• "Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent." Hébreux 11.6

     

    Une prière n'a pas besoin d'être éloquente ou longue. En fait, la Bible nous recommande de ne pas répéter continuellement les mêmes phrases uniquement pour que nos prières soient plus longues. Et le fait de prier à voix haute ou à genoux, de joindre les mains ou de courber la tête ne leur donne pas plus de valeur.

    "Inutile de quémander et de le supplier de nous aider. Dieu est un Dieu bon !"

    Vous pouvez si vous le souhaitez vous mettre à genoux en signe d'humilité ou joindre les mains, mais ce qu'il faut savoir, c'est que ce n'est pas votre posture ou la durée de votre prière qui rend celle-ci efficace.

    Je me souviens d'une époque où Dieu me mettait au défi de lui exposer mes désirs et mes besoins avec le moins de mots possible. J'ai eu beaucoup de mal au début. Par exemple, quand nous avons mal agi, il est difficile de dire simplement : "Seigneur, je sais que c'était mal et je le reconnais. Je te demande de me pardonner. Merci, Seigneur. Amen."

    On entend plus généralement ceci : "Ô mon Dieu, je te demande pardon ! Seigneur, pardonne-moi ! Je t'en prie, Seigneur, pardonne-moi ! Ô mon Dieu, il faut que tu me pardonnes ! S'il te plaît, Seigneur… je te promets de ne pas recommencer."

    Nous avons besoin d'augmenter notre foi en Dieu. Hébreux 11.6 nous dit que la foi lui est agréable, et que si nous croyons qu'il existe et recherchons sa présence, il nous récompensera. Inutile de quémander et de le supplier de nous aider. Dieu est un Dieu bon ! Il vous aime et veut le meilleur pour vous.

    Une action pour aujourd'hui

    Passez du temps avec Dieu. Parlez-lui sincèrement et honnêtement. Déchargez-vous sur lui de vos soucis. Découvrez sa volonté, puis suivez-la.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Ils errèrent par le désert…, affamés et altérés, leur âme défaillait en eux. Alors ils crièrent à l'Éternel dans leur détresse, et il les délivra de leurs angoisses, et les conduisit dans un chemin droit… Qu'ils célèbrent l'Éternel pour sa bonté, et pour ses merveilles envers les fils des hommes ! Psaume 107. 4-8

     

    C'est de moi que ce texte parle ! Quand je lis ce Psaume 107, je me retrouve à chaque verset. Je me sens si souvent perdu, affamé de bonheur, assoiffé de paix et d'une vie qui vaille la peine d'être vécue… Je me sens si souvent humilié, fatigué. Il m'est même arrivé d'être brisé par un malheur, dans la détresse, désorienté, de chanceler comme si j'avais bu… D'avoir l'impression d'être sur une mer démontée, sans plus aucune solution pour survivre…

    Or la Bible l'affirme, ces expériences sont arrivées à d'autres avant moi. Mais ce qui m'intéresse plus encore, c'est que beaucoup de ceux qui les ont vécues ont crié à Dieu, laissant de côté leur incrédulité, leurs doutes, leur propre sagesse, leur révolte contre le Créateur, comme en désespoir de cause. Ils ont crié… parce qu'ils ne savaient plus quoi faire, parce qu'ils n'avaient plus rien à perdre, prêts à tout accepter pour en sortir.

    Cela me fait penser à moi. Est-ce que cela vous fait penser à vous, à certaines situations désespérées de votre vie, à la situation dans laquelle vous vous débattez en ce moment même, peut-être ? Dieu veut vous répondre, non pas en faisant tout ce dont vous rêvez, mais en vous conduisant “dans un chemin droit”, le seul qui soit le bon. Il vous montre le Sauveur qu'il vous a donné, Jésus Christ. Il vous invite à reconnaître devant lui que vous vous êtes fourvoyé, et que vous avez maintenant besoin de son pardon et de son aide. Il vous invite à lui faire confiance. La suite du texte biblique nous montre qu'en criant à Dieu avec foi, on voit les merveilles de son amour…

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Toi, tu seras sur ma maison, et tout mon peuple se dirigera d’après ton commandement ; seulement quant au trône, je serai plus grand que toi. Et le pharaon dit à Joseph : Vois, je t’ai établi sur tout le pays d’Égypte.” Genèse 41. 40, 41

     

    Jalousé par ses frères, Joseph avait été vendu 20 pièces d’argent à des caravaniers qui faisaient route vers l’Égypte ; il avait ensuite été revendu à Potiphar “officier du pharaon, chef des gardes” (Gen. 37. 36). Son sort devait donc d’être esclave d’un haut fonctionnaire en Égypte ! Calomnieusement accusé, il est enfermé dans la prison réservée aux serviteurs du roi. C’est là qu’il révèle à deux officiers royaux, condamnés comme lui, la signification de leurs songes. L’un d’eux fut libéré mais « oublia » d’intervenir en sa faveur auprès du pharaon.

    Deux ans plus tard, voilà qu’un songe intrigue le pharaon ; aucun devin ne peut l’interpréter ; on pense alors à Joseph : “On le fit accourir de la fosse, et il se rasa, et changea de vêtements ; et il vint devant le pharaon” (Gen. 41. 14). Le voilà maintenant devant le pharaon !

    Il interprète le songe tout en donnant toute la gloire à Dieu : “Dieu donnera une réponse de paix au pharaon” (Gen. 41. 16). Il reste humble, ne désirant tirer aucun profit de la situation. Il propose néanmoins une solution pour les difficultés annoncées par le songe, une stratégie à long terme pour survivre aux 14 prochaines années. Un esclave prisonnier qui apporte la solution ! Voilà Joseph promu vice-roi d’Égypte !

    Quel chemin depuis le jour où il a été vendu par ses frères à des caravaniers ismaélites ! Quelle soumission aussi : Joseph ne s’est jamais plaint de son sort ! Et quelle élévation à la fin ! Il n’avait certainement jamais envisagé une telle issue. Il avait manifesté une soumission absolue devant le souverain ; il n’a eu aucune parole désagréable envers celui qui l’avait laissé croupir en prison ; il a eu une interprétation ferme du songe du monarque, ne cherchant nullement à se venger ou se faire valoir.

    Dieu a été bon envers Joseph, lui accordant plus qu’il n’aurait espéré. Dieu est bon envers chacun de ses enfants, n’abandonnant jamais aucun des siens. Après les moments d’épreuve, viennent les moments de joie ; et les épreuves permettent aussi d’expérimenter toute la sollicitude de Dieu envers les siens.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Ne t'ai-je pas ordonné : Fortifie-toi et prends courage ? Ne sois pas effrayé ni épouvanté, car l’Éternel, ton Dieu, est avec toi où que tu ailles." Josué 1.9

     

    Josué faisait face à un grand défi : succéder à Moïse, un homme incroyablement patient, et faire entrer le peuple d'Israël dans la terre promise en affrontant de grands ennemis.

    Ce qui fait peur à la peur, c'est la parole proclamée ! Dieu est vainqueur sur toutes vos craintes...

    Cet ordre, Dieu nous le donne à nous aussi. Nous n’avons pas à craindre quoi que ce soit : aucun ado en crise, aucune relation brisée, aucun emploi difficile, aucune erreur de notre part n’empêchera à Dieu de travailler… Il n’est limité en rien.

    La force du Seigneur est bien différente de celle des hommes : elle ne s’épuise pas et elle rend tout possible. C’est cette force qu’il désire vous communiquer!

    Comment vaincre ses peurs ?

    On commence par en reconnaître la source. Est-ce la peur des hommes qui nous empêche d’aller à l’endroit que Dieu a préparé pour nous ?

    Puis, on les confesse à Dieu ! N'oubliez pas : Ce qui fait peur à la peur, c'est la parole proclamée ! Prenez position, déclarez que Dieu est vainqueur sur toutes vos craintes, et qu’il est celui qui vous fortifie.

    Où que vous alliez, la bénédiction vous accompagne. Réalisez-le, croyez-le, visualisez-le, confessez-le, vivez-le. Continuez d’être à son écoute, de le servir et d’avancer. Dieu vous en fait la promesse, ses bénédictions vous suivront !

    Une action pour aujourd’hui

    Je vous invite à prendre un carnet et à noter toutes les promesses que Dieu a faites sur votre vie, tout ce qu’il dit que vous êtes, tout ce à quoi vous aspirez pour votre vie.

    Visualisez la vie abondante à laquelle vous avez non seulement droit, mais à laquelle vous êtes appelés. Relisez ce que vous avez écrit à chaque fois que vous en aurez besoin, et ne perdez plus l’objectif des yeux !

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Que votre cœur ne soit pas troublé… je reviendrai.” Lire Jean 14. 1-3

     

    Le Seigneur a rassemblé ses disciples dans une chambre haute pour la dernière veillée qu’il passera avec eux avant la croix. Il mesure alors l’intensité du trouble qui envahit ses disciples. Déjà Pierre, exprimant probablement ce qu’ils éprouvent tous, avait interrogé le Maître : “Seigneur, où vas-tu ?” (Jean 13. 36). Mais le Seigneur sent que sa réponse n’a pas dissipé leur inquiétude ; il prend la peine de leur montrer qu’il comprend leur crainte : “que votre cœur ne soit pas troublé”. Puis il fait appel à leur foi : “vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi”, avant de leur révéler l’une des raisons de son absence : “je vais vous préparer une place”. Il termine par une promesse : “je reviendrai”. Le Seigneur n’omet rien de ce qui peut les rassurer, pour le présent comme pour le futur.

    La tendresse du Seigneur et sa sollicitude sont infiniment touchantes, mais le trouble des disciples persiste. Après Pierre, ce sont Thomas, Philippe et Jude qui manifestent leur anxiété (Jean 14. 5, 7, 22).

    Allons-nous blâmer les disciples ? Ils ont l’impression que leur avenir s’écroule ; leur maître leur parle de sa mort, de ses souffrances ; il leur annonce qu’il sera trahi, qu’il va les quitter. Ils se voient comme des disciples sans maître, comme un petit troupeau sans berger. Que vont-ils devenir si leur Seigneur n’est plus là pour les protéger contre la haine des pharisiens ? Ils ne peuvent pas imaginer que quelques jours plus tard, craintifs dans une pièce verrouillée, ils le verront apparaître au milieu d’eux, et seront comblés de joie par sa présence ; que bientôt ils l’annonceront avec hardiesse aux foules repentantes. Se souviendront-ils de ses consolations et de sa promesse ?

    Ces encouragements sont aujourd’hui de toute actualité pour les chrétiens. Le nombre de conflits, de misères, de pénuries et l’insécurité croissante sont de sérieux motifs de préoccupation pour le présent comme pour le futur. L’une de nos ressources sont les paroles mêmes du Seigneur : “Moi… je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur la terre toute entière, pour éprouver ceux qui habitent sur la terre” (Apoc. 3. 10), “je ne fais pas la demande que tu les ôtes du monde, mais que tu les gardes du mal”, “je veux… que là où je suis, ils y soient aussi avec moi” (Jean 17. 15, 24).

    Source (Plaire au Seigneur)

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