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    “J’en viendrai à des visions et à des révélations du Seigneur.” 2 Corinthiens 12. 1

     

    À sept reprises, le Nouveau Testament évoque des visions que Paul a eues de la part du Seigneur. Comment réagissons-nous devant ces textes ? En étant frustrés de ne pas en avoir eus nous aussi ? En nous dévalorisant face à des chrétiens qui affirment en recevoir ? En demandant frénétiquement d’en avoir aussi ? En cherchant à interpréter nos rêves dans ce sens ?
    Peut-être, dans sa souveraineté et sa sagesse, le Seigneur ne nous donnera-t-il jamais de vision directe ; pour autant, cela ne veut pas dire qu’il ne nous aime pas ! Mais si ces visions sont restées consignées dans le texte inspiré, c’est sans doute avant tout pour qu’elles nous encouragent, comme elles ont encouragé Paul autrefois : son Seigneur est le même que le nôtre, hier comme aujourd’hui !
    – Paul a eu sa première vision sur le chemin de Damas quand Jésus lui est apparu, étincelant de lumière (Act. 9. 3-6). Même si notre conversion n’a peut-être pas été aussi spectaculaire, c’est à partir de ce moment que le Seigneur a commencé à se révéler à nous.
    – Perplexe après plusieurs portes fermées, Paul reçoit à Troas une vision l’incitant à passer en Macédoine (Act. 16. 7-10). Quand nous sommes face à nos perplexités pour trouver la direction de Dieu dans notre vie et notre service, le même Seigneur veut nous guider et il n'est pas à court de moyens pour le faire.
    – Paul est à Corinthe dans un contexte difficile. Aussi le Seigneur l’encourage par une vision nocturne, l’assurant de sa présence donc de sa bénédiction (Act. 18. 9-11). “Ne crains pas”, “je suis avec toi” — ces deux phrases sont si souvent répétées dans l’Écriture et à des personnes si variées que nous pouvons chacun les prendre pour soi !
    – À Jérusalem, devant le sanhédrin, Paul n’a pas été vraiment à la hauteur (Act. 23. 11). Pourtant, encore une fois, le Seigneur lui répète en vision nocturne, sans un reproche : “Aie bon courage”. Même si parfois nous sentons le poids de nos manquements, nous ne sommes pas disqualifiés et nous pouvons continuer notre service !
    – Enfin, sur le bateau vers Rome, au milieu de la tempête, un nouveau “Ne crains pas” vient raffermir la foi de l’apôtre (Act. 27. 22-25). Les visions d'un autre peuvent renouveler notre confiance en Dieu, quelles que soient nos circonstances !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "Délivre-le, afin qu’il ne descende pas dans la fosse, j’ai trouvé une rançon !" 
Job 33.24

     

    Joe n'était visiblement pas à l'aise dans le bureau londonien où il travaillait. Un jour, un collègue lui avait demandé à voix basse :
    — Joe, prête-moi cinq livres sterling.
    — Je ne peux pas, c'est tout ce qu'il me reste !
    — C'est bon, ricana l'autre, je connais ton secret !
    — Quel secret ?
    — Tu es un déserteur de l'armée ! 
    Joe sortit son portefeuille et, sans rien dire, donna la somme demandée. Depuis ce jour, il vivait dans l'angoisse et l'autre ne cessait de le harceler par des demandes d'argent et des menaces de dénonciation.

    "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature."

    Or, voici qu'un jour, dans un bureau de poste, Joe lut une proclamation de la reine. A l'occasion du jubilé de son règne, elle accordait une amnistie à tous les déserteurs qui se feraient connaître avant une date fixée. Dès le lendemain, Joe s'empressa d'avouer sa faute au magistrat qui lui remit un acte de pardon.

    Lorsque, quelques jours plus tard, son collègue recommença son chantage, Joe lui montra l'édit de grâce dont il avait bénéficié.

    Nous aussi, nous étions coupables, non devant une reine, mais devant Dieu. Nous avons tous péché et la conséquence du péché, c'est d'être éloigné de Dieu pour toujours. Mais Christ a expié les péchés de tous ceux qui croient en lui. Par lui, nous obtenons le pardon.

    "Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait : maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit." Apocalypse 12.10

    "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles". 2 Corinthiens 5.17

    Une prière pour aujourd'hui

    Merci Seigneur, de m'avoir pardonné et délivré de toute condamnation. Je veux vivre dans ta liberté, car ton sang versé a tout payé pour moi ! Je veux vivre une nouvelle vie avec toi !

     
    Source (La Pensée du Jour)
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    “En toutes choses rendez grâces, car telle est la volonté de Dieu.” 1 Thessaloniciens 5. 18

     

    En toutes choses rendez grâces
    Mais comment le faire quand l’église locale accumule tant d’imperfections ?
    Paul le fait pourtant en commençant sa lettre aux Corinthiens (1 Cor. 1. 4), en rappelant toute la générosité et toute la richesse exprimée pour eux en Jésus Christ.
    Il le fait pour la proclamation de Christ au milieu d’eux, les différents dons reçus de Lui, et pour l’espérance qui les amènera irréprochables devant Dieu.
    Notre église locale est loin d’être parfaite. Rendons grâces tout de même comme Paul avec les mêmes motifs.
     
    En toutes choses rendez grâces
    Mais comment « rendre grâces » quand on est dans l’affliction, qu'on est privé de liberté ?
    En commençant sa lettre aux Philippiens (Phil. 1. 3), Paul le dit avec joie en se souvenant de ses frères et sœurs dans ses prières, en pensant à la part qu’ils ont pris à la propagation de l’Évangile, et cela dès le début !
    Sommes-nous aussi dans quelque « affliction » (4. 14) ou dans des circonstances qui nous enlèvent une part de nos libertés ? Rendons grâces comme Paul pour les frères et sœurs qui travaillent aussi au service du même Maître, qui pensent à nous avec affection (4. 10) et qui peuvent parfois matérialiser cet amour par une visite, un mail, un don… (4. 16).
     
    En toutes choses rendez grâces
    Mais comment le faire quand on se trouve dans une prison, au froid, avec devant soi, la perspective du martyre ?
    Paul le fait pourtant, en écrivant à Timothée (2 Tim. 1. 4), se souvenant avec une sollicitude affectueuse et incessante de son enfant bien-aimé, de sa grande sensibilité et de sa foi sincère.
    Sommes-nous, comme Paul, au bout de notre « course » (4. 7) ? Soyons reconnaissants envers Dieu pour les plus jeunes qui sont engagés pour le Seigneur et qui, comme Timothée, devront « prendre le relais » (1. 3).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance." Jérémie 29.11

     

    Aujourd'hui, je vous propose de vous arrêter avec moi sur le verbe “former”. Dieu est vraiment celui qui nous a formés. Il a formé Adam à partir de la poussière de la terre et il a mis en lui le souffle de vie. (Genèse 2.7) Ensuite il a formé Eve à partir d'une côte d'Adam. (Genèse 2.21)

    Mais au delà de l'être humain, Dieu est également celui qui vous a formé, vous. La Bible dit dans Psaumes 139.13­-16 : "C'est toi qui as formé mes reins, qui m'as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien. Mon corps n'était point caché devant toi, lorsque j'ai été fait dans un lieu secret, tissé dans les profondeurs de la terre. Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient ; Et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m'étaient destinés, avant qu'aucun d'eux existât."

    Dieu vous a formé dans le ventre de votre mère. Votre vie était déjà précieuse pour lui alors que vous n'étiez qu'une masse informe. Vous êtes une créature extraordinaire et merveilleuse. Souvent, nous nous voyons au travers de nos défauts, de nos erreurs ou de notre passé douloureux. Et nous en tirons la conclusion que Dieu nous voit avec tous nos manquements.

    Mais celui qui vous a formé, celui dont les yeux sont sur vous avant même votre naissance, vous voit comme son magnifique enfant. Vous êtes unique, votre destinée est unique.

    Parce qu'il vous a formé, Dieu connaît les projets qu'il a formés sur vous. Dans SON livre, il y a VOTRE histoire et elle y tient la place la plus importante. Vous comptez beaucoup pour lui. Il veut faire avec votre vie ce qu'il ne peut faire avec personne d'autre.

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, merci parce que tu m'as formé(e) de façon merveilleuse, et parce que tu as formé une destinée merveilleuse pour moi. Je choisis d'y rentrer pleinement et de te faire confiance.

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Jacques et Jean… viennent à [Jésus] et lui disent : Maître, nous voudrions que tu fasses pour nous tout ce que nous te demanderons… Accorde-nous d’être assis, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. Mais Jésus leur dit : Vous ne savez pas ce que vous demandez.” Marc 10. 35, 37, 38

     

    Jésus vient d’annoncer une nouvelle fois à ses disciples ce qui devait lui arriver à Jérusalem. Jacques et Jean n’ont rien saisi de son message concernant sa passion ; ils rêvent des deux places les plus en vue dans le royaume à venir. Leur souci d’être près de Christ était noble, mais ils persistaient à fermer les yeux sur les temps difficiles que le Seigneur leur annonçait pour ne les ouvrir que sur la promesse de la gloire. C’est pourquoi le Seigneur les reprend fermement : “Vous ne savez pas ce que vous demandez”.
    Les paroles de Jacques et Jean provoquent la jalousie des autres disciples, car ils sont animés du même esprit. Ils s’indignent contre eux (Marc 10. 41). Leur demande irréfléchie et l’indignation des autres disciples donnent l’occasion à Jésus de leur enseigner une leçon sur la vraie grandeur.
    Dans le monde, la grandeur est souvent associée à la domination : les hommes qui ont une autorité exercent le pouvoir en dominant sur les peuples et en les mettant à leur service (v. 42). Dans le royaume de Dieu, on utilise l’autorité d’une tout autre manière. La grandeur et l’autorité sont liées au service : “Celui qui voudra devenir grand parmi vous sera votre serviteur, et celui d’entre vous qui voudra devenir le premier sera l’esclave de tous” (Marc 10. 43, 44). Le Seigneur ajoute : “Car, aussi, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre” (v. 45).
    Des années plus tard, l’apôtre Jean découvre dans une vision celui qui, seul, peut ouvrir le livre des jugements qui doivent s’abattre sur la terre, pour permettre l’établissement de son royaume. Le Seigneur détient l’autorité, mais il ne porte aucune marque extérieure de puissance. Au contraire, il porte celles de son sacrifice : “Je vis, au milieu du trône… un agneau qui se tenait là, comme immolé” (Apoc. 5. 6).
    Jean comprend alors qu’à cause de son abaissement pour servir, le Seigneur peut exercer l’autorité dans son royaume (Phil. 2. 5-11). Imitons le Seigneur qui a été au milieu de ses disciples comme celui qui sert (Luc 22. 27).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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