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    “Il est le chef du corps, de l’assemblée…, afin qu’en tout il tienne, lui, la première place.” Colossiens 1. 18

     

    La prééminence absolue du Fils de Dieu sur tout, avant la création du monde et jusque dans l’éternité, est établie dans le 1er chapitre de l’épître aux Colossiens (lire les versets 15 à 20). Tout comme Jésus a fait « brûler le cœur » des disciples d’Emmaüs quand il se révélait à eux par les Écritures (Luc 24, 27, 32), ces textes qui proclament ses gloires font aussi brûler nos cœurs. Ils dévoilent la place immense que le Fils de Dieu occupe dans les pensées de Dieu le Père et dans son plan de réconciliation.
    Ce texte ne se limite pas à énumérer les raisons de la supériorité souveraine du Fils de Dieu ; il en révèle le but : “afin qu’en tout il tienne, lui, la première place”. Ce premier chapitre de l’épître aux Colossiens montre ainsi que la suprématie du Fils de Dieu est liée aux événements qui ont précédé la création ; à ceux qui se rapportent à celle-ci ; et aussi à la “nouvelle création”, celle des hommes qu’il a rachetés, ressuscités en lui et constitués en un corps. En vertu de ce que le Fils de Dieu est dans sa relation éternelle avec Dieu et de ce qu’il a accompli, il est établi au-dessus de tout, pour toujours.
    Cette position actuelle de Christ est un immense sujet de joie pour le chrétien. C’est aussi un encouragement pour sa foi et un motif d’adoration. Mais aussi, Jésus doit avoir la première place aujourd’hui dans l’Église dont il est le chef. En effet, Dieu a décrété qu’il serait le premier en tout.
    Quand nous nous réunissons entre rachetés pour adorer, nous évoquons son œuvre dans la création, puis celle pour notre salut. Sa naissance à Bethléhem, son ministère de grâce, sa mort et sa résurrection sont l’objet de nos pensées. L’humiliation de la crèche et la honte de la croix rehaussent la gloire de son amour. En lui tout est beauté, tout est perfection ; telle est la substance de notre adoration. Jésus, alors, a “la première place”. C’est notre joie de la lui reconnaître et de la lui laisser dans nos vies.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "La chair du sacrifice de reconnaissance et d'actions de grâces sera mangée le jour où il est offert ; on n'en laissera rien jusqu'au matin." Lévitique 7.15

     

    Dieu avait dit aux enfants d'Israël que leur sacrifice de reconnaissance et d'actions de grâces ne pouvait pas subsister jusqu'au lendemain. La pratique devait en être quotidienne. Il voulait leur enseigner – ainsi qu'à nous – ce principe : c'est chaque jour que nous devons être reconnaissants. Lorsque nous ne sommes plus reconnaissants, nous commençons à prendre les bénédictions de Dieu, et Dieu lui-même, comme un dû.

    Souvenez-vous des occasions où Dieu a répondu à vos prières...

    Dieu connaît ce trait de la nature humaine. Il sait que nous sommes prompts à oublier. Ce qui était nouveau et passionnant vieillit très vite, et perd de son intérêt. Une nouvelle voiture peut nous trouver enthousiastes pour un temps, mais très vite nous pouvons être tentés par les modèles plus récents. Un style nouveau peut nous séduire aujourd'hui, mais perdre son attrait demain. Des livres très attendus sortent, mais sont rapidement oubliés.

    Il nous arrive même d'oublier les occasions où Dieu a répondu à nos prières et pourvu à nos besoins de manière miraculeuse. Lorsque nous sommes devant des difficultés et des problèmes, nous pouvons honnêtement rechercher Dieu, et cependant nous laisser aller ensuite à l’autosatisfaction.

    Il a répondu à nos prières, il a satisfait nos besoins. Nous pouvons nous sentir très proches de lui lorsque nous sommes sur un sommet spirituel. Cependant, nous pouvons très vite oublier ces moments glorieux. Nous sommes très facilement pris dans notre routine quotidienne et nous oublions Dieu. Notre amour pour lui se refroidit et nous estimons ses interventions comme un dû.

    Que cela ne vous arrive pas ! Arrêtez-vous pour penser à tout ce qu'il a fait pour vous. Souvenez-vous des occasions où il a répondu à vos prières, où il vous a guidé et a comblé vos besoins. Offrez maintenant un sacrifice de reconnaissance. Louez-le. Adorez-le. Remerciez-le. Soyez précis. Et n'oubliez pas de cultiver une attitude de reconnaissance.

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi ! Merci d'avoir envoyé Jésus mourir pour moi. Merci de pardonner mes péchés et de combler mes besoins. Je t'adore ! Au nom de Jésus. Amen. 

     
    Source (La Pensée du Jour)
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    “L’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux seront une seule chair.” Genèse 2. 24

     

    Ce verset est énoncé trois fois dans la Bible :
    – par Dieu à l’aurore de l’humanité (Gen. 2. 24),
    – par Jésus Christ, homme sur la terre (Matt. 19. 5),
    – par Paul, apôtre de Jésus Christ (Eph. 5. 31).
    Il est comme la charte du mariage.
    Il se décompose en trois parties distinctes, mais liées dans un ordre très précis :
    L’homme quittera son père et sa mère
    Le jeune homme et la jeune fille ont reçu la vie et ont grandi dans le foyer de leurs parents. Ils ont été entourés de beaucoup de soins dans leur enfance. Ensuite, ils ont été les témoins les plus proches de la vie de couple de leurs parents. Si ces derniers étaient chrétiens, ils ont vu leur piété aux jours de joie et aux jours d’épreuve, leurs faiblesses aussi. Là, ils ont été aimés et ont appris beaucoup de choses sur la vie, plus même qu’ils n’en ont conscience. Mais aujourd’hui, ils fondent leur propre cellule familiale ; ils quittent celle de leurs parents. Ils leur témoigneront de l’affection, de l’estime et de la reconnaissance, mais ils auront un foyer distinct.
    Il s’attachera à sa femme
    Si le fait de quitter est plutôt négatif, la raison en est profondément positive : “il s’attachera à sa femme”. Le mot s’attacher dans la langue hébraïque a le sens d’alliance, de contrat. Il ne s’agit donc nullement de quelque expérience passagère qui pourrait être suivie d’une autre, mais d’un engagement ferme, stable, mutuellement et volontairement consenti, fondé sur l’amour réciproque.
    Ils seront une seule chair
    La citation que Paul fait de cette expression en 1 Corinthiens 6. 16, montre clairement que cette troisième déclaration est l’énoncé pudique de la dimension sexuelle du mariage. Dieu l’a voulu ainsi. Aucune autre relation ne comporte cette dimension-là ; seul le mariage l’inclut et l’honore. On ne peut dénaturer ce que Dieu a établi sans en subir des conséquences douloureuses à plus ou moins long terme.
    Nous ferons bien d’écouter notre Créateur qui a voulu le meilleur pour nous. “Que le mariage soit tenu en honneur à tous égards” (Héb. 13. 4).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • “Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel jusqu'à la fin de mes jours.” Psaumes 23.6

     

    Ce verset bien connu nous parle de bonheur et de grâce !

    Le bonheur, c'est ce que Jésus désire vraiment pour vous : il veut vous bénir, vous combler, vous réjouir, vous faire réussir…

    Votre corps est le temple du Saint-Esprit, qui habite en vous.

    La grâce, c'est ce que Jésus désire faire par vous : vous aider à faire grâce, à pardonner, à communiquer sa vie et sa paix…

    Dans la première prédication publique de Jésus, on retrouve ces deux aspects (Matthieu 5.2-12) :

    • Le bonheur : "Heureux ceux qui pleurent car Dieu les consolera."
    • La grâce : "Heureux ceux qui créent la paix autour d'eux car Dieu les appellera ses fils."

    Oui, le bonheur et la grâce vous accompagneront tous les jours de votre vie ! Et où cela se produira-t-il ? Dans la maison de Dieu ! David aimait être dans la maison de Dieu. Il aimait la présence du Seigneur.

    Aujourd'hui, il n'est pas nécessaire de se rendre dans un lieu saint pour accéder à la présence de Dieu. Le sacrifice de Jésus sur la croix nous a donné accès à sa présence, et ce, en permanence et en tout lieu.

    Vous êtes la maison de Dieu. Votre corps est le temple du Saint-Esprit, qui habite en vous. Chérissez cette présence comme David, jusqu'à la fin de vos jours et jusque dans l'éternité.

    Une prière pour aujourd'hui

    Merci mon Dieu pour le bonheur et la grâce que je trouve dans ta présence. Je te suis éternellement reconnaissant pour qui tu es et ce que tu fais pour moi. Je t'aime ! Oui je crois que le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les jours de ma vie. Amen.

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “La bouche du juste est une fontaine de vie.” Proverbes 10. 17

     

    Le prophète Nathan apparaît en 2 Samuel 7. Il devient un prophète de grande stature spirituelle sous les règnes de David et Salomon.
    Une parole prophétique
    David parle à Nathan de son désir de construire un temple pour abriter l’arche de l’Éternel. Nathan acquiesce immédiatement : “Va, fais tout ce qui est dans ton cœur, car l’Éternel est avec toi” (2 Sam. 7. 3). La demande de David et la réponse de Nathan sont sincères, mais Dieu n’accepte ni l’une ni l’autre. Nathan va le découvrir dans une vision la même nuit : ce n’est pas David qui va bâtir un temple à l’Éternel, mais Dieu qui va bâtir une maison à David, c’est-à-dire fonder pour lui une dynastie royale permanente. Et ce n’est pas à David mais à l’un de ses descendants, Salomon, qu’il reviendra de bâtir la maison à l’Éternel.
    Nathan, véritable prophète revêtu de l’autorité de Dieu, communique fidèlement les paroles de Dieu. Bien que ce message soit contraire à son noble désir, David s’incline en reconnaissant la grâce de Dieu. Que Dieu suscite de tels hommes au milieu de son peuple aujourd’hui !
    Une parole terrible et courageuse
    La deuxième fois que Nathan intervient, la scène est bien différente (2 Sam. 12). David a péché en prenant la femme d’Urie et en faisant périr ce dernier. Dieu charge Nathan d’aller vers David pour lui dire cette fois une parole terrible. Conscient de la grandeur et de la sainteté de Dieu, il lui dit : “Pourquoi as-tu méprisé la parole de l’Éternel, en faisant ce qui est mauvais à ses yeux ? Tu as frappé avec l’épée Urie, le Héthien ; et sa femme, tu l’as prise pour en faire ta femme, et lui, tu l’as tué par l’épée des fils d’Ammon” (v. 9). Ces paroles courageuses, claires et terribles, mais fidèles, transpercent la conscience endurcie de David : il reconnaît son péché.
    Une parole de pardon
    David se repent, aussi Nathan peut-il transmettre maintenant une parole de pardon : “L’Éternel a fait passer ton péché, tu ne mourras pas” (2 Sam. 12. 13).
    Y aura-t-il encore aujourd’hui des Nathan pour transmettre fidèlement les pensées de Dieu ? Des hommes courageux et conscients de la sainteté de Dieu pour dire à notre génération son péché, mais aussi pour proclamer la grâce du Dieu qui pardonne les fautes confessées ?
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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