• Voici, je vous dis un mystère : Nous ne nous endormirons (nous ne mourrons) pas tous, mais nous serons tous changés… 1 Corinthiens 15. 51

    Le Seigneur… est patient envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance. 2 Pierre 3. 9

     

    Dans la Bible, les prophéties de l'Ancien Testament ont annoncé avec certitude certains faits historiques des siècles passés, bien avant qu'ils aient eu lieu. Les prophéties au sujet de l'avenir sont tout aussi certaines. Au-dessus de tous les événements annoncés il y en a un, qui est exceptionnel, mais qui peut se réaliser d'un moment à l'autre, sans que nous puissions en connaître la date. Chaque chrétien doit l'attendre avec ferveur et joie car il s'agit du retour du Seigneur Jésus pour enlever avec lui tous ceux qu'il a sauvés (1 Thessaloniciens 4. 15-17).

    À cette annonce, la Parole de Dieu ajoute plusieurs indices montrant que ce moment est proche et que le temps de la grâce va bientôt prendre fin. L'indifférence des masses pour l'évangile; une partie de la chrétienté qui a l'apparence de la piété mais qui en a renié la puissance (2 Timothée 3. 5) ; les nations qui cherchent leur voie vers la paix dans une forme de consensus (1 Thessaloniciens 5. 3) ; la renaissance d'un état juif (Ézéchiel 37. 21)… ces signes montrent l'imminence du retour de Jésus pour enlever son Église, c'est-à-dire l'ensemble de tous ceux qui ont mis leur confiance en lui.

    Attendre le Seigneur devrait détacher le chrétien des affaires du monde, et faire de lui un fervent témoin, toujours prêt au départ pour le ciel. Jésus a promis aux siens : “Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi” (Jean 14. 3). Cette perspective réjouit les croyants et les pousse à proclamer l'urgence du message de l'évangile : “Soyez réconciliés avec Dieu !” (2 Corinthiens 5. 20).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Les uns à l’égard des autres, soyez bons, compatissants…” Éphésiens 4. 32

     

    L’abbé allemand Franz Stock (1904-1948) fut aumônier des prisons parisiennes de Fresnes, Cherche-Midi et la Santé pendant la Seconde Guerre mondiale de 1941 à 1944. Les soldats de l’armée hitlérienne y enfermaient des résistants, des opposants politiques ou des juifs avant de les conduire à la mort. Ce religieux accompagna plus de 11 000 personnes au Mont Valérien où elles furent fusillées. L’abbé Stock assistait ces prisonniers en particulier en faisant passer, à ses risques et périls car c’était interdit, des courriers vers les familles ou des familles vers les détenus, en offrant des livres, essentiellement de la littérature chrétienne, ou quelques douceurs. Il présentait à tous le Sauveur ; certains l’acceptèrent, d’autres le refusèrent, Dieu seul sait… Certains de ces prisonniers dirent que sa présence seule manifestait la compassion et l’amour !

    Voilà un chrétien courageux qui mit en pratique le verset du jour, manifestant l’amour du Sauveur du monde dans un milieu hostile ! Il avait un exemple dans la personne de Jésus qui, “voyant les foules, fut ému de compassion pour elles” (Matt. 9. 30). Ému de compassion devant une foule qui a des besoins et qui se présente à lui, mais aussi devant des individus en particulier, un lépreux (Marc 1. 41), des aveugles (Matt. 20. 34), une veuve pauvre (Luc 7. 13)… Personne n’était anonyme aux yeux de l’abbé Stock qui rencontrait chacun en particulier ; de même personne n’est anonyme aux yeux de Jésus ; au milieu d’une foule il discerne les besoins de chacun et veut manifester sa compassion à chacun.

    Tout croyant a éprouvé à maintes reprises que “le Seigneur est plein de compassion” (Jac. 5. 11), après avoir demandé à Dieu : “Que tes compassions viennent sur moi, et je vivrai” (Ps. 119. 77). Ayant bénéficié des secours et des compassions de Dieu, c’est à lui, maintenant, de manifester ces compassions divines comme le fit cet aumônier des prisons. Ce ne sont pas seulement les détenus qui ont besoin qu’on leur présente les compassions de Dieu, ni seulement ceux qui passent par les épreuves, mais tous ceux qui sont encore prisonniers de Satan et qui n’ont pas mis leur confiance en l’amour de Dieu ; c’est notre responsabilité et notre honneur de leur parler du salut gratuit que Dieu offre encore aujourd’hui.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Je suis prêt non seulement à être emprisonné, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus." Actes 21.13

     

    Un prophète du nom d’Agabus annonça à Paul une épreuve terrible s’il montait à Jérusalem. Ses amis firent tout pour le dissuader de s’y rendre.  Mais l’apôtre connaissait la cause pour laquelle il vivait et ne se laissa pas dissuader. Il fit ce qu’il était appelé à faire, même si pour cela il devait payer le prix fort. Paul servait une cause et personne ne pouvait le détourner de sa mission.

    "Choisissez Jésus pour cause et votre vie aura des effets !"

    Le pasteur Martin Luther King déclara : "Tant qu’un homme n’a pas découvert la cause pour laquelle il serait prêt à mourir, il n’est pas à même de vivre." Ce jeune prédicateur avait un rêve immense. Plusieurs dizaines d’années plus tard, nous ressentons encore les effets de la cause de MLK.

    Lorsque qu’un jeune homme du nom de David Wilkerson partit de sa campagne pour évangéliser dans les rues de New-York, il prit un risque énorme. Un chef de gang portoricain, Nicky Cruz, le menaça de le découper en mille morceaux. Le jeune prédicateur lui répondit : "Tu pourrais me déchiqueter en un millier de fragments, que chaque bribe de mon corps te dirait encore que Jésus t’aime." Faire connaître Jésus Christ aux jeunes des gangs de New-York était une grande cause à ses yeux. Des décennies plus tard, nous en ressentons encore les effets.

    Dernièrement, nous avons reçu dans notre église Momentum à Bordeaux, le pasteur Bill Willson. Un mois avant sa venue, il avait été victime d’une arme à feu alors qu’il aidait les enfants en Afghanistan. Ce n’était pas sa première blessure par balle. Il est régulièrement attaqué : coups de poing, attaques au couteau ou au révolver… Mais faire connaître la cause de Christ auprès des enfants des rues est toute sa vie. C’est sa cause, et son effet est puissant.

    La cause de Jésus, c’est nous. C’est pourquoi il est allé jusqu’à mourir sur le bois de la croix afin que nous soyons sauvés et réconciliés avec Dieu. Les effets de la croix ont transcendé les siècles et chaque jour des personnes se retrouvent au bénéfice de ce sacrifice.

    Une vie sans cause est une vie sans effets… Choisissez Jésus pour cause et votre vie aura des effets !

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, je te livre ma vie, tu es ma cause, ma raison d’être, c’est pour toi que je vis, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher. Psaume 143.8

     

    Nous essayons, mon épouse et moi, de faire une marche de 5 à 7 km deux fois par semaine. Le plus souvent, nous marchons sur une portion du chemin “La Loire à vélo”, jusqu’au bac qui permet de traverser originalement une rivière. Ce jour-là, deux cyclistes allaient emprunter ce trajet. L’un d’eux avait une remorque avec un enfant.

    Nous avons cru bon de leur dire : « Attention, en ce moment c’est l’hiver, il n’y a pas de bac. Si vous prenez ce chemin, vous allez devoir prendre une déviation pas vraiment praticable à cause de la boue, d’autant moins avec votre enfant dans la remorque. » Nous leur avons indiqué une route plus simple avant de nous séparer et avoir reçu leurs remerciements.

    Ainsi va la vie : bien des personnes sont prêtes à s’engager sur des chemins pas vraiment praticables. Des chemins parsemés de difficultés inutiles et sur lesquels on risque de s’y embourber.

    La Bible est un bon guide sur le chemin de la vie. Elle n’est pas un livre “d’interdits” comme le pensent trop souvent ceux qui ne la connaissent pas. C’est, entre autres, un ouvrage qui souhaite nous éviter des mésaventures hasardeuses, menant à des impasses. Si seulement, comme nos conseils pris en compte par nos cyclistes, cette Parole de Dieu était entendue du plus grand nombre ! Bien des souffrances seraient évitées.

    Tout comme nous avons proposé un meilleur itinéraire à cette famille, en tant que disciples de Jésus, nous sommes appelés à indiquer le chemin vers Dieu à ceux qui ne le connaissent pas.

    Bernard Delépine

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 6, versets 67 à 69.

    6.67 Jésus dit alors aux douze : « Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? »

    6.68 Simon Pierre lui répondit : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle.

    6.69 Et nous, nous croyons et nous savons que tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant. »

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation… nous console à l'égard de toute notre affliction, afin que nous soyons capables de consoler ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit, par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés par Dieu. 2 Corinthiens 1. 3, 4

     

    “J'ai ressenti la douceur et la bonté de Dieu quand je criais à lui ma douleur, assise dans la chambre de Haddon en lisant ma Bible. Ce Dieu doux et aimant a repris mon petit garçon dans un endroit où il est désormais en toute sécurité. Là il peut connaître tout l'amour de Dieu. Je ne dois pas m'inquiéter, en tant que mère, au sujet de ce moment où il est parti, parce que je sais qu'il a été instantanément introduit en toute sécurité dans la présence du Christ. Haddon peut désormais regarder le visage de la miséricorde et de la grâce et ne plus être malade.

    Dieu n'a pas promis à ceux qui lui appartiennent une route rapide et facile vers le ciel, mais il nous promet de nous y conduire. Et jusque-là, “l'Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé, et il sauve ceux qui ont l'esprit abattu” (Psaume 34. 18).

    À travers nos larmes et nos jours de grande tristesse, nous voulons que ceux qui nous entourent sachent ceci: nous tenons bon dans notre douleur parce que Jésus a pris la punition de notre péché, parce qu'il est ressuscité, et qu'il a vaincu la mort. Pour le chrétien, la mort n'est pas la fin. Mais pour ceux qui n'ont pas voulu accepter Jésus Christ comme leur Sauveur, la mort conduit au châtiment éternel. Je prie qu'ils écoutent la bonne nouvelle de l'évangile aujourd'hui, et qu'ils placent leur confiance en Dieu, le grand vainqueur de la mort.”

    d'après Lisa Blanco

    Source (La Bonne Semence)

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