• La prophétie est un signe, non aux incrédules, mais à ceux qui croient. 1 Corinthiens 14. 22

    La fin de toutes choses s'est approchée ; soyez donc sobres et veillez pour prier. 1 Pierre 4. 7

     

    Les responsables du peuple juif cherchaient à “tester” le Seigneur Jésus en lui demandant un signe venant du ciel. Il leur répondit : “Quand le soir est venu, vous dites : Il fera beau temps, car le ciel est rouge… Vous savez discerner l'apparence du ciel ; et les signes des temps, vous ne le pouvez pas ?” (Matthieu 16. 2, 3). Ils refusaient les preuves évidentes de la divinité de Jésus, qui avait déjà guéri des personnes handicapées, avait multiplié des pains pour nourrir une foule, ressuscité une jeune fille. Avaient-ils besoin d'autres signes pour attester qu'il était bien le Christ annoncé par les prophètes ? Leur demande mettait en évidence leur refus de croire en lui.

    Aujourd'hui encore la Parole de Dieu donne des signes aux croyants pour discerner les caractéristiques de l'époque où ils vivent : “Dans les derniers jours il surviendra des temps difficiles : les hommes seront égoïstes, avares,… blasphémateurs, désobéissants à leurs parents, ingrats…, cruels, n'aimant pas le bien…” (2 Timothée 3. 1-3).

    Que voyons-nous autour de nous ? N'est-il pas clair que nous sommes arrivés à ces temps de la fin ? Qu'attend alors le chrétien ? La venue du Seigneur pour enlever son Église du milieu de ce monde qui va vers le jugement (Jean 12. 31). Discerner les temps, ce n'est pas chercher à connaître la date du retour du Seigneur, connaissance réservée à Dieu le Père (Matthieu 24. 36), c'est comprendre les signes distinctifs de notre époque, annoncés par la Parole de Dieu afin de nous réveiller pour attendre Christ.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Moi, je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.” Jean 8. 12

     

    Les bienfaits de la lumière sur l’organisme et la vie en général sont connus. Une personne ayant une vue normale ne peut rester dans le noir absolu pendant longtemps sinon elle va sombrer petit à petit dans la folie. Une plante ne peut se passer de lumière pendant longtemps sinon elle va s’étioler et mourir. La lumière fut ce que Dieu créa en premier pour la terre qui était désolation et vide : “Que la lumière soit. Et la lumière fut” (Gen. 1. 3) et il la sépara des ténèbres voyant que cela était bon.

    Dans le monde, il y a diverses sortes de lumières : certaines sont aveuglantes, comme les phares de voitures, les néons, les projecteurs… D’autres sont brillantes, comme la lune, les bougies, les lampes… Même si elles éclairent de façons différentes, elles ont toutes un point commun : elles finissent toutes par disparaître ou s’éteindre !

    Le XVIIIe siècle a été appelé en Europe « le siècle des lumières ». L’homme a voulu chasser les ténèbres, l’ignorance et les mensonges par le savoir, la science, la philosophie, l’art, l’industrie. Cette volonté est toujours présente ; ces lumières intellectuelles ou morales peuvent nous attirer par leur utilité, mais elles ne parviennent pas à la vraie lumière. Satan apporte une fausse lumière pour ajouter à la confusion : il “se déguise en ange de lumière” (2 Cor. 11. 14). Cette lumière est trompeuse, elle ne projette que ses illusions et ses mensonges.

    Une seule lumière ne s’éteint jamais, celle qui vient de Dieu, c’est la lumière dans son absolu : “L’Éternel est Dieu, il nous a donné la lumière” (Ps. 118. 27). Cette lumière éclaire réellement nos pas et révèle la vérité. La lumière de Dieu nous amène à regarder dans la vérité, les ténèbres ne peuvent pas l’éteindre. La lumière de Dieu est constante, inaltérable, vraie.

    Quand des moments difficiles ou douloureux surgissent dans nos vies, il est important de se rappeler que cette lumière est là avec nous, à l’intérieur de nous et qu’elle ne faillit jamais. Même si quelquefois on ne la ressent pas, cette lumière ne cessera jamais. Le nuage qui passe devant le soleil ne l’éteint pas !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Jésus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ?" Matthieu 9.28

     

    Ce que vous croyez influence votre vie.

    Un jour, Jésus a dit à deux lépreux : "Qu’il vous soit fait selon votre foi." Matthieu 9.29

    En grec le mot foi est Pistis, signifiant : foi, confiance et croyance. Votre croyance teinte votre vue comme des lunettes de couleur. En réalité, vous voyez la vie au travers de vos certitudes. C’est pourquoi deux personnes peuvent voir physiquement la même chose mais faire une analyse et un constat différent.

    Croire que Dieu marche à vos côtés et qu’avec lui vous ferez des exploits est une révélation majeure.

    Avez-vous remarqué que, lorsque vous avez donné votre vie au Seigneur, vous avez trouvé la force de faire des actions dont vous vous sentiez autrefois incapable ? Cela est le résultat de votre foi envers la Parole de Dieu. Vous avez cru, à juste titre "Qu’avec Dieu vous ferez des exploits." (Psaumes 60.12). Et cela a changé les choses.

    Cependant, cette espérance ne garantit pas que vous allez réussir à chaque fois. Dans votre conviction, il y a la notion de persévérance à rajouter comme le montrent les histoires de Joseph, de Moïse ou bien plus près de nous d’Abraham Lincoln. Il a perdu vingt-trois fois sur les vingt-six élections auxquelles il a participé. Et ce n’est que le septième jour que les murailles de Jéricho se sont effondrées ...

    Avoir confiance en la parole de Dieu est capital, surtout pour un chrétien.  Croire que Dieu marche à vos côtés, avoir la certitude qu’il est votre appui et votre refuge, être convaincu qu’il ne vous abandonnera pas et qu’avec lui vous ferez des exploits est une révélation majeure pour vous permettre de vivre le "Tout est possible".

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, je crois qu’il est possible de vivre la vie que tu as prévue pour moi, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Deutéronome 3.26 - Mais l’Éternel s’irrita contre moi, à cause de vous, et il ne m’écouta point. L’Éternel me dit : C’est assez, ne me parle plus de cette affaire.

     

    J'ai toujours trouvé ce passage très dur jusqu'il y a peu de temps. Moïse avait conduit le peuple d'Israël, un peuple très rebelle, pendant quarante ans. La Bible dit que c'était un homme fort patient (Nombres 12.3). Cependant, il s'était « énervé » une seule fois en frappant un rocher au lieu de lui parler comme Dieu lui avait dit et suite à cet incident, Dieu lui avait « interdit » l'entrée dans Canaan. Cette « sanction » semble tellement injuste et nous comprenons l'exaspération de Moïse face à ce peuple. Néanmoins quand Moïse voulait en parler avec son Dieu celui-ci avait répondu : « Ça suffit ! Laisse-moi tranquille avec cette affaire ».

    Ce que j'ai compris il y a peu, c'est que Moïse n'a jamais accepté sa responsabilité dans cette « désobéissance ». Plusieurs fois il dira aux Israélites : « C'est à cause de vous ! C'est de votre faute si Dieu s'est fâché avec moi ». C'était faux ! Dieu reprenait son serviteur à cause de sa « faute » qui ne trouvait aucun justificatif dans l'attitude des autres.

    Combien de fois nous justifions nos attitudes en imputant la responsabilité aux autres ? Comme Adam qui rendait Ève responsable de sa chute ainsi que Dieu qui lui avait donné pour femme. « Chacun rendra compte à Dieu pour lui-même » (Romains 14.12) ! Cela ne servira à rien de Lui dire : « C'est à cause de mon conjoint, de mon patron, du voisin, de mon pasteur... c'est de LEUR faute ». Finalement je crois que Moïse aurait pu entrer dans Canaan s'il avait eu ce genre de prière : « Seigneur je te demande sincèrement pardon, j'ai mal agi et je n'ai aucune excuse à cela, mais j'en appelle à ta grâce et à ta miséricorde ! ».

    Mes bien-aimés, sachons reconnaître nos erreurs avec simplicité sans se cacher derrière des « circonstances atténuantes ». Faisons tous nos efforts pour faire ce que Dieu nous demande sans se soucier si les autres font ou ne font pas pareil. Faisons aux autres ce que nous aimerions qu'ils nous fassent même si eux ne le font jamais (Matthieu 7.12). Dieu nous bénira en surabondance dans cette démarche et nous serons porteurs de vie et de gloire.

    Soyez béni(e)s en abondance.

    Ézéchiel 37 Ministères © Juillet 2013 www.mfpg.be

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  • Les hommes de sang haïssent l’homme intègre, mais les hommes droits protègent sa vie. Proverbes 29.10

     

    Quand Joseph et Marie ont présenté l’enfant Jésus au temple, le vieux Siméon, en prophétisant, avait averti Marie que son fils serait dans le monde un signe qui provoquera la contradiction (Luc 2.34).

    Personne, en effet, face à lui, ne pouvait rester neutre. Ceux qui avaient quelque droiture en eux ne pouvaient que reconnaître sa probité, son intégrité. Les fourbes, les malhonnêtes, les hypocrites ou les orgueilleux, quant à eux, le répugnaient.

    Qui qu’il soit, l’homme intègre ne laisse personne indifférent. Sa proximité est révélatrice chez ceux qui le côtoient de l’attitude profonde de leurs cœurs. Ceux qui se reconnaissent en lui l’approuveront, seront à ses côtés, le défendront des attaques mesquines dont il sera l’objet. Ceux qui se sentiront accusés par lui le haïront.

    La compagnie dans laquelle nous nous plaisons témoigne mieux que par des mots qui nous sommes !

    Gilles Georgel

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    Lecture proposée : 1er Livre de Samuel, chapitre 19, versets 1 à 7.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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