handicaps de ceux qui nous entourent ? Que savons-nous de ce collègue discret, de cette connaissance que nous trouvons introvertie ? N’est-il (elle) pas gêné(e) par son handicap, sans jamais avoir osé nous en parler ?

    Ce qui me frappe dans l’attitude de Jésus tout au long de sa vie sur terre, c’est qu’il a su accueillir TOUS les handicapés, et les soulager d’une manière ou d’une autre. Par la guérison, mais aussi bien souvent par une parole stimulant la foi.

    N’y a-t-il que les handicapés qui bénéficient de l’action de Jésus ? Nous sommes tous, d’une manière ou d’une autre, des handicapés. Notre pire handicap est peut-être le handicap du cœur, l’incapacité à aimer. Et ce handicap-là provient du péché.

    Pour régler définitivement le problème du péché, qui nous affecte tous, Jésus s’est fait “handicapé” pour nous. Lui, le Fils de Dieu, s’est abaissé et s’est laissé limiter dans ses mouvements, allant jusqu’à mourir cloué sur la Croix. Pour le pardon de nos péchés. Quelle puissance dans ce “handicap” !

    Jean-Louis Théron

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 8, versets 43 à 48.

    8.43 Or il y avait une femme qui souffrait d'hémorragies depuis 12 ans ; elle avait dépensé tout son bien chez les médecins, mais aucun n'avait pu la guérir.

    8.44 Elle s'approcha par-derrière et toucha le bord du vêtement de Jésus. Son hémorragie s'arrêta immédiatement.

    8.45 Jésus dit : « Qui m'a touché ? » Comme tous s'en défendaient, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent : « Maître, la foule t'entoure et te presse, [et tu dis : ‘Qui m'a touché ?’] »

    8.46 Mais Jésus répondit : « Quelqu'un m'a touché, car j'ai senti qu'une force était sortie de moi. »

    8.47 Voyant qu’elle n’était pas passée inaperçue, la femme vint toute tremblante se jeter à ses pieds ; elle déclara devant tout le peuple pourquoi elle l'avait touché et comment elle avait été immédiatement guérie.

    8.48 Alors il lui dit : « Ma fille, [prends courage, ] ta foi t'a sauvée. Pars dans la paix ! »

    Source (Vivre Aujourd'hui)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève quand le temps sera venu ; rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous. 1 Pierre 5. 6, 7

     

    Au 19e siècle, la surcharge des navires était l'une des causes les plus fréquentes de naufrage. En 1872, un homme politique anglais, Samuel Plimsoll (1824-1898), pris de compassion pour les marins et leurs familles, publia un ouvrage indiquant le nombre et les causes des pertes en vies humaines dans la zone côtière britannique. Ce livre fit grande impression sur le public, mais Plimsoll dut lutter pendant des années pour faire adopter une loi (1875) qui obligeait les armateurs à tracer une ligne de charge maximum sur les flancs des navires. Toujours en vigueur aujourd'hui, cette ligne est connue sous le nom de “ligne de Plimsoll”.

    Chrétiens, est-ce que nous connaissons notre ligne de Plimsoll, ce qui nous surcharge et nous conduit par là à prendre des risques ? Par exemple, si nous sommes en souci, ou si nous sommes débordés, énervés… c'est peut-être que la ligne de Plimsoll est dépassée. Mais d'autres charges plus subtiles peuvent aussi nous faire couler : sommes-nous indifférents aux autres ou trop satisfaits de nous-mêmes ?

    Apprenons dans nos journées à toujours venir à Jésus. Si nous prenons conscience dans sa présence de ce que sont nos vrais fardeaux pour les lui confier, il les portera à notre place, et nous donnera son repos et sa paix. “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28).

    Si, comme Pierre, nous enfonçons, faisons nôtre sa prière : “Seigneur, sauve-moi !” Aussitôt, nous dit l'évangile, “Jésus, étendant la main, le saisit” (Matthieu 14. 31).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Les sœurs [Marthe et Marie] envoyèrent dire à Jésus : Seigneur, voici, celui que tu aimes est malade… Jésus dit alors ouvertement [à ceux qui l’entouraient] : Lazare est mort… Quand Marthe eut entendu dire que Jésus venait, elle alla à sa rencontre ; mais Marie restait assise dans la maison.” Jean 11. 3, 14, 20

     

    Comment vivre avec Jésus le départ d’un être cher ? Marthe et Marie en ont fait l’expérience : elles ont fait appel à Jésus quand elles ont vu leur frère Lazare très malade ; mais Jésus est arrivé quand elles commençaient leur deuil.

    La prière des deux sœurs est touchante : elles présentent simplement leur peine et leur incompréhension à Jésus. Les deux sœurs adoptent des comportements différents : Marthe va à la rencontre de Jésus, tandis que Marie reste à la maison. Cela correspond à leurs caractères différents ; Jésus répond à chacune selon ses besoins propres.

    Marthe souhaite parler et reproche même à Jésus son retard (v. 21). C’est une façon d’exprimer sa confiance dans la puissance de Jésus. Jésus l’encourage en se révélant comme celui qui est “la résurrection et la vie” (v. 25) et l’appelle à la confiance. Cet échange amène Marthe à mieux le connaître : “Oui Seigneur, moi je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu qui vient dans le monde” (v. 27).

    Marie, qui a préféré rester seule, accueille le Seigneur avec le même reproche que sa sœur. Elle semble se renfermer sur sa peine : elle pleure (v. 33). Jésus lui manifeste alors sa sympathie : “Il frémit en son esprit et se troubla… il pleura” (v. 33-35). Il montre son respect pour sa douleur ; il est “profondément indigné et bouleversé” (Segond 21) devant les conséquences du péché : la mort, la tristesse, les relations brisées. En pleurant avec Marie, il manifeste aussi toute son affection.

    La présence physique de Jésus avec Marthe et Marie, puis le miracle de la résurrection de Lazare donnent bien sûr une dimension particulière à ce deuil. Quant à nous, nous sommes encouragés, car Jésus a promis sa présence — invisible mais réelle — avec nous tous les jours.

    Ce récit nous montre la proximité de Jésus avec ceux qui sont dans la peine. Ressentons sa puissance, son autorité et son amour quand il s’adresse à Lazare : “Lazare, viens ici, dehors !” (v. 43). C’est un double encouragement quand on passe par un deuil dans la famille de Dieu : éprouver sa proximité et sa compassion et savoir qu’il accueille celui que nous avons perdu.

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire