• Je suis crucifié avec Christ ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. Galates 2. 20

     

    L'extrait qui suit est d'un chrétien inconnu. Il reflète l'enthousiasme d'un nouveau converti.

    “J'ai pris ma décision, j'ai choisi mon camp. Je le confesse : je suis devenu disciple de Jésus Christ ! Mon passé est racheté, mon présent assuré, mon avenir préparé. J'ai brûlé les ponts : mon ancienne vie est crucifiée, ma nouvelle vie sanctifiée. Je ne marche plus par la vue mais par la foi; plus dans la condamnation, mais dans la libération ; plus dans les ténèbres, mais dans la lumière. Je ne suis plus emprisonné, mais libéré, et je vais de l'avant !

    J'ai pris le départ de la course avec le Christ, plein de force car il me délivre dans ma faiblesse, plein d'espérance car il me délivre du désespoir, plein de foi car il me délivre du doute, plein de courage car il me délivre de Satan. Je suis désormais confiant, mon esprit est renouvelé ; j'aurai des pensées saintes, je dirai des paroles vraies… J'ai été racheté à grand prix, scellé par le Saint Esprit, et je suis devenu un héritier du royaume.”

    Laissons la Bible compléter :

    “Si quelqu'un n'est pas né de nouveau, il ne peut pas voir le royaume de Dieu… Il vous faut être nés de nouveau” (Jean 3. 3, 7).

    “Christ, alors que nous étions encore sans force,… est mort pour des impies” (Romains 5. 6).

    “Si quelqu'un est en Christ, c'est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles” (2 Corinthiens 5. 17).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “N’avez-vous pas même lu cette Écriture : La pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, c’est elle qui est devenue la pierre maîtresse de l’angle ?” Marc 12. 10

    “Comme [Jésus] sortait du temple, un de ses disciples lui dit : Maître, regarde. Quelles pierres et quels bâtiments ! Jésus lui répondit : Tu vois ces grands bâtiments ? Il ne sera pas laissé pierre sur pierre qui ne soit jetée à terre !” Marc 13. 1, 2

     

    Au lendemain de la purification du temple, Jésus est à peine arrivé sur le parvis que les chefs religieux, venus en nombre, l’abordent. Ils cherchent à le discréditer auprès des foules par des questions sur l’origine et la nature de son autorité. Sans succès, car les foules le tenaient pour un prophète. Le Seigneur leur laisse la parabole de la vigne et des méchants cultivateurs pour leur annoncer de façon imagée que le privilège de conduire spirituellement le peuple de Dieu leur sera ôté sous peu et confié à d’autres (Marc 12. 1-9).

    Le Seigneur utilise encore une autre image tirée du Psaume 118 pour leur montrer que s’ils le rejettent comme des maçons peuvent rejeter une pierre mal façonnée ou sans valeur, Dieu lui donnera une place prééminente, comme “maîtresse pierre d’angle” d’une nouvelle maison. C’était annoncer la mise à l’écart des institutions religieuses juives.

    Ce soir-là, Jésus quitte le temple pour n’y plus rentrer, accomplissant ce qu’il leur avait dit : “Voici, votre maison vous est laissée déserte” (Matt. 23. 38). Tandis qu’il s’éloigne, un de ses disciples cherche à faire partager au Seigneur sa fierté au sujet de ce temple magnifique. Ce complexe imposant de plusieurs bâtiments avec des pierres massives en marbre blanc et ses finitions en or battu était une des grandes merveilles de l’époque.

    Le disciple devait certainement se demander comment un site aussi majestueux et spectaculaire pouvait devenir « désert ». Jésus lui dit : “Il ne sera pas laissé pierre sur pierre qui ne soit jetée à terre !” Puisque Jésus était rejeté, le temple n’avait plus sa raison d’être.

    De grands temples sont aujourd’hui en ruines, mais on distingue encore leur splendeur passée. Par contre, le temple juif a entièrement disparu, selon la parole du Seigneur. Il est remplacé par une mosquée !

    Aujourd’hui, l’Église, l’édifice de Dieu, est faite de pierres vivantes tirées de toutes les nations par l’œuvre de Jésus (1 Pi. 2. 4-8). Chaque pierre est une sculpture, alignée sur la “pierre maîtresse de l’angle”. La mort ne peut renverser aucune d’elles (Matt. 16. 18).

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "La vie et la mort sont au pouvoir de la langue." Proverbe 18.21

     

    Le pasteur Philippe Marcadier est parti rejoindre le Seigneur après 92 années sur cette terre. Son impact dans la région du sud-ouest de la France et au-delà est significatif. C’était un homme d’une autre sorte, un modèle, un père aimant, un mari attentionné et un puissant prédicateur de l’évangile.

    "Nos paroles laissent des empreintes autour de nous."

    Lors des obsèques de Philippe, j’ai été bouleversé par le témoignage que lui a rendu son fils. Lorsqu’il était jeune adulte, il rentrait parfois alcoolisé chez lui et avait du mal à mettre la clé dans la serrure. Son papa allait lui ouvrir, puis l’aidait à trouver le chemin de la chambre. Là, il s’occupait de lui : le déshabillait, le lavait et le couchait. Puis, avant de repartir, Philippe prenait son fils dans ses bras et lui disait simplement : "Je t’aime". Alors son fils pleurait, bouleversé par tant d’amour.

    Philippe aurait pu lui faire la morale et lui expliquer le tort qu’il faisait à son ministère. Ou argumenter sans fin sur les effets néfastes de l'alcool pour la santé. Mais il lui disait simplement : "Je t’aime". Le fils donna sa vie à Jésus.

    Nos paroles sont fécondes, elles déclenchent des destinées. Certains mots enchaînent, culpabilisent, font du tort... mais d’autres produisent la vie, l’émancipation, la guérison. Nos paroles laissent des empreintes autour de nous. "Traitez un individu comme il est, il restera ce qu'il est. Traitez-le comme il doit et peut devenir, il deviendra ce qu'il doit et peut être." (Johann Wolfgang Von Goethe)

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, je veux réfléchir aux paroles qui sortent de ma bouche. Qu'elles puissent t’honorer et bénir ceux qui les reçoivent, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Jésus est ressuscité ! À l'approche de Pâques, il est bon de réaffirmer nos raisons de croire. Matt Perman, dans un article paru sur DesiringGod, met en avant les preuves historiques de la résurrection de Jésus. J'ai résumé l'article ci-dessous.

     

    Matt Perman commence par affirmer trois vérités sur lesquelles tous les historiens sont d’accord:

    1. Le tombeau vide : Le tombeau dans lequel Jésus a été enterré est découvert vide par les femmes le troisième jour

    2. L’apparition de Christ ressuscité : Les disciples de Jésus ont eu de vraies expériences avec celui qu’il croyait être le Christ ressuscité

    3. L’origine de la foi chrétienne : Résultant de la prédication de ces disciples, avec la résurrection au centre, l’Église chrétienne est née et s’est développée

    À partir de ces trois faits historiques, l’auteur se demande quelle est l’explication la plus plausible pour expliquer chacun des faits et les trois ensemble.

    Le tombeau est vide

    Arguments en faveur du tombeau vide :

    • La prédication des disciples a commencé par Jérusalem, la ville où Jésus a été enterré. Si le corps était toujours là, les juifs n’auraient pas écouté la prédication des disciples.
    • Le premier argument pour réfuter la résurrection fait état du tombeau vide (Mt 28.11-15). Les chefs juifs ont essayé de discréditer les disciples avec la théorie du « corps volé ». Même si cela les desservait, ils ont dû admettre le fait que la tombe soit vide.
    • Le témoignage des femmes : le témoignage des femmes ne valait rien à l’époque. Si c’était une légende, on aurait dit que les disciples avaient découvert le corps en premier.
    • Les juifs et les Romains n’auraient pas pu voler le corps : ils voulaient éteindre le christianisme. La meilleure manière de faire ça aurait été de prouver que Jésus était mort.
    • Les disciples non plus n’avaient pas de raison, puisqu’ils s’exposaient à la mort et à la torture en prêchant la résurrection.

    Christ apparaît ressuscité

    3 possibilités: les disciples ont

    1. Menti

    S’ils mentaient, comment expliquer que les disciples étaient prêts à mourir pour un mensonge. On pourrait mourir pour un mensonge auquel on croit, mais mourir pour un mensonge que l’on sait être faux…

    2. Halluciné

    • La théorie de l’hallucination ne tient pas à cause de l’expérience des disciples: ils ont mangé avec Jésus et ils l’ont touché.
    • Les hallucinations ne sont pas des expériences de groupe, mais personnelles.
    • La théorie de l’hallucination ne colle pas avec le tombeau vide.

    3. Vraiment vu Christ ressuscité

    L’origine de la foi chrétienne

    Même les chercheurs les plus sceptiques reconnaissent que les disciples croyaient que Jésus était ressuscité des morts. William Lane craig souligne qu’il peut y avoir 3 explications à l’origine de la foi chrétienne :

    1. Les influences chrétiennes

    • Les influences chrétiennes ne peuvent pas expliquer la naissance du christianisme!

    2. Les influences païennes

    • Les chercheurs rejettent l’idée d’influences païennes pour expliquer la naissance du christianisme: les religions à mystère n’avaient pas d’influence majeure dans la Palestine du 1er siècle.
    • Aussi, la plupart des sources qui contiennent des parallèles entre les mythes païens et le christianisme datent d’après sa naissance.
    • Enfin, il était impensable pour des juifs d’emprunter d’une autre religion.

    3. Les influences juives

    • L’influence juive est peu plausible: l’eschatologie juive ne comprenait pas la résurrection d’une personne au milieu de l’Histoire, mais la résurrection de tous à la fin des temps.

    La résurrection est l’explication la plus plausible

    Si nous nions la résurrection, nous sommes devant 3 mystères inexplicables et nous devons alors donner une explication pour ces 3 faits. Mais si Christ est ressuscité, alors tous ces faits s’éclairent. Les 3 faits pris seuls attestent en eux-mêmes de la résurrection. Mais pris ensemble, les preuves sont encore plus solides.

    Quelles sont les implications ?

    1. La résurrection prouve que ce que Jésus disait de lui-même est vrai, quand il proclamait être Dieu.

    2. Si la résurrection est vraie, alors ce que dit la Bible l’est aussi, parce que Jésus a affirmé que la Bible était inspirée et sans erreur.

    3. La résurrection montre la validité du christianisme, parce qu’il s’accorde avec les faits.

    4. La résurrection prouve que Jésus jugera le monde un jour (Ac 17.31) et nous devrons un jour rendre compte de nos vies devant lui.

    5. La résurrection de Jésus nous donne de l’espoir pour la vie éternelle. Si Jésus est mort et ressuscité, nous n’avons plus à craindre la condamnation (Rm 4.25).

    6. La résurrection de Christ précède la nôtre. Comme il est ressuscité, un jour nous ressusciterons. Et nous aurons, nous aussi, des corps glorifiés.

    Matthieu Giralt

    Partager via Gmail

    2 commentaires
  • Dieu, dans sa demeure sainte, est le père des orphelins et le défenseur des veuves. Psaume 68. 5

    Bienheureux l'homme qui a mis en l'Éternel sa confiance ! Psaume 40. 4

     

    C'est l'histoire d'une veuve qui habitait près de Sidon, à l'époque du prophète Élie (1 Rois 17. 9-16). La famine sévit dans tout le pays. Cette femme est à bout de ressources. Il lui reste un fils, mais elle ne peut plus le nourrir. Elle a encore un peu de farine dans un pot, un peu d'huile dans une cruche. Elle va ramasser du bois pour cuire le pain qu'elle va faire. Ils le mangeront, puis ils mourront… Elle n'a plus rien à espérer de la vie.

    Alors qu'elle ramasse du bois, le prophète survient, et lui demande à manger. Elle expose sa triste situation, mais il insiste : “Fais-moi premièrement… un petit gâteau”. La femme obéit au prophète de Dieu et, comme il le lui avait promis, le miracle se produit. La farine ne s'épuise pas, l'huile ne manque pas. La veuve et son fils sont nourris jusqu'à la fin de la famine.

    Peut-être sommes-nous, comme cette veuve, dans une situation apparemment désespérée ? Nous n'espérons plus rien de la vie. Il n'y a plus d'espoir, plus rien à attendre que la mort, pensons-nous…

    Il reste bien encore “un peu de farine dans un pot, et un peu d'huile dans une cruche”, des ressources qui nous paraissent absolument dérisoires. Pourtant, faisons comme cette veuve, utilisons le peu qui nous reste, en donnant à Dieu la première place et en mettant notre confiance en lui. Dieu s'intéresse aux veuves et aux orphelins. Il est puissant pour transformer nos maigres ressources en une abondance suffisante pour répondre à nos besoins et à ceux des nôtres (2 Corinthiens 9. 8).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire