• Dieu dit : J’ai étendu ma main tout le jour vers un peuple rebelle… Ésaïe 65.2

     

    Vous connaissez peut-être ces statues de trois singes dont chacun, de ses mains, se bouche qui son oreille, qui son œil, qui sa bouche ! Ils m’apparaissent comme les symboles de la “religion de la rébellion” :

    – On ne veut pas écouter la Parole de Dieu. Le rebelle n’écoute que lui-même : ni Dieu ni maître

    – On ne veut pas voir que la création est signée par un Créateur ! Le rebelle préfère ne pas y croire.

    – On ne veut pas parler d’une possibilité de Dieu. Le sujet est devenu tabou : « Chut ! l’univers n’a pas d’horloger… » Ah, si le rebelle pouvait prier !

    Car Dieu écoute ! Dieu attend que le rebelle revienne à lui ! Il communique avec nous par la Bible, qui nous révèle Jésus, son Fils.

    Dieu peut faire d’un rebelle un de ses serviteurs ! Sourd aux péchés, aveugle à la vanité de ce monde et muet quand on se moque de lui. Devenons de vrais rebelles, désobéissants à Satan et dévoués à notre Sauveur et Maître ! Tournons le dos au conformisme de la religion de la rébellion et cultivons la vraie « rebelle-attitude » !

    Francis Schneider

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    Lecture proposée : Livre de l’Exode, chapitre 34, versets 5 à 10.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • "Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole du Christ." Romains 10.17

     

    Désirez-vous avoir plus de foi ? La Bible nous dit que la foi peut grandir et augmenter. Notez que le texte de ce jour ne dit pas : "La foi vient quand on a entendu une fois la Parole de Dieu." Non, le verbe est au présent : la foi vient lorsqu’on entend le message.

    De même qu’une semence a besoin d’eau chaque jour pour germer, votre esprit a besoin chaque jour de la Parole de Dieu.

    Nous devons entendre la Parole de Dieu encore et encore, pour qu’elle prenne racine dans nos cœurs et transforme nos pensées. Certes, elle est capable de nous transformer instantanément, mais la plupart du temps, c’est l’exposition répétée à l’Écriture qui fait grandir notre foi.

    De même qu’une semence a besoin d’eau chaque jour pour germer, votre esprit a besoin chaque jour de la Parole de Dieu. Plus vous entendez sa Parole, mieux vous connaissez Dieu. Et mieux vous le connaissez, plus vous serez enclin à le croire. C’est cela, la foi ! 

    Aujourd’hui, pourquoi ne choisiriez-vous pas quelques versets à méditer ? Notez-les sur une feuille que vous garderez dans votre poche ou dans votre sac. Laissez la vérité de la Parole vous transformer et vous faire entrer dans la vie abondante que Dieu a préparée pour vous.

    Une prière pour aujourd’hui

    Père, merci pour ta Parole qui est vivante et efficace et qui grandit dans ma vie. Je me remets à toi aujourd’hui. Enseigne-moi tes voies. Apprends-moi à sonder ta Parole afin de mieux te connaître. Au nom de Jésus. Amen.

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • Celui qui est uni au Christ est une nouvelle créature. 2 Corinthiens 5.17

     

    Qui d’entre nous n’a jamais rêvé de changer le monde ? Refaire le monde… Que de discussions entre copains et copines à la terrasse d’un café, de séminaires d’associations humanitaires, de conseils de ministres, de colloques, de livres, d’éditoriaux de journaux de gauche ou de droite !

    Force-nous est de constater que le monde n’est pas allé en s’améliorant… Pas vraiment. Si j’en doutais, les journaux télévisés des actualités mondiales me convaincraient.

    Nous avons trop d’exemples de sociétés révolutionnaires qui n’ont pas remplacé les malheurs passés par un bonheur présent. Et les lendemains qui chantent sont encore pour après-demain.

    N’y a-t-il donc aucun espoir ?

    Jésus nous indique le seul moyen de changer la société : être changé d’abord nous-mêmes par lui.

    Sa méthode consiste à transformer le monde par le rayonnement personnel de ceux à qui il a donné une vie nouvelle. Paul Tournier a écrit : « Nous voudrions toujours changer les institutions et les autres. L’Esprit (de Dieu) nous ramène toujours à notre changement intérieur… Les hommes commencent à réparer leurs torts, quand nous réparons les nôtres… Nous ne devons pas partir en guerre contre tout ce qui nous indigne autour de nous, mais contre ce qui nous fait honte en nous. »

    Elfriede Eugène

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    Lecture proposée : 2ème lettre aux Corinthiens, chapitre 5, versets 14 à 21.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • ˝Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes˝. ˝Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition˝ Marc 7.8-9

     

    Suite à cette déclaration, Jésus va citer deux exemples de la vie courante, où la tradition abolissait la loi de Dieu. Il mentionne en particulier comment la tradition religieuse avait aboli la règle qui demandait aux enfants adultes d’aider leurs parents âgés. Les pharisiens en étaient arrivés à établir, par tradition, que l’offrande faite pour le temple, dispensait de la règle d’aider les parents âgés.

    Restons attachés aux principes fondamentaux de la Bible et non aux traditions.

    Comprenons-nous bien : faire une offrande à Dieu c'est une bonne chose, Dieu nous demande d’être généreux pour son œuvre. Mais ce principe de l'offrande ne doit pas éliminer le commandement de Dieu concernant la responsabilité que l'on a envers ses parents. La tradition devient opposition à la Parole de Dieu lorsqu’elle s'oppose à un commandement divin immuable : honore ton père et ta mère. 

    Même si une tradition trouve son origine dans la Bible, elle devient un commandement d'homme lorsqu’elle abolit la loi de Dieu. La loi de Dieu établit un principe, dont la valeur est éternelle. La tradition établit une forme, qui souvent évacue le principe initial. 

    Pour leur fonctionnement, les églises ont établi des règles, cependant il ne faut jamais oublier que les règles ne sont pas normatives. Les églises doivent résister à la tendance d'exalter les règles établies par tradition religieuse. Restons attachés aux principes fondamentaux de la Bible et non aux traditions, fussent-elles millénaires.

    Jésus prend un deuxième exemple concernant la nourriture. La loi de Moïse établit clairement que l'homme doit se garder de consommer certains aliments considérés comme impurs. Cette loi rappelle l'importance de prendre soin de son corps, de se garder pur, de préserver sa santé. Les pharisiens ont fait de cette loi à valeur symbolique, une règle capitale. La forme devient plus importante que le fond. Jésus rappelle que ce qui souille en réalité l'être humain, ce n'est pas ce qu'il mange, mais c'est le péché qui agit en lui. Le légaliste attachera beaucoup d'importance à ne pas manger tel ou tel aliment, mais à côté de cela, il sera capable de haïr ou même de tuer son frère. La tradition alimentaire supplante la loi fondamentale du respect de la vie. 

    Jésus a confronté les religieux de son temps, qui étaient souvent plus attachés aux formes traditionnelles qu’à l’esprit des commandements. 


    Une question pour aujourd’hui

    Etes-vous plus attaché à des traditions qu’à l’esprit de la Parole de Dieu?

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • “Jésus déclara [à Marthe] : Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi, ne mourra pas, à jamais. Crois-tu cela ?” Jean 11. 25, 26

     

    Dans l’univers, tout tend vers la mort : les astres meurent, les montagnes s’érodent, les arbres les plus résistants finissent par tomber, sans parler des hommes et des animaux… Seul Dieu est immuable : il est “le Même” selon le nom qu’il se donne (Deut. 32. 39).

    L’homme est fait à l’image de Dieu, selon sa ressemblance. Il a reçu un souffle vital de sa part ; il aurait donc pu faire exception à cette loi du Créateur et bénéficier d’une vie sans fin. Mais, à cause de leur péché, Adam et Ève, chassés du jardin et privés de l’arbre de vie, meurent et transmettent la mort à leur descendance. Toutefois, si le corps des hommes, qui est poussière, “retourne à la terre… l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné” (Ecc. 12. 7). L’âme, la partie immatérielle de leur être, demeure immortelle. Ainsi, la mort d’Adam et d’Ève n’est pas seulement la mort du corps, c’est aussi, symboliquement, pour tout le genre humain, l’interruption de l’heureuse relation que Dieu avait instituée avec eux.

    Mais Jésus est intervenu. Il fait sortir de la mort ceux qui croient en lui pour les faire entrer dans le domaine de la vie éternelle. Dès lors, les croyants la possèdent et elle leur permet de retrouver une relation confiante avec Dieu. C’est une relation différente de celle qu’avait Adam innocent, car ils connaissent Dieu comme leur Père.

    Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que Jésus, par sa mort, a accompli d’une façon parfaite la volonté de son Père ; parce qu’il a vaincu le diable qui avait le pouvoir de la mort (Héb. 2. 14, 15). Dieu va mettre “tous les ennemis sous ses pieds : le dernier ennemi qui sera aboli, c’est la mort” (1 Cor. 15. 25, 26). C’est lui, notre Seigneur Jésus Christ, le Sauveur de notre âme et de notre corps, “qui transformera notre corps d’abaissement en la conformité du corps de sa gloire” (Phil. 3. 21).

    N’oublions pas que les incroyants ressusciteront également, mais pour rencontrer comme un juge inexorable celui qu’ils n’auront pas voulu recevoir comme leur sauveur pendant leur vie ici-bas.

    Source (Plaire au Seigneur)

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