• Jeudi 16 Décembre 2021

    Faire envie !

    Ézéchiel 36.20 – Or, dans toutes les nations où ils sont allés, le nom que je porte a été déshonoré par leur faute...

    Nous ne savons pas pour vous, mais nous sommes désolés de la montée constante de l’apostasie qui se manifeste par le rejet de Dieu, du Seigneur Jésus et de la foi dans notre société. Nous pourrions incriminer la méchanceté grandissante des êtres humains mais n’y a-t-il pas un élément de réponse dans notre verset ?

    L’Église du 21ème siècle est tellement entachée de scandales financiers ou sexuels, d’une image de désunion, se querellant sur la place publique des réseaux sociaux, elle-même démontrant qu’elle n’a aucune « crainte » de Dieu...

    Nous pensons peut-être que nous n’y pouvons rien ! Certes, mais à notre niveau, ne pouvons-nous pas montrer l’image d’un christianisme vivant en étant un enfant de Dieu qui honore le Nom de son Seigneur. Nous ne parlons pas ici seulement de la louange du dimanche matin, mais d’une attitude de vie quotidienne qui se soucie de la réputation de Dieu sachant que Celui-ci sera « jugé » à travers nos comportements.

    Quand nous témoignons, nous sommes très souvent confrontés à ce genre de réflexion : « Je serais prêt à croire mais l’attitude des chrétiens me dégoûte » !

    Alors, comment changer les choses à notre niveau ? Il n’existe qu’un seul chemin, c’est celui de l’amour. D’ailleurs sans cette qualité nous ne sommes qu’une cymbale creuse (1 Corinthiens 13.1). Dieu est amour (1 Jean 4.8) et Il ne peut que grandir en nous si nous recherchons ardemment à manifester ce fruit. Plus le Seigneur grandira en nous, plus Jésus sera vu par ceux qui nous entourent ! Et peut-être que certains diront comme on nous l’a déjà dit : « Cela fait envie ! ».

    Bonne réflexion.

    Source (Ézéchiel 37 Ministères)

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  • Mercredi 15 Décembre 2021

    Un seul suffit !

    Genèse 18.26 – Et l’Éternel dit : « Si je trouve dans Sodome cinquante justes au milieu de la ville, je pardonnerai à toute la ville, à cause d’eux ».

    Nous n’imaginons pas ce que la présence d’un enfant de Dieu dans une ville peut avoir comme conséquence positive. L’Éternel Dieu était disposé à pardonner toute la ville de Sodome, une ville si méchante et dépravée, s’Il y trouvait 50 justes. Nous savons qu’Abraham avait réduit ce nombre à dix. Il se réduit encore à un seul si nous lisons Ézéchiel 22.30 : « Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point ».

    Nous sommes convaincus qu’il y a une forte interaction entre l’enfant de Dieu et sa ville. Le bonheur de celui-ci dépend de la ville où il est (Jérémie 29.7) mais aussi le sort de la ville dépend de l’attitude de l’enfant de Dieu. Quand Lot a fui Sodome, il a demandé à se réfugier dans Tsoar et celle-ci a été épargnée de la destruction (Genèse 19.21).

    Si nous prenons conscience de ces réalités, nous ne pouvons pas rester indifférents. Si nous désirons que l’atmosphère de notre localité change, il nous faut nous tenir sur la brèche pour elle. C’est quoi « se tenir sur la brèche » ? C’est intercéder pour ses habitants, pour ses autorités politiques et ecclésiales ! C’est s’humilier, à l’instar de Daniel, pour ses mauvais choix ! C’est appeler la faveur de Dieu sur elle jusqu’à ce qu’il se crée une percée !

    Mes bien-aimés, nous devons nous laisser envahir par l’amour et la compassion du Seigneur pour notre ville. Peut-être qu’elle ne nous plaît pas, peut-être que ses habitants nous exaspèrent, mais si nous sommes à cet endroit précis, c’est pour son salut. Que le Seigneur nous donne de saisir cette autorité et de bouleverser l’endroit où nous nous trouvons.

    Bonne réflexion.

    Source (Ézéchiel 37 Ministères)

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  • Mardi 14 Décembre 2021

    Un monde de fous !

    Genèse 8.21 (BDS) – ... puisque le cœur de l’homme est porté au mal dès son enfance...

    L’humanisme commet une grave erreur en déclarant que l’homme est bon par nature. Héritier du péché originel, l’être humain a une propension à se tourner vers le mal. Difficile à envisager ce fait devant les « bouilles » angéliques de nos petites têtes blondes. Pourtant, si nous nions cette vérité biblique, nous nous exposons à des temps de tristesse et de désarroi car la seule solution qui existe, c’est leur éducation.

    En tant que parents, nous ne pouvons pas laisser cette éducation à d’autres. « L’école » d’aujourd’hui, particulièrement en France, les poussera encore davantage dans cette voie du mal. L’école du dimanche, même si c’est une très bonne chose, n’est pas suffisante pour apporter cette éducation même si elle est complémentaire. L’apport de cette éducation appartient aux parents, et à eux seuls.

    Les Proverbes nous encouragent vivement à prendre ce rôle à cœur. « Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas » (Proverbes 22.6). « Les avertissements de la correction sont le chemin de la vie » (Proverbes 6.23). « La folie est attachée au cœur de l’enfant ; la verge de la correction l’éloignera de lui » (Proverbes 22.15). « La verge et la correction donnent la sagesse, mais l’enfant livré à lui-même fait honte à sa mère » (Proverbes 29.15).

    Bien-aimés parents dans le Seigneur, vous avez cette responsabilité d’apporter la « correction » à vos enfants dès leur plus jeune âge. Le mot « correction » n’a pas seulement le sens de châtiment mais surtout le sens de remontrance, d’avertissement, d’instruction morale, de discipline... la « punition » n’étant qu’une solution ultime pour que l’enseignement puisse entrer. Si vous vous dégagez de cette responsabilité, vous vous engagez sur la voie de la souffrance pour votre famille.

    Bonne réflexion.

    Source (Ézéchiel 37 Ministères)

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  • Lundi 13 Décembre 2021

    Le fils de...

    Marc 10.46 – Ils arrivèrent à Jéricho. Et, lorsque Jésus en sortit, avec ses disciples et une assez grande foule, le fils de Timée, Bartimée, mendiant aveugle, était assis au bord du chemin.

    Vous connaissez probablement cette histoire. Bartimée veut dire littéralement « le fils de Timée ». Nous savons que le nom, pour les Hébreux, a beaucoup d’importance. Il est même d’ailleurs quelquefois prophétique. Avouons que les parents de Bartimée n’ont pas cherché très loin comment appeler leur fils. Par contre, « Timée » signifie « hautement estimé », c’est nettement plus agréable comme nom, vous ne trouvez pas ?

    J’y vois une occasion pour avoir un problème d’identité parce qu’être « le fils de » ne valorise personne. Vous êtes-vous déjà retrouvé dans cette situation : je suis le fils du pasteur, je suis le frère du pasteur, je suis la femme du pasteur... ? Le pasteur est connu et peut-être hautement estimé, mais vous ? Je pense aussi à tous ceux qui essayent de « redorer leur blason » avec des phrases du style : « Je connais le frère Bonnke ou le frère Yonggi Cho ou mettez qui vous voulez comme serviteur très connu », est-ce que cela donne de la valeur à leur identité ? Bien sûr que non ! Bartimée n’était pas très avancé avec cette étiquette de fils de Timée et « la vie » avait fait qu’il était devenu un mendiant.

    Pourtant, il y a quelque chose qui me plaît beaucoup dans la Parole de Dieu : son nom a été dévoilé et il a parcouru des millénaires. Beaucoup de malades guéris n’ont pas eu « cette chance » : la femme à la perte de sang, le paralytique de Bethesda, la Samaritaine… et tant d’autres dont on ne connaît pas le nom. Bartimée est devenu un exemple de foi, quelle mise à l’honneur de la part de Dieu.

    Bien-aimés, peut-être que le monde ne t’a guère fait de cadeau au niveau de ton identité mais je peux te dire que tu es « quelqu’un » si tu entres dans ta destinée en Dieu, un VIP même. Même dans le monde spirituel on dira : « Je connais Jésus, et je sais qui est Paul » (mettez votre prénom – Actes 19.15).

    Bonne réflexion.

    Source (Ézéchiel 37 Ministère)

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  • Dimanche 12 Décembre 2021

    Au secours je suis dans le rouge !

    1 Corinthiens 6.12 – Tout m’est permis, mais tout n’est pas utile ; tout m’est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit.

    Notre société nous laisse croire que tout est permis et que tout est utile. C’est ainsi que de nombreuses personnes dépensent sans compter car ils ou elles pensent que d’avoir la plus jolie robe est utile, le plus beau parfum est utile, la plus belle voiture est utile, et je vous laisse continuer la liste que vous connaissez aussi bien que moi.

    S’il n’y a rien de mal à vouloir s’offrir une robe, un costume ou autre, ce qui est dommageable c’est de vouloir les choses coûte que coûte et ce, même au prix d’un découvert allant toujours grandissant. Je ne parle pas ici d’une personne qui se serait retrouvée dans le rouge à cause d’un accident de la vie tel que la maladie, le chômage... mais de personnes qui veulent paraître aux yeux des autres sans se soucier du lendemain.

    La Parole nous dit de ne pas se laisser asservir par quoi que ce soit, les personnes qui vivent découvert sur découvert savent qu’elles sont asservies. Alors, comment se sortir de tout cela, y a-t-il une solution ?

    La première des choses est de reconnaître devant Dieu que nous avons un sérieux problème de convoitise et lui demander pardon. Je rappelle ici la définition de la convoitise : désir extrême et sans scrupule de posséder une chose.

    Ensuite, je conseille de remettre à Dieu toutes ses finances. N’en sommes-nous pas que les gérants ?

    Troisièmement, décider de se recentrer, tout du moins pour un temps, sur ce qui est véritablement indispensable pour la vie quotidienne et de préparer un plan d’apurement pour chacune des dettes. Au besoin, cette personne pourra se faire aider par quelqu’un qui lui expliquera comment faire un budget.

    Dieu rejoindra toutes ces décisions et il aidera la personne endettée à sortir de cet endettement. C’est peut-être pour toi le temps de laisser le Saint-Esprit visiter cette partie de ta vie.

    Avec toute mon affection.

    Source (Ézéchiel 37 Ministères)

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