• Matthieu 18.5 - Quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.

     

    Aujourd'hui, 30.000 enfants* dans le monde vont mourir à cause de la pauvreté, la plupart d'entre eux seront âgés de moins de cinq ans ! A cette heure, sur  2,2 milliards d'enfants dans le monde, 640 millions* n'ont pas un abri adéquat et 270 millions* ne bénéficient pas du tout de soins médicaux.

    Sur le temps que vous prendrez pour lire ces lignes, environ dix enfants seront « kidnappés » pour le commerce du sexe ! Chaque année, 1,2 million* sont vendus pour le trafic sexuel. Ce matin nous lisions encore qu'une petite de huit ans, au Yémen, était décédée la « nuit de noce », le rapport avec son « mari » de plus de 40 ans lui a été fatal. Il l'avait achetée pour 2.500 francs.

    Si vous êtes comme nous « horrifiés » par ces statistiques, un simple sentiment de frustration n'est pas suffisant. Il y a, à notre niveau, quelque chose à faire ! Nous ne pouvons pas simplement hocher la tête et poursuivre notre petit train-train. Le Seigneur nous invite à prendre soin de ces petits enfants qui nous entourent. Déjà, nous pouvons faire du bien à ceux que nous connaissons. Ensuite, nous pouvons peut-être aider de ces enfants démunis qui nous entourent dans nos pays « riches ». Enfin, nous pouvons aider des ONG qui font un travail extraordinaire sur le terrain.

    Il y a quelque chose à faire ! Nous pouvons faire quelque chose ! Nous DEVONS faire quelque chose !

    Bonne réflexion.

    * Statistiques Joyce Meyer Ministries

    Ézéchiel 37 Ministères © Septembre 2013 www.mfpg.be

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  • Chacun est tenté quand il est attiré et entraîné par ses propres désirs. Jacques 1.14

     

    À propos de la tentation, on prête à Benjamin Franklin les paroles suivantes : « Il est plus facile de résister au premier de ses désirs qu’à tous ceux qui le suivent ».

    Mais aujourd’hui, pour bien des gens, résister à la tentation serait une forme de rigidité. Et céder à la tentation serait une vertu. « Est-il finalement si important d’appliquer les principes moraux de manière stricte ? Pourvu que l’on n’ait pas “tué père et mère” ! », dira-t-on.

    Nous pourrions envisager de fixer une limite au delà de laquelle céder à la tentation deviendrait un péché. Ce serait commode : on aurait “droit” à un certain nombre de points…

    Cette liberté de vivre selon notre nature est clairement qualifiée de prétexte fallacieux dans la Parole de Dieu. L’apôtre Paul nous recommande de ne pas faire de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. (Galates 5.13)

    Lorsque Caïn s’est irrité contre son frère Abel, Dieu ne lui a pas donné un “capital de points” à dépenser. Au contraire, il lui a clairement dit de dominer le péché. Hélas, Caïn a tué son frère (Genèse 4.5-8). Il s’en est suivi la malédiction pour le reste de ses jours.

    Céder au premier de nos désirs coupables ouvrira la voie aux autres. Ne jouons pas avec le péché. Dénonçons-le sans tarder. Implorons le secours de Dieu pour pouvoir résister au mal.

    Changeons notre attitude et nos habitudes.

    Jean-Louis Théron

    ________________

    Lecture proposée : Lettre de Jacques, ch. 1, v. 12 à 15 et ch. 4, v. 1 à 12.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Ressaisissez-vous pour vivre dans la justice, et ne péchez pas ; car certains sont dans l'ignorance de Dieu, je vous le dis à votre honte. 1 Corinthiens 15. 34

     

    On vous dit : “Acceptez-vous tels que vous êtes, vivez comme vous le jugez bon; à chacun son style et sa culture !”

    La Bible dit : “Avertissez ceux qui vivent dans le désordre…” (1 Thessaloniciens 5. 14). “Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni fornicateurs, ni idolâtres, ni adultères, ni efféminés, ni les hommes qui couchent avec des hommes, ni voleurs, ni cupides, ni ivrognes, ni insulteurs, ni ravisseurs n'hériteront du royaume de Dieu. Et quelques-uns de vous, vous étiez tels ; mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus, et par l'Esprit de notre Dieu” (1 Corinthiens 6. 9-11).

    On vous a dit : “Soyez tous unis, car toutes les religions se valent !”

    La Bible dit : “Je suis l'Éternel, ton Dieu,… tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face” (Exode 20. 2, 3). “N'y a-t-il pas pour nous tous un seul père ? Un seul Dieu ne nous a-t-il pas créés ?” (Malachie 2. 10).

    Jésus, le Fils de Dieu, dit : “Je suis le chemin, et la vérité et la vie; personne ne vient au Père si ce n'est par moi” (Jean 14. 6).

    On vous a dit : “Tous les hommes sont enfants de Dieu, car Dieu vit en chacun !”

    La Bible dit : “À tous ceux qui l'ont reçu (Jésus, la lumière), il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Jésus Christ “est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l'auteur du salut éternel” (Hébreux 5. 9).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Mais toi, mon âme, repose-toi paisiblement sur Dieu ; car mon attente est en lui. Lui seul est mon rocher et mon salut, ma haute retraite : je ne serai pas ébranlé.” Psaume 62. 5, 6

     

    S’il y a un mot récurrent dans l’actualité, c’est bien celui de « crise » : les médias parlent de crises financières, économiques, écologiques ou sociales. Ces crises et leurs conséquences inquiètent tout autant qu’elles fascinent. Elles nous rappellent la fragilité de notre environnement ainsi que notre fragilité personnelle. Elles ébranlent tous les domaines de la vie humaine. Elles remettent en question l’idée que nous pouvons tout maîtriser. Mais si les crises apportent des changements et ruptures, elles peuvent aussi être fécondes. Elles nous amènent à nous poser de vraies questions : qu’est-ce qui est vraiment indispensable ? Sur qui puis-je compter ? Comment puis-je m’adapter ?

    Pour le chrétien, les crises sont des moments révélateurs de sa foi. C’est ainsi que les ont vécues tant d’hommes de Dieu dans la Bible.

    Pensons à Abraham montant à Morija pour sacrifier son fils (Gen. 22) ou à Jacob, ébranlé dans son quotidien, fuyant la colère de son frère et rencontré par Dieu à Béthel (Gen. 28) ; ou encore à Jacob, mais vingt ans plus tard, angoissé à l’approche de la rencontre avec son frère Ésaü (Gen. 32).

    Nous pourrions évoquer le traumatisme de Joseph, vendu par ses frères et devenu esclave en Égypte (Gen. 37), l’amère déception de Moïse devant l’échec de sa mission (Ex. 5. 22, 23), la désespérance d’Élie devant la menace de Jézabel (1 Rois 19) ou le désarroi de Jérémie devant les malheurs de Jérusalem (Jér. 32. 17-25) ; nous pourrions évoquer encore l’inquiétude de Joseph et Marie fuyant en Égypte avec le petit enfant Jésus devant la colère d’Hérode (Matt. 2. 13, 14), ou la douleur de Paul demandant instamment l’enlèvement de l’écharde (2 Cor. 12. 8)…

    Tous ceux-ci et bien d’autres ont dû faire face à des événements totalement incontrôlables ; mais plus ou moins rapidement, leur foi en Dieu a surmonté ces crises pour les porter en avant. À n’en pas douter, ces occasions restèrent des moments forts dans l’histoire de leur relation avec Dieu.

    Oui, les périodes de crises peuvent être fécondes, lorsque je reste assuré de la fidélité de mon Dieu. Je sais qu’avec la crise il fortifiera ma foi, mon amour, mon espérance.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Celui qui se fera petit comme cet enfant-là sera le plus grand dans le royaume des cieux." Matthieu 18.4

     

    Avez-vous déjà vu briller les yeux d'un enfant ? Comme la première fois qu'il ou elle fait un tour de manège, mange de la glace, ou encore réussit à accomplir quelque chose seul(e), comme faire du vélo.

    Dieu a créé toutes choses pour que vous puissiez en jouir, en profiter.

    Jésus lui-même aimait les enfants. Quand il était sur terre, il les prenait dans ses bras, pour les bénir (Marc 10.16). Il nous est même raconté que Jésus donna en exemple un enfant, quand les disciples lui demandèrent qui serait le plus grand, dans le royaume des cieux (Matthieu 18.1-4).

    La capacité des enfants à s'émerveiller de tout est prodigieuse et semble illimitée. 
    La question est : Que se passe-t-il en grandissant ? Que nous arrive t-il à nous, adultes ? 
    Avec le temps, nous nous habituons à ces petites choses de la vie, comme le chant matinal des oiseaux, le coucher du soleil, le rire d'un enfant, la saveur d'un bon croissant accompagné d'un café pour bien commencer la journée…

    Trop souvent, accaparés par nos obligations quotidiennes et toutes sortes de pensées, nous ne prenons plus le temps de savourer, nous arrêter et respirer.
    Pourtant, Dieu a créé toutes choses pour que vous puissiez en jouir, en profiter. Du lever du soleil, au clapotis des vagues, en passant par le vol des hirondelles au printemps, tout cela vous a été donné pour que vous puissiez en profiter.

    Et si aujourd'hui, maintenant, vous preniez la décision consciente de vous laisser émerveiller par la beauté incroyable de la création qui vous entoure ? Par la grâce de Dieu qui vous accompagne encore en ce jour ? Par ses bontés renouvelées ce matin ?
    Profitez de chaque instant, vivez à fond et soyez rempli(e) de la joie du Seigneur ! Que rien ne vienne vous dérober votre capacité à vous émerveiller !

    Un encouragement pour aujourd’hui

    Aujourd’hui, prenez modèle sur ces plus petits que vous, qui ne le sont souvent que par la taille ou par l’âge… Et cherchez à développer en vous cet émerveillement qui plaît à Dieu, et qui rassasie votre âme des bontés de Dieu.

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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