• "Dieu donne une famille à ceux qui sont seuls […]." Psaumes 68:7

     

    Il arrive à tout le monde de se sentir seul ou d'éprouver un besoin d'appartenance. Dieu a voulu que la famille soit en tout temps un lieu d'amour et d'acceptation. Peut-être n'avez-vous pas connu un environnement aimant ou peut-être vivez-vous loin des vôtres. Peut-être ne sont-ils plus là. Quoi qu'il en soit, Dieu désire répondre à votre besoin de famille.

    Dieu promet qu'il ne vous délaissera ni ne vous abandonnera jamais.

    La Bible dit qu'il est un Père pour les orphelins et qu'il donne une famille à ceux qui sont seuls. Dieu veut vous entourer d'un cercle de personnes en qui vous pouvez avoir confiance et qui sauront vous accueillir et vous accepter.

    Si vous êtes en manque de famille aujourd'hui, demandez à Dieu de répondre à ce besoin et de vous donner un sentiment d'appartenance. Ou peut-être êtes-vous celui qui peut ouvrir sa maison et son cœur à quelqu'un qui est seul. Le fait est que Dieu aime la famille. Il l'a créée dans un but précis.

    Jésus dit dans Matthieu 12 que ceux qui font la volonté de Dieu font partie de sa famille. Lorsque vous êtes membre de la famille de Dieu, vous n'êtes jamais seul ! Dieu promet qu'il ne vous délaissera ni ne vous abandonnera jamais. Il veut vous remplir de sa paix et de sa joie afin que vous viviez en vainqueur tous les jours de votre vie !

    Une prière pour aujourd'hui

    Père céleste, merci de m'avoir montré pourquoi tu as créé la famille. Merci de ce que tu m'accueilles et m'acceptes toujours. Montre-moi comment je peux aller vers les autres et être un exemple de famille pour quelqu'un. Au nom de Jésus. Amen. 

     
    Source (La Pensée du Jour)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “L’Éternel a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite jusqu’à ce que je mette tes ennemis pour le marchepied de tes pieds.”  Psaume 110. 1

     

    Le premier verset du psaume 110 cité aujourd’hui est rappelé à cinq reprises dans le N.T., dont trois fois par le Seigneur Jésus lui-même qui en expose la signification prophétique le concernant (Matt. 22. 44 ; Marc 12. 36 ; Luc 20.43 ; Act. 2. 35 ; Héb. 1. 13). Mais, dans sa version originale, dès le premier mot de ce psaume, Dieu apparaît sans aucun préambule pour y exprimer sa volonté. Par la plume inspirée de David, il inflige ainsi un démenti sans appel à ceux qui, dans le psaume précédent ont parlé contre son Fils “avec une langue menteuse”, lui ont fait “la guerre sans cause” et lui ont “rendu le mal pour le bien, et la haine pour son amour” (Ps. 109. 2-5). Des hommes ont osé le narguer, disant du Seigneur : “Il s’est confié en Dieu, qu’il le délivre maintenant s’il tient à lui” (Matt. 27. 42) ; Dieu leur répond par un acte destiné à exalter son Fils. Car c’est bien la suprême exaltation que d’être invité à s’asseoir à la droite de Dieu.
    Les versets du psaume 109, commentés hier, dévoilent l’intensité des douleurs du Seigneur durant son ministère jusqu’à la croix. Cependant, ils sont aussitôt suivis dans le psaume 110 par la révélation de la glorieuse exaltation dont nous nous occupons aujourd’hui, parce que déjà “l’Esprit de Christ qui était” dans le psalmiste, rendait “par avance témoignage des souffrances qui devaient être la part de Christ et des gloires qui suivraient” (1 Pi. 1. 11).
    À Golgotha, Dieu a dû livrer le “bien-aimé de son âme en la main de ses ennemis” (Jér. 12. 7), mais, sa justice étant entièrement et définitivement satisfaite, Dieu aussitôt glorifie son Fils. Il le fait avec l’éclat que mérite une telle exaltation et jusqu’à ce qu’il ait mis “ses ennemis pour le marchepied de ses pieds”, selon le symbole d’un asservissement absolu précédant la mort (Jos. 10. 24).
    Christ glorifié et exalté, siégeant à la droite de Dieu, c’est à la fois le garant du salut de tout chrétien ; c’est l’encouragement de sa foi, c’est un thème de son adoration et c’est la force de son espérance (Eph. 1. 20 ; Héb. 12. 2 ; Col. 3. 1-4). Sachons Le voir là où Dieu l’a exalté.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "C’est bien bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup… " Matthieu 25.21

     

    La fidélité commence dans de simples choses : "tu as été fidèle en peu de chose". Garder ses engagements, tenir ses promesses, être aux rendez-vous, payer ses factures… Voilà bien des domaines où nous pouvons démontrer que nous sommes porteurs de ce fruit délicieux : la fidélité.

    Nous savons que ce qui sera récompensé par notre Maître, ce ne sont pas les succès, les exploits, les miracles… mais la fidélité.

    Comme tout fruit de l'Esprit, la fidélité se cultive et s'entretient. Ce caractère se développe en nous, par le secours du Saint-Esprit, pour nous conduire jusqu'aux portes du royaume éternel : "Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de la vie" Apocalypse 2.10. Ceux qui participeront à cette élection finale, sont ceux qui sont attachés au Seigneur ; ils sont appelés les "fidèles" Apocalypse 17.14.

    Il y a de cela quelques années, un journaliste rapporta la scène, que lui racontèrent quelques témoins, d'un fait divers qui eut lieu à Paris. Ces personnes virent un jeune homme monter dans une petite embarcation avec son chien, et il amena son bateau jusqu'au milieu de la Seine. Arrivé à cet endroit, il prit son chien, et le lança dans l'eau. La pauvre bête cherchait à remonter dans le bateau mais le jeune homme l'en empêchait à coup de rames. Dans son acharnement à repousser violemment le chien, le garçon perdit l'équilibre, et tomba à l'eau en retournant l'embarcation. Il était sur le point de se noyer lui-même lorsque son chien, le prenant par sa veste avec ses dents, le tira jusqu'à la rive où les spectateurs de ce drame lui portèrent secours. Il fut sauvé par son chien alors qu'il cherchait à le noyer !

    La fidélité de certains chiens est légendaire. Ils seraient prêts à donner leur vie pour leur maître. Si un animal peut agir de cette manière par instinct, à combien plus forte raison, les chrétiens qui ont reçu les plus précieuses grâces de la part du Seigneur, et ont goûté au don céleste, devraient servir leur maître avec une fidélité sans faille. Nous savons, comme le rappelle le verset de ce jour, que ce qui sera récompensé par notre Maître, ce ne sont pas les succès, les exploits, les miracles… mais la fidélité.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, alors que les épreuves de la vie, et les propos blessants de certains, pourraient me décourager, et me pousser à t'abandonner, tu déverses en moi ce précieux fruit de la fidélité. Merci pour cette mesure de fidélité surnaturelle que tu m'accordes par ton Esprit, afin que rien ne vienne me détacher de toi. Amen !

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Bonne lecture et bonne écoute sur CJQS-radio à cette adresse : http://cjqsradio.blogspot.be/p/radio.html

    “Alors de ma bouche je célébrerai hautement l’Éternel, et je le louerai au milieu de la multitude, car il s’est tenu à la droite du pauvre, pour le sauver de ceux qui jugeaient son âme.” Psaume 109. 30, 31

     

    Le psaume cité aujourd’hui, comme de nombreux autres, révèle les sentiments que David a éprouvés au cours de l’impitoyable persécution dont Saül l’a poursuivi jusqu’à sa mort tragique. Or, très souvent, ces psaumes sont également des prophéties annonçant, entre autres, la contradiction, le mépris et la haine dont le Seigneur a été victime de la part spécialement des pharisiens, des sadducéens et des hérodiens. Il est bien évident toutefois que les appels à la vengeance de David contre ses persécuteurs ne peuvent être attribués au Seigneur. Au contraire, sa première parole sur la croix fut pour intercéder en faveur de ses accusateurs : “Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font” (Luc 23. 34).
    En lisant les versets 2 à 5 puis 21 à 25 de ce psaume 109, on mesure à quel point le Seigneur a ressenti l’aversion de son peuple contre lui (c'est-à-dire contre Dieu) comme étant l’origine de chacun des outrages dont il était l’objet, en dépit de sa patience, sa bienveillance, sa miséricorde, sa grâce, sa compassion. “Pour mon amour, ils ont été mes adversaires… ils m’ont rendu le mal pour le bien, et la haine pour mon amour” (v. 4, 5), ces expressions traduisent l’amère et profonde tristesse du bien-aimé de Dieu.
    Dans ces circonstances, sur qui le Seigneur a-t-il pu s’appuyer ? Le verset 31 fournit la réponse : “L’Éternel… s’est tenu à la droite du pauvre”, et il en donne la raison : “pour le sauver de ceux qui jugeaient son âme”. Aussi est-ce dans la jouissance absolue de cette délivrance qu’il peut célébrer et louer Dieu parmi les siens.
    Il y a également dans ce psaume un encouragement pour tous les enfants de Dieu qui aujourd’hui, dans de nombreux endroits, sont l’objet des mêmes sentiments de haine que le Seigneur a expérimentés. Celui qui a inspiré les ennemis de Jésus Christ est le même qui aujourd’hui exacerbe la violence contre ceux qui rendent témoignage à leur Sauveur. Mais, comme alors, Dieu se tient à leur droite, ce lieu de sécurité sur lequel ils peuvent s’appuyer : “Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?.. rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur” (Rom. 8. 31-39).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Judas donc, ayant pris la cohorte, et des huissiers qu’envoyèrent les principaux sacrificateurs et les pharisiens, vint là avec des lanternes, des flambeaux et des armes […] Simon Pierre […] frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui coupa l’oreille droite […] Jésus dit à Pierre : Remets ton épée dans le fourreau. Ne boirai-je pas la coupe que le Père m’a donnée à boire ?" Jean 18.3-11

     

    En pleine nuit, des soldats se postèrent autour de Jésus et de ses disciples, qui se tenaient dans un lieu à l'écart. Seule la lueur des lanternes et des flambeaux perçait l'obscurité. Tout le monde savait que ce moment risquait un jour d'arriver, et que les adversaires de Jésus emploieraient la force contre lui et ses disciples. À présent, les menaces étaient devenues réalité.

    À quelles crises êtes-vous confronté ? Assurez-vous d'y être préparé !

    Pierre eut une réaction très humaine : il frappa violemment un des hommes. Mais Jésus se comporta différemment. Il ne céda pas aux menaces ni à l'émotion. Il demeura calme. Si calme qu'il prit même le temps d'enseigner des vérités importantes à Pierre !

    Il voulait que ses disciples parviennent à jeter un regard différent sur les événements. Il désirait leur montrer que la volonté de Dieu occupait la première place dans sa vie. Que dans toute situation, il était plus important pour lui de plaire à Dieu que d'accomplir ses propres désirs.

    Jésus a pu faire face à cette crise avec calme, parce qu'il était préparé. Il savait qu'on le trahirait et que le Père l'avait appelé à mourir. Mais il n'avait pas peur ! Il avait passé du temps dans la prière et il était fort dans l'Esprit.

    À quelles crises êtes-vous confronté ? Assurez-vous d'y être préparé ! Remplissez votre esprit et votre cœur de la Parole de Dieu. Passez du temps dans la prière. Soyez rempli de l'Esprit et laissez-le vous équiper et vous aider à contrôler vos émotions. Soumettez votre volonté à Dieu. Faites-lui confiance. Et essayez de transformer les crises que vous traversez en autant d'occasions de témoigner pour Dieu.

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, aide-moi à être fort dans l'Esprit et à me tenir prêt pour affronter les événements de la vie. Je te fais confiance pour diriger ma vie. Utilise-moi pour ton royaume. Au nom de Jésus. Amen.

     
    Source (La Pensée du Jour)
    Partager via Gmail

    votre commentaire