• Ésaïe 6.8 - J’entendis la voix du Seigneur, disant : Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous ? Je répondis : Me voici, envoie-moi.

     

    Nous sommes souvent admiratifs d'hommes et de femmes qui ont impacté leur génération et la société. Tous n'ont peut-être pas entendu un appel aussi clair de la part du Seigneur, bien souvent ils ont été interpellés par des besoins pressants, mais ils ont été la réponse de Dieu aux nécessités de l'humanité.

    Quelle serait notre réponse si ce matin le Seigneur nous disait : « Qui s'occupera de cette situation pour me rendre gloire ? ». A l'image de Moïse face au buisson ardent, nous trouverions probablement mille excuses pour ne pas répondre à cet appel. Il ne s'agit pas de faire les choses d'une manière irréfléchie, le Seigneur Jésus n'a-t-il pas dit Lui-même : « Car, lequel de vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied d’abord pour calculer la dépense... » (Luc 14.28). Il y aura un coût, une dépense, un prix à payer pour servir à la gloire de Dieu, cependant, nous ne devrions pas regarder à cela, mais au Seigneur tout Puissant qui nous envoie !

    Nous avons tous une destinée en Dieu. Il nous a tous créés pour un but bien précis. Si nous analysons notre parcours de vie, les talents qui nous sont propres, les injustices qui nous dérangent..., nous pourrons entrevoir cette destinée. Dieu ne nous a pas rachetés à un si grand prix pour que nous végétions dans une vie faîte de banalités. Nous ne serons probablement pas tous des Martin Luther King ou des mères Térésa mais nous pouvons bouleverser ce monde à notre niveau. Voici le témoignage que les Juifs ont rendu à Paul et Silas : « Ces gens, qui ont bouleversé le monde, sont aussi venus ici » (Actes 17.6).

    Mes bien-aimés, n'attendez pas le temps des regrets de « n'avoir pas fait ». Levez-vous avec détermination pour répondre à l'appel du Seigneur ! Criez-Lui : « Seigneur, envoie-moi ! ». N'ayez pas de crainte car Celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de ce que nous demandons ou pensons (Éphésiens 3.20), vous accompagnera dans votre marche et fera réussir votre entreprise, faîte pour sa seule et unique gloire. Bouleversez votre univers !

    Que le Seigneur vous interpelle !

    Bonne réflexion.

    Ézéchiel 37 Ministères © Mars 2014 www.mfpg.be

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  • Car je n’ai point honte de l’Évangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit. Romains 1.16

     

    Il y a bien peu de mots dans notre langue qui soient aussi peu compris que le mot « Évangile ». On l’entend prononcer chaque jour. Pourtant nombreux sont ceux, même parmi les chrétiens, qui n’en connaissent pas la portée.

    Le sens littéral de ce mot est « bonne nouvelle ». Jamais message plus excellent n’est venu du ciel. Jamais plus heureuse nouvelle n’a retenti aux oreilles des hommes que celle qu’apporte l’Évangile de Jésus-Christ.

    Quand il est né, un ange envoyé par Dieu a annoncé aux bergers dans les champs de Bethléem : Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Ces bergers crurent et furent remplis de joie.

    Telle est encore aujourd’hui la bonne nouvelle, l’Évangile ! Nous sommes par nature mortels à cause de nos fautes et de nos péchés, et l’Évangile apporte la vie. Nous sommes ennemis de Dieu, et l’Évangile apporte la réconciliation. Le monde vit dans les ténèbres, et l’Évangile apporte la lumière. Dès qu’un homme croit au Seigneur Jésus-Christ, cette resplendissante lumière inonde son sentier et son cœur. Il marche alors comme sous l’éclat d’un soleil radieux.

    Je suis la lumière du monde, a dit Jésus, celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

    Albert Nouguier

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    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 12, versets 44 à 48.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres quant au monde, riches en foi et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment ? Jacques 2. 5

     

    Un homme organise un grand dîner auquel il invite beaucoup de monde. Le jour venu, personne ne se présente, chacun invoquant un mauvais prétexte. L'homme envoie alors son serviteur chercher dans tous les recoins de la ville les pauvres, les mendiants, les aveugles. Jésus illustre par cette parabole l'invitation qui est faite à chacun d'entrer un jour dans le royaume de Dieu.

    Mais qui sont ces invités de la dernière heure ? Ce sont des gens que la vie a malmenés, qui ont reçu de lourdes blessures physiques ou morales, qui se sentent souvent étrangers au milieu des autres. On les qualifie peut-être de marginaux, de naufragés de la vie.

    Avons-nous conscience que nous ne sommes pas meilleurs qu'eux ? Mais Dieu prend soin de cette société marginale que nous avons de la peine à accueillir. Serions-nous plus sélectifs que lui, nous qui avons l'immense bonheur de le connaître ? “Le chemin le plus court pour aller vers celui qui souffre passe par le Christ”, a écrit quelqu'un. C'est en suivant l'exemple de Jésus que nous pouvons tendre la main à ceux qui n'ont rien, en leur montrant que Dieu est le refuge où peuvent venir s'abriter ceux qui se sentent exclus.

    L'apôtre Paul nous interpelle : “Vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ : pour vous, lui qui était riche a vécu dans la pauvreté, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis” (2 Corinthiens 8. 9). Ne souhaitons-nous pas lui ressembler un peu plus ?

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Vous ne pouvez pas boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons ; vous ne pouvez pas participer à la table du Seigneur et à la table des démons.” 1 Corinthiens 10. 21

     

    Dans l’Antiquité, la vie quotidienne était imprégnée de religion : elle intervenait dans tous les événements sociaux.

    Les notions de liberté de conscience et de laïcité n’existaient pas ; ne pas révérer les dieux était un crime, car c’était mépriser la protection qu’ils étaient censés accorder à la ville ou au pays qui les honorait. On comprend pourquoi les Juifs d’abord et les chrétiens ensuite, qui ne participaient pas aux nombreux rites païens, ont été si violemment persécutés. Cette imbrication du sacré et du profane créait de nombreuses difficultés aux chrétiens. Paul a dû répondre à une question : un chrétien peut-il manger de la viande d’animaux sacrifiés en l’honneur d’un dieu ?

    Les sacrifices étaient suivis d’un repas pris en commun, on mangeait la viande de l’animal sacrifié à une divinité. Cela allait d’un simple repas à des orgies où se mêlaient toutes sortes de choses impures. La pression était forte sur les chrétiens pour qu’ils participent à ces événements sociaux autant que religieux.

    Les idoles en elles-mêmes ne sont rien que de la matière, mais toute participation à un rite idolâtre est une communion avec les puissances du mal qui se cachent derrière l’idole. C’est pourquoi Paul intervient fermement pour déclarer qu’aucun compromis n’est possible entre le domaine des ténèbres et celui de la lumière divine. Les croyants devaient rompre avec toute manifestation idolâtre. Par leur participation au repas du Seigneur, ils avaient communion avec son corps donné pour eux, avec son sang versé pour eux. Comment auraient-ils pu participer aussi aux repas idolâtres qui les mettaient en communion avec les démons, avec la puissance de Satan ?

    Cette question ne se pose plus sous cette forme aux chrétiens dans les pays occidentaux. Mais elle est très actuelle, en Afrique ou en Asie, pour de nombreux frères et sœurs issus de familles animistes. Pour eux, c’est souvent un choix très difficile : ils désirent être soumis aux autorités, montrer de l’amour et du respect ; mais ils ne peuvent pas être présents là où on invoque un esprit, là où on sacrifie à une puissance liée à Satan.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Jésus vit, en passant, un homme aveugle de naissance..." Jean 9.1

     

    Il y a certaines choses que nous ne maîtrisons pas et dont nous ne sommes pas responsables. Tout comme cet homme aveugle de naissance, nous pouvons naître avec une maladie ou bien être confrontés à divers problèmes que nous n’avons absolument pas provoqués.

    “Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?”

    Les disciples de Jésus cherchèrent une cause pour justifier l’état de cet homme atteint de cécité. Ils lui posèrent donc une question : “Maître, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu'il soit né aveugle ?” Jean 9.2 

    La réponse du Seigneur ne se fit pas attendre, elle fut claire et sans équivoque : “Cela n’a aucun rapport avec le péché: ni avec le sien ni avec celui de ses parents. C’est uniquement pour qu’en lui tous puissent voir ce que Dieu est capable de faire.” Jean 9.3

    Il est plus logique de trouver une cause afin de justifier les quelques souffrances qui sont les nôtres. Mais comme vous le savez, il existe des faits inexplicables. Ils sont présents dans notre vie et on se demande pourquoi.

    D’ailleurs, c'est peut-être la question que vous vous posez aussi ? Alors permettez-moi de vous affirmer une vérité : “Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.” Romains 8.28

    Une personne me parlait récemment de son épouse qui était tombée gravement malade. Elle m’expliquait que pendant cette période, quelqu'un avait eu la délicatesse de laisser croire à sa femme que si elle était dans cet état, c'était parce qu’elle avait fait quelque chose de mal. 

    Aujourd’hui, il est certain qu'il a dû changer d'avis étant donné que cette maladie a servi à une chose, celle de glorifier le nom de Dieu puisque cette femme est totalement guérie !

    Croyez-le, il y a certaines choses dans votre vie pour lesquelles il est inutile de faire une enquête sur votre passé. Le hasard n'existant pas, il vous faut accepter le fait que ces choses sont présentes parce que Dieu veut s'en servir pour vous montrer ce qu'il est capable de faire !

    “Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?” Jean 11.40

    Une proclamation pour aujourd'hui

    Seigneur, je veux croire afin de voir ta gloire !

    Yannis Gautier

    Source (La Pensée du Jour)

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