• Je me réjouis de ta parole, comme celui qui trouve un grand butin. Psaume 119.162

     

    Quand le temps le permet – dans les deux sens du terme ! – une balade dans la campagne me réjouit toujours. Il faut dire que la chlorophylle n’a pas la couleur déprimante du béton ! Aller à la rencontre de la nature est un bienfait universellement partagé. C’est un spectacle gratuit que la haute définition de nos écrans ne peut pas encore égaler. Ses verts éclats, ses parfums floraux, ses mélodies printanières agissent sur les citadins comme un contrepoids au blues de leur environnement artificiel. En fin de semaine, une sortie dans ces conditions permet de placer leurs soucis en mode « pause »… La citation de Benjamin Franklin, « Le temps, c’est de l’argent », est devenue célèbre dans notre société de commerce. Paradoxalement, les instants « perdus » d’une promenade privée deviennent précieux pour notre équilibre psychique…

    Mais il y a une autre balade que je voudrais vous convaincre d’expérimenter… La lecture biblique ! Lire la Bible est un parcours malheureusement trop méconnu. Pourtant, elle nous permet de rencontrer Dieu et de bénéficier de ses bienfaits. Offrez-vous quotidiennement cette parenthèse spirituelle. Explorez les différents livres de la Bible comme autant de chemins pour découvrir qui est Dieu. Cette balade oxygénera votre âme. Elle réjouira votre cœur. Elle enrichira votre vie intérieure…

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Psaume 119, versets 1 à 18.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Paul et Silas, en priant, chantaient les louanges de Dieu ; et les prisonniers les écoutaient. Actes 16. 25

    Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. Philippiens 4. 4

     

    “Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur !” Ce conseil semble peu réaliste… Le mot “toujours” n'est-il pas de trop dans le texte ? Il y a des moments dans la vie du chrétien où la joie est normale et spontanée. Mais il rencontre aussi la maladie, les souffrances, le deuil, les persécutions, les soucis de toute sorte. Se réjouir dans de telles situations paraît surhumain.

    Pourtant, ce qui donne à réfléchir, c'est que ces mots ont été écrits par un homme persécuté, prisonnier à Rome, arrêté dans son activité pour le Seigneur, séparé de ses amis chrétiens. Les croyants de la ville de Philippes à qui est adressé ce message se souvenaient que, lors de leur première visite dans leur ville, l'apôtre Paul et son compagnon Silas, emprisonnés, blessés, malmenés, chantaient les louanges de Dieu (Actes 16. 25). Belle démonstration du fait que la vraie joie chrétienne ne dépend pas des circonstances de la vie, mais de l'intimité avec le Seigneur.

    Nos circonstances changent, et quelquefois viennent assombrir nos joies terrestres ; mais le Seigneur, lui, ne change pas. Si notre joie a sa source en lui, elle peut résister aux pires orages. Combien de martyrs l'ont démontré depuis les débuts du christianisme ! Leur Seigneur les invitait à diriger leurs regards sur lui qui, “à cause de la joie qui était devant lui, a enduré la croix, ayant méprisé la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu” (Hébreux 12. 2).

    La joie du chrétien n'est ni superficielle ni fragile, elle est profonde, tranquille, inaltérable.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne.” 1 Corinthiens 11. 26

     

    « L’an prochain à Jérusalem ! » Cette formule clôt traditionnellement le repas de la Pâque chez les Juifs. Elle exprime l’espérance du retour dans la ville sainte de ceux qui, depuis des siècles, ont été dispersés dans le monde entier.

    Pour nous chrétiens, la Pâque juive pointe vers Jésus et son sacrifice accompli une seule fois, lors de la semaine pascale. Paul affirme : “notre Pâque, Christ, a été sacrifiée” (1 Cor. 5. 7). Chaque dimanche, la cène du Seigneur, simple repas de pain et de vin, rappelle la mort du Sauveur à qui nous devons la vie éternelle. Ce souvenir nous fait regarder en arrière, mais nous le prenons aussi dans l’attente du retour prochain de Jésus Christ. D’un instant à l’autre, le Seigneur va revenir et amener ensuite l’histoire à son terme dans la Jérusalem céleste. Nous pourrions dire à la fin de ce repas : « Dimanche prochain dans la Jérusalem définitive ! »

    « Dimanche prochain à Jérusalem » : la foi sera changée en vue. Le Seigneur que nous aimons sans l’avoir vu sera alors perceptible directement aux sens de nos corps glorifiés. Nous verrons les blessures de la croix dont son corps de résurrection porte encore les marques visibles. Nous entendrons sa voix nous parler.

    « Dimanche prochain à Jérusalem » : toute trace du péché aura définitivement disparu. Disparues, toutes ces fautes qui parsèment nos semaines et qui nous amènent à nous « examiner nous-mêmes » avec confusion. Disparues, toutes ces distractions qui font vagabonder nos pensées pendant le culte. La communion sera alors parfaite.

    « Dimanche prochain à Jérusalem » : le peuple de Dieu, aujourd’hui dispersé et divisé en tant de dénominations, sera enfin réuni dans une unité visible que rien ne brisera jamais et qui s’alliera à la diversité de chacun de ses membres. « Dimanche prochain à Jérusalem » : le repas du Seigneur n’aura plus lieu d’être. Ce souvenir est pour la terre, dans le temps de l’espérance. L’adoration sera tellement immédiate qu’il est dit que Dieu et l’Agneau seront eux-mêmes le temple, le lieu central de l’adoration.

    Alors en ce dimanche (le dernier ?), nos cœurs s’exclament : “Amen ; viens, Seigneur Jésus !” (Apoc. 22. 20).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés." Romains 8.37

     

    Il est important que cette vérité pénètre dans nos cœurs et que nous nous voyions comme plus que vainqueurs en Christ-Jésus. Si ce n’est pas le cas, notre ennemi, Satan, parviendra à nous troubler et à nous maintenir dans la défaite. Et tout ce que l’ennemi cherche à faire, c’est tuer, voler et détruire ce que Dieu veut nous donner (Jean 10.10). Il veut vous amoindrir, vous donner un esprit étriqué et vous faire mener une vie au rabais.

    Je vous encourage à découvrir qui est vraiment Dieu.

    Mais il n’est pas nécessaire que nous vivions ainsi. Quiconque confesse que Christ-Jésus est Seigneur, se repent de son péché et donne son cœur à Dieu est un enfant de Dieu et lui appartient. Et en Christ, nous sommes réconciliés avec Dieu, nous sommes sa justice, et nous avons en nous la puissance de Christ pour mener une vie juste.

    Avez-vous conscience de ce que cela signifie ? Cela veut dire qu’alors que nous passons du temps avec Dieu dans la prière et l’étude de la Bible, nous pouvons accéder à la sagesse et à la force dont nous avons besoin pour faire les bons choix. Cela ne se produit pas du jour au lendemain, mais chaque jour où nous chercherons Dieu ainsi, nous progresserons.

    Je voudrais vraiment que vous ayez la révélation de votre identité en Christ en tant que croyant né de nouveau. Ainsi vous ne serez pas frustré ou découragé, en butte aux attaques incessantes et essayant simplement de survivre un jour après l’autre. Dieu veut vous donner mieux que cela !

    Quand vous commettez une erreur et que le diable vient vous dire "Tu es nul", vous n’avez pas besoin d’accepter la culpabilité et la condamnation dont il veut vous écraser. Non ! Vous pouvez immédiatement confesser votre faute à Dieu, le remercier de vous pardonner et de vous purifier par le sang de Jésus, et aller de l’avant dans la victoire de sa grâce et de son pardon.

    Voici un texte qui m’a aidée à prendre possession de mon identité en Christ et à vivre dans la victoire sur les vicissitudes de ce monde : "Voici comment l’amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l’assurance au jour du jugement : tel il est lui, tels nous sommes aussi dans ce monde" (1 Jean 4.17).

    Lorsque nous connaissons cette vérité, nous n’avons pas besoin de passer notre temps à nous demander si Dieu s’intéresse à nous ou s’il prendra soin de nous.

    Une action pour aujourd’hui

    Découvrez qui est vraiment Dieu. Passez du temps avec lui, lisez sa Parole et laissez-le vous aimer. Sachez qu’il vous aime d’un amour inconditionnel. Il est bon. Il veut vous bénir et vous aider.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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    10 versets à mémoriser

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