• Jeudi 28 Mars 2024

    Que servirait-il à un homme de gagner le monde s’il perdait son âme ? Ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? Matthieu 16.26

    Agence tous risques

    Depuis quelque temps, des avions passent à 250 mètres au-dessus de la maison : très agréable ! Beaucoup de bruit, de la pollution, rien que du bonheur !...

    Pourtant il faut bien que les avions se posent quelque part, et l’aéroport est à 2 km à vol d’oiseau. Mais nous nous demandons souvent : Qu’est-ce qui se passerait si un avion se posait trop tôt ? Ou s’il avait un problème à l’atterrissage ? Cela représente un risque, un vrai, car même si les accidents d’avion sont rares, ils font en général beaucoup de dégâts.

    Vivre dans le risque est quotidien : la route, le travail, la vie de tous les jours, le bricolage, les loisirs... tout est risque. Même si je restais au lit, les avions survoleraient toujours la maison !

    Est-ce le risque le plus important ? Qu’y a-t-il après la vie ? Comment comprendre l’éternité ? S’il n’y a pas d’avenir, la vie a-t-elle un sens ?

    Celui qui a mis en nous la pensée de l’éternité, a aussi permis que nous découvrions ce qu’il a préparé. Je vous invite à lire la Bible : elle révèle ce que Dieu a préparé pour chacun d’entre nous, la vie après la vie.

    Bernard Doise

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    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 16, versets 19 à 31.

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  • Mercredi 27 Mars 2024

    Personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu. 1 Corinthiens 2.11

    La nécessaire révélation

    Jamais nous n’avons eu accès à l’information aussi facilement qu’aujourd’hui. En un clic, nous pouvons savoir tout sur tout. Mais en est-il de même pour la vérité divine ? Non, car aucun moyen humain ne nous permet de la saisir.

    Il est indispensable que Dieu se dévoile lui-même par ce qui est appelé une révélation.

    Par la création, nous comprenons que Dieu existe. Mais il nous faut aller plus loin et connaître son Fils Jésus qui a déclaré : Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14.6). Nous pouvons savoir beaucoup de choses sur Jésus et ignorer qui il est réellement, par absence de révélation.

    Lorsque Simon Pierre – le futur apôtre Pierre – a confessé que Jésus était le Messie, le Fils du Dieu vivant, Jésus s’est exclamé : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce n’est pas de toi-même que tu as trouvé cela. C’est mon Père céleste qui te l’a révélé (Matthieu 16.15-17).

    Alors que la connaissance intellectuelle enfle d’orgueil, la dépendance de Dieu conduit à l’humilité. Lorsque l’Esprit de Dieu touchera votre cœur, vous reconnaîtrez que Jésus est le Sauveur mort et ressuscité pour vous.

    Vous pouvez prier ainsi : « Dieu, j’ai besoin que tu te révèles à moi. Par ton Esprit, ouvre mes yeux pour que je comprenne qui est Jésus et ce qu’il a accompli pour moi. Quand je lis la Bible, que tes paroles touchent mon cœur ».

    Françoise Lanthier

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    Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 2.

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  • Mardi 26 Mars 2024

    Heureux dès à présent les morts, ceux qui meurent dans le Seigneur !... Ils se reposent de leurs travaux. Apocalypse 14.13

    Heureux les morts !

    C’est la Bible qui le dit... mais pour ceux-là seuls qui meurent dans la foi au Seigneur Jésus-Christ !

    Le numéro spécial 211 de Sciences et Avenir, paru en octobre 2022, affiche : « LA MORT Ce que la science en dit. »

    Malheureusement pour le lecteur, ce magazine n’indique rien de ce qui se passe après le décès. Du coup, pour ceux qui ne croient qu’en la science, il reste à tout concentrer sur la tentative d’en reculer le moment ou de l’adoucir.

    Les choses sont bien différentes pour ceux qui ont accepté la réconciliation que Dieu a proposée en Jésus-Christ. Ceux-là savent... Pas grand-chose, il est vrai. La Bible dit seulement que ces morts-là dorment et se réveilleront. Et notre verset ajoute qu’ils sont heureux dès à présent.

    Faut-il vraiment en savoir davantage, pour envisager le décès non seulement sans crainte, mais comme le terme des peines et travaux terrestres et l’entrée dans le repos ?

    Mais cela, la science ne le dit pas et ne saurait, en aucun cas ni d’aucune manière, le garantir. Pas même à ceux qui auraient la fortune pour se faire réfrigérer dans l’attente d’une hypothétique avancée de la médecine.

    La science n’est-elle pas impuissante dans ce domaine ? Ne voulons-nous pas nous fier plutôt à l’offre que Dieu nous fait du repos, du réveil et du partage éternel de sa gloire ?

    Richard Doulière

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    Lecture proposée : 1ère lettre aux Thessaloniciens, chapitre 4, versets 13 à 18.

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  • Lundi 25 Mars 2024

    La fête des pains sans levain, appelée la Pâque, approchait. Luc 22.1 Version Segond 21

    Notre Pâque

    Neuf plaies divines ont déjà frappé l’Égypte qui tient le peuple d’Israël en esclavage ! En frappant tous les premiers-nés du pays, Dieu apportera par ce dixième fléau la délivrance des Israélites.

    Il demande à chaque famille des captifs de sacrifier la veille au soir un agneau et de recueillir son sang pour en badigeonner les montants de la porte d’entrée. L’ange de Dieu frappera le pays dans la nuit, mais quand il verra ce signe sur une maison, il passera au-dessus (passa’h) pour épargner (Pessa’h : épargner, passer outre) les fils aînés réfugiés à l’intérieur.

    Dieu prescrivit de manger l’agneau rôti au feu en étant debout, prêts à partir, le bâton à la main, les sandales aux pieds. Il commanda que les pains préparés pour ce dernier repas soient cuits à la hâte sans attendre que la pâte ait levé (voir la lecture proposée).

    C’est pourquoi la célébration de la libération du peuple d’Israël sous la conduite de Moïse, se nomme la fête des pains sans levain ou celle de la Pâque, de l’hébreu Pessa’h (Pessa’h : épargner, passer outre).

    Or, lors de cette commémoration à Jérusalem, la veille au soir de sa crucifixion, Christ annonce à ses disciples son sacrifice pour sauver tous ceux qui croiraient en Lui. Jésus se présente comme l’Agneau de Dieu qui délivre de l’esclavage du péché ! Son sang sur la croix marque l’accomplissement (Luc 22.15-16) de notre délivrance, notre Pâque.

    Dominique Moreau

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    Lecture proposée : Livre de l’Exode, chapitre 12, versets 1 à 14.

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  • Dimanche 24 Mars 2024

    Mais Job lui répondit : « tu tiens le langage d’une folle. Nous acceptons le bien de la part de Dieu, et nous n’accepterions pas aussi le mal ? » Job 2.10 Version Segond 21

    Accepter la situation et tourner les yeux vers Dieu

    Comme Job dans sa détresse, ayant perdu enfants et biens, beaucoup d’entre nous ont été plus que tentés de se demander si Dieu était vraiment bon, s’il était vraiment tout-puissant, s’il se préoccupait vraiment de nous.

    Attention : il ne nous a jamais promis une vie sans drame et sans douleur. Mais on parle de celui qui est antérieur à tout, le Créateur, celui qu’on ne pourra jamais comprendre absolument. Oui, il autorise le mal, pour des raisons qui nous échappent.

    La vraie question, au fond, c’est de savoir comment nous le vivons. Certainement, si tu agis bien, tu te relèveras. Si en revanche tu agis mal, le péché est couché à la porte et ses désirs se portent vers toi, mais c’est à toi de dominer sur lui (Genèse 4.7). C’est en ces mots que Dieu a prévenu Caïn, mais notre lointain ancêtre ne l’a pas écouté et a commis le premier meurtre en tuant son frère Abel.

    Il n’y a aucune solution au problème du péché sans acceptation de la situation. Et il y en aura encore moins si l’on se détourne de la foi en Dieu qui a réglé le problème du péché à la croix sur laquelle Jésus-Christ a subi le meurtre et donné sa vie.

    Lionel Cavan

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    Lecture proposée : Psaume 23, verset 4.

    23.4 Même quand je marche dans la sombre vallée de la mort, je ne redoute aucun mal car tu es avec moi. Ta conduite et ton appui : voilà ce qui me réconforte.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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