• “L’Éternel dit à Éliphaz… : ma colère s’est enflammée contre toi et contre tes deux compagnons, car vous n’avez pas parlé de moi comme il convient, comme mon serviteur Job.” Job 42. 7

     

    La colère de Dieu contre les « consolateurs » de Job est bien compréhensible quand on lit leurs propos.

    Tsophar, par exemple, ose déclarer à Job : “[Dieu] connaît, lui, les hommes vains, et il voit l’iniquité sans que l’homme s’en aperçoive” (Job 11. 11). Ce consolateur et ses compagnons se permettent de juger Job et d’expliquer de façon obstinée et prétentieuse l’attitude de Dieu à son égard : en clair, si Job est frappé de nombreux malheurs, c’est en raison d’un péché caché.

    Quant à Job, il adresse à Dieu des paroles sévères : “Tout revient au même ; c’est pourquoi j’ai dit : Il consume le parfait et le méchant. Si le fléau donne subitement la mort, il se rit de l’épreuve de l’innocent” (Job 9. 22, 23). Mais pour autant, Job a conscience de la grandeur de Dieu : “Car il n’est pas homme, comme moi, pour que je lui réponde, pour que nous allions ensemble en jugement. Il n’y a pas entre nous un arbitre qui mettrait sa main sur nous deux” (Job 9. 32, 33). Certes, Job rejette avec vigueur les explications de ses amis et il interpelle rudement Dieu ; il recherche en fait sa présence.

    Quand Dieu intervient, il ne répond pas aux « pourquoi ? » de Job. Mais, on assiste alors à un extraordinaire dialogue entre le créateur et sa créature. Job prend conscience de la proximité de Dieu dans son épreuve : “Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu” (Job 42. 5).

    Ainsi, prétendre expliquer les épreuves de notre prochain, relève de la prétention et il nous faut accepter que beaucoup de « pourquoi ? » resteront sans réponse. En revanche, Dieu nous accompagne dans nos épreuves, comme le prophète l’exprime : “Dans toutes leurs détresses, il a été en détresse” (Es. 63. 9).

    Paul Claudel, poète, dramaturge et diplomate, a écrit : « Dieu n’est pas venu supprimer la souffrance. Il n’est même pas venu l’expliquer, mais il est venu la remplir de sa présence ».

    Les expériences de Job si longuement développées sont encourageantes pour tous ceux qui traversent des moments difficiles.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Je me lèverai, j’irai vers mon père et je lui dirai : J’ai péché contre contre le ciel et contre toi (…) Il se leva et alla vers son père." Luc 15.17-20

     

    L’histoire du fils prodigue est connue au-delà des frontières du christianisme. Ce fils claqua la porte de la maison paternelle pour dilapider toute sa fortune. Il se retrouva dans une situation humiliante, nourrissant des porcs tout en enviant leur nourriture.

    Les choses ne changeront jamais tant que vous ne vous lèverez pas pour qu’elles deviennent réalité. 

    Combien d’histoires sont semblables ? Des hommes, des femmes qui, après de mauvaises décisions, se retrouvent au plus bas, sans espoir, loin de Dieu et de son plan. Malheureusement, certains passent des vies entières dans cette situation catastrophique. Comment le fils prodigue s’en est sorti ? Avait-il de l’argent sur lui ? Des bons amis ? Un bon patron ? Des voisins attentionnés ? Rien de tout cela.

    Les choses ont changé quand il a dit STOP, ça ne peut plus durer, la situation doit évoluer. La Bible dit clairement qu’après être rentré en lui-même, il fit le constat de son échec. Puis, il élabora une feuille de route : "Je me lèverai, j’irai vers mon père et je lui dirai : J’ai péché contre contre le ciel et contre toi." Luc 15.17-18

    Établir un plan d’action, dire demain je ferai ceci ou cela est bien mais ça ne suffit pas. Une nouvelle année vient de débuter et avec elle sa horde de résolutions. Cependant, les choses ne changeront jamais tant que vous ne vous lèverez pas pour qu’elles deviennent réalité.

    Après avoir conçu son projet, le fils prodigue "(...) se leva et alla vers son père." Luc 15.20 C’est ce qui fit la différence. D’ailleurs, bien souvent, ce qui fait l’écart entre ceux qui avancent et ceux qui sont dans le statuquo se résume par le fait de "passer à l’action".

    En cette nouvelle année 2018 prenez les décisions qui s’imposent et agissez. Chaque avancée significative est précédée d’une décision. Qu’avez-vous reporté jusqu’à maintenant ? Que devez-vous faire pour améliorer votre existence ? Il s’agit peut-être de remplacer de mauvaises habitudes par du sport, de la lecture ou bien de vous lever plus tôt le matin afin de méditer la parole de Dieu.

    N’accusez plus personne d’être à l’origine de vos problèmes et réfléchissez à la manière dont vous pouvez métamorphoser votre situation. Étudiez, consacrez du temps à votre famille. Il y a tellement de choses où vous pouvez agir.

    Le père du fils prodigue n’attendait que cela pour l’aider et lui faire grâce. Notez que le père n’a pas agit à la place de son fils, c’était à ce dernier de se lever et de poser les actes en conséquence pour que sa vie change.

    De même, je crois que le Seigneur désire vous faire grâce et vous donner la force d’avancer. Comme à l’infirme, Jésus vous dit : " Lève-toi et marche." Jésus ne marchera pas à votre place mais en ce jour, il désire vous donner la force de sortir de votre situation.

    Un vœu pour aujourd’hui

    Je vous souhaite une belle année 2018, pleine d’aventures et de défis. Passez à l’action !

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Remets tout cela en mémoire, avertissant solennellement devant le Seigneur qu’on n’ait pas de disputes de mots, ce qui est sans aucun profit, mais pour la ruine des auditeurs.” 2 Timothée 2. 14

     

    Que devait rappeler Timothée aux chrétiens ? Essentiellement : “Souviens-toi de Jésus Christ” (2 Tim. 2. 8) ; il vaut la peine de le servir, même au prix des souffrances que Paul endurait en tant que prisonnier “lié de chaînes comme un malfaiteur” (v. 9). Également ceci : la vie chrétienne est une vie de consécration, d’obéissance et de patience (v. 3-6). Et enfin : l’aboutissement de cette vie, c’est la gloire éternelle avec Jésus (v. 10-12).

    L’apôtre savait bien qu’une consécration entière au Seigneur entraîne des joies mais aussi de la souffrance ; il est donc plus facile d’en parler que de donner l’exemple. Il connaissait aussi l’habitude des Juifs de mener des discussions interminables sur la signification symbolique des mots des Saintes Écritures. Certains de ceux qui s’étaient tournés vers le christianisme avaient conservé cette habitude et Paul les appelle ailleurs “vains discoureurs et séducteurs” (Tite 1. 10).

    De nos jours, le danger est toujours aussi grand de remplacer la pratique de la vie chrétienne par des mots. La paresse, la crainte des renoncements indispensables, la honte d’être vus tels que nous sommes, tout cela nous y pousse. Mais nous avons besoin aujourd’hui de vivre notre foi.

    Pratiquer la piété, c’est entretenir sa relation avec le Seigneur. C’est se laisser guider par le Saint Esprit pour recevoir ce que Dieu veut nous apprendre, à un moment donné et en fonction de notre état intérieur, en vue de nous faire agir à sa gloire. En avoir seulement la forme, c’est par exemple nous contenter d’étudier minutieusement des textes bibliques, sans penser vraiment à mieux honorer et servir Dieu. On utilise alors son intelligence pour trouver de subtiles nuances entre les différents mots que la Bible emploie pour désigner une même chose, ou bien on rapproche des mots pour bâtir un raisonnement littéraire, en oubliant que nous avons surtout à apprendre le Christ (Eph. 4. 20).

    Paul exhortait Timothée en vue de son enseignement oral dans les assemblées. Même si nous ne sommes pas tous appelés à un tel service, recevons chacun ces instructions, pour ne pas laisser dévier notre méditation de la Parole vers la passion des mots. Cherchons, au contraire, dans la dépendance du Saint Esprit, à y discerner la pensée de Christ concernant ce que nous avons à vivre aujourd’hui et maintenant.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données en plus." Matthieu 6.33

     

    Par ce verset, Jésus déclare deux choses.  La première, c’est qu’il faut chercher le royaume de Dieu - cela veut dire la manière dont Dieu agit.  Ne recherchez pas les conseils de votre mère, de votre père, de vos amis ou d’un conseiller. Trouvez la méthode par laquelle Dieu agit, et suivez-la.

    Dans sa Parole, Dieu énonce clairement ses voies. 

    Vous avez peut-être entendu un prédicateur dire que les voies de Dieu sont mystérieuses. Les voies de Dieu ne sont pas secrètes et ne vous sont pas cachées. Dans sa Parole, Dieu énonce clairement ses voies. Vous les trouverez donc dans sa Parole.

    La deuxième déclaration de Jésus c’est qu’il faut chercher la justice de Dieu. Dans Matthieu 6.33 le mot grec traduit par "justice" est parfois traduit par "prospérité". De la même manière que les rois supervisent l’économie de leur royaume, Dieu veille à ce que son économie soit prospère.

    Lorsque vous agissez selon les méthodes de Dieu et que vous suivez Jésus, le “bon berger” vous conduira dans les verts pâturages de sa provision car le royaume de Dieu est un lieu d’abondance.

    Une action pour aujourd’hui

    Avez-vous atteint votre lieu de bénédiction ? Le bon berger sait dans quel lieu ses brebis seront abreuvées et nourries. Demandez à Dieu où se trouve votre lieu de bénédiction et suivez-le à cet endroit.

    Keith Butler

    Source (La Pensée du Jour)

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  • J'ai un sujet de prière pour une sœur en Christ et tous les habitants de Madagascar qui à vécue 2 cyclones :

    Notre amie et sœur en Christ Minah est très courageuse !!! Mais la peste avant l'arrivée de l'hiver et successivement 2 cyclones !! Vous comprendrez qu'on ne peut pas rester Spectateurs
    Dieu t'aime Minah et Il aime ton pays !! Garde courage et confiance !!

    Nous t'embrassons tendrement ainsi que tes enfants !! Soyez abondamment bénis !!

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