• "Le cœur de l'homme peut méditer sa voie, mais c'est l'Éternel qui dirige ses pas." Proverbe 16.9

     

    Les gens me demandent souvent comment trouver leur place dans le ministère. Certains passent des années à attendre de recevoir un signe de Dieu ou une direction surnaturelle. Moi, je leur réponds de sortir de leur barque et d'explorer ce qui s'offre à eux. 

    Au début de ma vie avec Dieu, je voulais le servir. Je sentais qu'il avait placé un appel sur ma vie mais je ne savais pas exactement quoi faire. Je me suis donc lancée dans les différentes opportunités de service qui s'offraient à moi. 

    "N'ayez pas peur de faire une erreur."

    J'ai essayé beaucoup de choses qui n'ont pas marché, mais j'ai continué à chercher jusqu'à ce que je trouve le domaine qui me correspondait. La vie a jailli à l'intérieur de moi lorsque j'ai eu l'occasion de partager la Parole avec les gens. J'ai trouvé ma joie dans le fait d'enseigner, et il était clair que j'étais douée pour cela. J'ai su alors que j'avais trouvé ma place dans le ministère. 

    Parfois, le seul moyen de découvrir la volonté de Dieu est de sortir de notre barque et d'explorer. Si vous avez prié au sujet d'une situation et que vous avez toujours l'impression de ne pas savoir quoi faire, faites un pas de foi. N'ayez pas peur de faire une erreur. Sortez de votre barque et Dieu vous guidera.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, je te fais confiance, et je sais que tu dirigeras mes pas. Je n'ai donc pas peur de sortir de ma barque et d'explorer, afin de découvrir ce que tu as pour moi. Amen.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où les mites et la rouille détruisent et où les voleurs percent les murs pour voler, mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où les mites et la rouille ne détruisent pas et où les voleurs ne peuvent pas percer les murs ni voler ! En effet, là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur. Matthieu 6. 19-21

    Comme n'ayant rien, alors que nous possédons tout. 2 Corinthiens 6. 10

     

    Notre société est de plus en plus matérialiste. Ce qui compte, pour beaucoup, c'est posséder ! Car bien souvent le prestige dépend de la fortune personnelle ou des revenus, et l'argent est une référence pour se comparer les uns aux autres.

    Mais cette échelle de valeurs n'est pas celle de Dieu. La Bible nous présente un jeune homme riche qui vient interroger Jésus, et repart ensuite tout triste à cause de son attachement aux biens matériels. Il préfère garder ce qu'il possède plutôt que de suivre Jésus (Matthieu 19. 21, 22). La richesse n'est pas mauvaise en elle-même, mais quand le coeur s'y attache, cela fausse la valeur que nous donnons à ce qui n'est pas matériel.

    L'important, ce ne sont pas les richesses que nous possédons, mais ce que nous avons dans le coeur : la paix ou l'inquiétude, la confiance ou le désarroi. Une vie heureuse ne se limite pas à un horizon matériel, elle trouve sa joie en Dieu, qui est amour.

    Dieu désire que nous connaissions son amour, et que nous trouvions notre paix et notre équilibre auprès de lui dans toutes les circonstances de la vie. Pour cela, nous devons reconnaître que nous avons besoin de lui, et de croire sa parole, en lisant la Bible. "Je me réjouis de tes promesses comme celui qui trouve un grand butin" (Psaume 119. 162). Nombreux sont ceux qui peuvent témoigner de l'amour divin et de ses effets dans leur vie. Même chargés et éprouvés, il possèdent un bonheur dont rien ne peu les priver. Même pauvres, il possèdent les vraies richesses, celles qui sont éternelles (2 Corinthiens 4. 18).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Je désire que vous le sachiez, frères et soeurs, ce qui m'est arrivé a plutôt contribué aux progrès de l'Évangile. En effet, dans tout le prétoire et partout ailleurs, personne n'ignore que c'est pour Christ que je suis en prison. Et la plupart des frères et soeurs, encouragés dans le Seigneur par mes chaînes, ont plus d'assurance pour annoncer sans crainte la parole.” Philippiens 1. 12-14

     

    Paul était un homme passionné. L'Évangile était pour lui une nécessité et il a même écrit aux Corinthiens : “Malheur à moi si je n'annonce pas l'Évangile !” (1 Cor. 9. 16). Il n'avait pas honte de l’Évangile et avait compris très profondément qu’il est “la puissance de Dieu pour le salut de tout homme qui croit.” (Rom. 1. 16).

    Paul avait une maturité spirituelle solide qui lui a permis d'accepter les difficultés qu'il a traversées avec joie et sérénité. Emprisonné avec Silas à Philippes, il chantait avec eux des cantiques ! Laissé pour mort hors de la ville après avoir été lapidé à Lystre, il y retourne dès qu’il reprend connaissance !

    Paul écrit aux Philippiens alors qu'il est emprisonné à Rome, après avoir traversé des épreuves terribles. Dans cette capitale plongée dans le paganisme, il est convaincu que l'occasion lui est donnée d'annoncer l'évangile ! Enchaîné à un soldat romain, sans intimité, il considère ses épreuves comme nécessaires au progrès de l'Évangile et cela se voit. Comme toujours, il ne fait aucun cas de sa vie : au siège de la garde impériale comme partout ailleurs chacun sait qu’il est prisonnier à cause de sa foi ! Cette foi solide, son courage et sa fidélité dans le Seigneur sont si évidents que non seulement de nouveaux convertis sont ajoutés à l'Église, mais ils ont un effet stimulant sur la plupart des frères qui prennent confiance. D’abord craintifs et hésitants, ils sont encouragés, affermis et ont beaucoup plus de hardiesse pour annoncer la Parole sans crainte !

    Quel croyant formidable que Paul ! Il avait une véritable passion pour Christ, cela stimulait les autres même dans les moments les plus difficiles ! Sommes-nous craintifs et hésitants ? Il nous encourage encore aujourd'hui et certainement nous pouvons nous-mêmes aussi être un encouragement pour d'autres, que nous soyons sur le champ missionnaire ou pas.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient !" Matthieu 5.10

     

    Nous savons que certains mauvais comportements peuvent occasionner de la souffrance mais, ici, Jésus nous dit qu’il peut y avoir une réelle souffrance à vouloir défendre ce qui est juste. Celui ou celle qui aime la justice, et qui veut la défendre, doit s’attendre à être persécuté(e), comme le confirme l’apôtre Paul : "Du reste, tous ceux qui veulent vivre avec piété en Jésus-Christ seront persécutés." (2 Timothée 3.12)

    "Aimer la justice divine, c’est renoncer à notre propre justice."

    Pourquoi Jésus a-t-il subi une terrible opposition lorsqu’il était sur cette terre ? Parce qu’il a aimé la justice : "Tu as aimé la justice et tu as détesté la méchanceté ; c'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a désigné par onction comme roi, de préférence à tes compagnons, avec une huile de joie." (Hébreux 1.9) Il est à noter que cette souffrance a été accompagnée par une onction de joie. Ainsi ces trois mots vont ensemble : justice, persécution, joie.

    Aimer la justice divine, c’est renoncer à notre propre justice. Ce renoncement fait souffrir notre nature orgueilleuse. Il nous oblige à admettre que nous sommes des pécheurs, incapables de nous sauver nous-mêmes. Accepter cette justice divine peut générer une opposition de la part de ceux qui ne voient pas d’un bon œil que nous renoncions à la justice que nous apporterait la pratique religieuse à laquelle ils sont attachés. Accepter la justice offerte par Christ fut pour les premiers disciples l’occasion d’être persécutés par les Juifs. Combien de musulmans, qui ont accepté de se confier dans cette justice, ont connu et connaissent encore le rejet de leur propre famille ?

    Aimer la justice divine en renonçant à nos mérites religieux peut être source de souffrance. Avant d’être lui-même persécuté pour la défense de cette justice divine, l’apôtre Paul fut un persécuteur de ceux qui croyaient en cette justice gratuite, et non en la justice obtenue par les œuvres de la loi.

    D’autre part, défendre des causes justes dans un monde où l’absolutisme, la dictature et le pouvoir de l’argent règnent, c’est s’exposer à la souffrance. De même, vouloir défendre la liberté de conscience, s’opposer aux gourous religieux qui veulent tout régenter dans la vie de leurs disciples, c’est courir le risque d’excommunications ou d’exclusions intempestives, y compris dans certains milieux dits "évangéliques".

    Regardez comment les religieux ont traité Jésus qui dénonçait leurs injustices ! En dénonçant les abus de pouvoir, les compromis, les hypocrisies de certains religieux, il s’est attiré la haine de ces hommes !

    Un conseil pour aujourd’hui

    Si vous avez subi le mépris ou la persécution, parce que vous avez aimé la justice et dénoncé l’injustice, ne vous laissez pas gagner par la colère. Laissez-vous remplir de la joie qui découle de l’assurance que la justice de Dieu finira toujours par triompher.

    Paul Calzada

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Je leur ai donné ta parole et le monde les a détesté, parce qu'ils ne sont pas du monde, tout comme moi, je ne suis pas du monde. Je ne te demande pas de les retirer du monde, mais de les préserver du mal. Jean 17. 14, 15

     

    "Où est Dieu, si dans le monde il  a tant de mal, s'il y a des personnes qui ont faim, qui ont soif, des sans-abris, des déplacés, des réfugiés ? Où est Dieu, lorsque les innocents meurent à cause de la violence, du terrorisme, des guerres ?"

    La réponse à cette question est dans la Bible : "En effet, Dieu est au ciel, et toi sur la terre" (Ecclésiaste 5. 1). Cela nous rappelle d'un côté la grandeur de Dieu, et de l'autre l'insignifiance de l'homme. Nous voudrions souvent dire à Dieu ce qu'il devrais faire, alors que notre place est d'être attentifs à ce qu'il nous dit de faire. Il a donné la terre aux hommes (Psaume 115. 16) et leur en a confié la gestion. L'état désastreux de notre planète démontre l'échec de l'homme.

    Alors pourquoi Dieu n'intervient-il pas maintenant pour remettre les choses en ordre ? Il a fait plus que cela il y a 2000 ans, quand il a envoyé son Fils Jésus pour apporter la grâce et la vérité. Mais le monde a crucifié l'envoyé divin. Dieu laisse donc les choses suivre leur cours avant d'intervenir pour le jugement.

    Mais le Dieu souverain est un Dieu d'amour, il est patient, et il propose à tous, sans exception, d'échapper à ce jugement. Le "Seigneur Jésus-Christ s'es donné lui-même pour nos péchés afin de nous arracher à l'actuel monde mauvais" (Galates 1. 4). Par la foi en Jésus Christ, les croyants sont moralement séparés du monde dans lequel ils continuent à vivre. Mais Dieu leur donne une vie nouvelle, et la capacité de résister au mal, comme de faire ce qui lui plaît.

    Source (La Bonne Semence)

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