• [Les Juifs] étaient frappés par son enseignement ; car [Jésus] les enseignait comme ayant autorité, non pas comme les scribes… Alors ils furent tous saisis d’étonnement, au point de se demander entre eux : Qu’est-ce que cela ? Quel est ce nouvel enseignement ? Car il commande avec autorité, même aux esprits impurs, et ils lui obéissent.” Marc 1. 22-27

     

    Dans la synagogue de Capernaüm, au début de son ministère public, Jésus fait la démonstration éclatante de son autorité divine en délivrant un homme d’un esprit démoniaque. Sa divinité est annoncée dès le premier verset de cet évangile selon Marc : “Jésus Christ, Fils de Dieu”. Même si Marc nous présente le Seigneur sous son double caractère de serviteur parfait et de prophète, Il est pleinement le Fils de Dieu.

    Dans les versets qui précèdent ceux du jour, le Seigneur a déjà fait preuve de son autorité par l’appel souverain de ses disciples. Ceux-ci ont “aussitôt” quitté, les uns leurs filets de pêche, les autres leur père, pour le suivre. Cependant, cette autorité n’a eu pour témoins que les acteurs de la scène.

    Il en va tout autrement dans la synagogue de Capernaüm où le public est nombreux le jour du sabbat. Jésus prend la parole et enseigne la foule. L’Esprit n’a pas jugé bon de révéler le contenu de son enseignement, mais il attire notre attention sur sa façon d’enseigner : avec une autorité qui permet de discerner qu’il est bien le prophète annoncé par Moïse (Deut. 18. 18, 19). Il prouve que, à la différence des scribes, il enseigne dans la puissance de l’Esprit Saint dont il a été baptisé (Marc 1. 9-11). Ses auditeurs sont donc frappés par sa manière d’enseigner.

    Ils s’étonnent encore bien davantage lorsque Jésus délivre spectaculairement un homme possédé d’un esprit impur : “Qu’est-ce que cela ? Quel est ce nouvel enseignement ?” Ils doivent encore apprendre que, chez le Seigneur, l’enseignement est toujours accompagné par l’action, comme il le manifestera en beaucoup d’occasions tout au long de son ministère (Act. 1. 1).

    Le Seigneur nous enseigne encore aujourd’hui par le moyen de la Parole. Reconnaissons-en d’abord toute l’autorité, car elle émane de Dieu lui-même. Ensuite mettons-la en pratique, car c’est à cette condition que notre témoignage sera crédible et aura quelque autorité.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien” Psaumes 23.1

     

    Pourquoi la Bible nous compare-t-elle à des moutons ? Parce qu'ils sont parmi les créatures les plus dépendantes du monde. Ils doivent s'en remettre au berger pour tous leurs besoins. Et Dieu veut que nous soyons ainsi, dépendants de lui. 

    Arrêtez de vivre comme si vous doutiez des promesses de Dieu !

    Si vous vivez constamment dans la peur de manquer, votre confiance en Dieu est insuffisante. Cette peur viscérale nous conduit à bien d'autres peurs, y compris la peur du handicap, la peur de vieillir, la peur d'investir, ou la peur d'une retraite misérable. 

    Dans sa forme extrême, la peur de manquer vous amène à vivre sous tranquillisants et autres médicaments. Elle est aussi une des causes profondes de la cupidité. Votre volonté de vous assurer contre une éventuelle pénurie peut tourner à l'obsession, et vous faire épargner à l'excès. 

    Vous deviendrez dépendant du travail pour que ni vous ni vos enfants ne manquiez jamais de rien. Comme toutes les peurs, elle se base sur une mauvaise perception de Dieu, en particulier sa capacité et sa volonté à prendre soin de vous. 

    Un conseil pour aujourd’hui

    “L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien”. Arrêtez de vivre comme si vous doutiez des promesses de Dieu ! Commencez par apprendre à les connaître, comprendre les conditions qu’il pose, les respecter, et vous reposer sur son amour et sa fidélité. Mais pour autant, ne restez pas les bras croisés en attendant que Dieu fasse ce qu'il vous a mis en capacité de faire. Faites ce qui est naturel et laissez-le se charger du surnaturel.

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • Croissez dans la connaissance de Dieu. Colossiens 1.10

     

    Le peintre surréaliste belge René Magritte a peint une grosse pomme, aussi suggestive qu’une photo. Pas très créatif, direz-vous ! Mais ce qui donne tout son sens à son œuvre, c’est la légende surprenante : « Ceci n’est pas une pomme ! » Ah bon ? Oui, l’artiste veut exprimer par là que nous ne sommes pas en présence d’un fruit réel, mais de son image ! Vous ne pouvez pas toucher, humer, savourer la pomme de Magritte !

    Parallèles pour la connaissance de Dieu :

    – René Magritte a “croqué” sa pomme avec exactitude. La représentation que nous nous faisons de Dieu doit être aussi juste que possible, selon une source fiable, qui pour moi est la Bible.

    – Même avec les meilleures informations, notre image de Dieu restera limitée. La réalité dépasse de loin la représentation !

    – La pomme peinte par Magritte nous met l’eau à la bouche. J’espère que les évocations de Dieu de ce calendrier, basées sur la Bible, vous donneront envie d’expérimenter sa réalité dans votre vie !

    – Quand je déguste une pomme correspondant au tableau, cela me confirme la justesse de l’information donnée par la peinture : oui, en effet, le peintre a représenté une pomme délicieuse ! Si Dieu est réel dans votre vie, vous constatez, vous aussi, que ce que la Bible a dit de lui est vrai ! N’est-ce pas ?

    Et ce n’est encore rien à côté de ce que vous vivrez dans l’éternité !

    Claude Schneider

    (in La foi : illusion ou bonheur véritable ? )

    __________________

    Lecture proposée : 2ème lettre de Pierre, chapitre 1, versets 1 à 3.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • “Toi, tu domines l’orgueil de la mer ; quand ses flots se soulèvent, toi tu les apaises.” Psaume 89. 9

     

    J’aimerais partager avec vous un souvenir d’enfance qui m’est utile encore aujourd’hui.

    Parfois notre famille passait par une épreuve dont on ne voyait pas l’issue, l’évolution paraissait incertaine et même angoissante ; parfois même la situation allait en s’aggravant ; ma mère disait alors : « Jusqu’ici et pas plus loin ». Elle faisait allusion à ce verset impressionnant du livre de Job, où le Dieu tout-puissant parle à la mer le jour où il crée le monde : “Tu viendras jusqu’ici et tu n’iras pas plus loin, et ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots” (Job 38. 11). Quelle majesté dans ces paroles ! Les puissantes vagues de la mer, dans leur mouvement incessant, sont sous le contrôle de Dieu.

    Dans l’image de la mer, on peut voir la puissance de Satan et des forces du mal, puisque le prophète Ésaïe nous dit : “Les méchants sont comme la mer agitée, qui ne peut se tenir tranquille et dont les eaux jettent dehors la vase et la boue” (Es. 57. 20).

    Il est possible que certaines de nos épreuves aient la même origine que celles de Job. Satan lutte avec Dieu au sujet d’un de ses serviteurs. Mais le livre de Job nous montre d’une façon très rassurante que cette puissance maléfique qui cherche à nous nuire est sous le contrôle de Dieu. Là aussi, c’est comme si Dieu disait à Satan : « Tu viendras jusqu’ici et tu n’iras pas plus loin ». Après le chapitre 2, Satan n’est plus mentionné, mais Dieu s’occupe plus précisément de Job et le bénit richement à la fin.

    Nous avons pu être surpris de l’aggravation de nos détresses, parfois jusqu’à un point extrême. Pourtant ce qui nous apaise, c’est que nous savons que Dieu en garde le contrôle. Et quand la mort intervient ? Tout est encore sous le contrôle de Jésus Christ. Sa seigneurie continue même dans la mort : “En effet, c’est pour ceci que Christ est mort et a repris vie : c’est afin d’être seigneur à la fois sur les morts et sur les vivants” (Rom. 14. 9).

    Seigneur Jésus, dans les épreuves de la vie, donne-moi d’entendre ta voix puissante et souveraine : « Tu viendras jusqu’ici et tu n’iras pas plus loin ».

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Il te suffira d’être courageux et fort et d’observer entièrement la loi que mon serviteur Moïse t’a transmise : ne t’en écarte jamais et ainsi tu réussiras dans tout ce que tu entreprendras. Répète sans cesse les enseignements du livre de la loi et médite-les jour et nuit de façon à observer tout ce qui y est écrit. Alors tu mèneras à bien tes projets et ils réussiront." Josué 1.7-8

     

    La foi vient par l’écoute de la Parole de Dieu. Elle vient également par la médiation de la Parole. Ici, l’écriture ne se réfère pas à la répétition mystique d’un Mantra. Le mot "méditer" signifie "murmurer". En d’autres termes, la méditation c’est le fait de parler ou de dire quelque chose de façon répétée. Lorsque vous proclamez continuellement la Parole de Dieu, vous aurez du succès dans vos entreprises. 

    La foi vient par l’écoute de la Parole de Dieu. 

    La Parole de Dieu n’a jamais été conçue pour être lue silencieusement. La tradition d’imposer le silence au croyant, est née lorsque la Bible a été retirée des lieux publics pour être enfermée dans des monastères pendant près de mille ans. Dieu, merci, aujourd’hui, nous avons pleinement accès à la Parole. A présent, choisissez de la proclamer !

    Une action pour aujourd’hui

    Choisissez un passage de l’écriture sur lequel vous allez méditez aujourd’hui. Proclamez cette parole sur votre vie alors que vous vous préparez à vous rendre au travail, alors que vous êtes en route vers votre bureau, ou que vous prenez soin de votre maison. Philippiens 4.13 est un excellent verset à méditer : "Je peux faire face à toutes les difficultés grâce au Christ qui m'en donne la force". 

     
    Source (La Pensée du Jour)
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