• « Allez donc, faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je vous ai prescrit. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde » (Matthieu 28:19-20). Notez qu’il est dit : « jusqu’à la fin du monde ». Ce qui inclut aujourd’hui, demain, et au-delà.

    Cela signifie que si Jésus apparaissait aujourd’hui pour nous parler, il dirait la même chose. Il n’a jamais changé.

    Les gens veulent savoir ce que le Seigneur dit à l’Église. Il ne fait aucun doute qu’il a beaucoup de choses à dire, comme dans les « lettres de Jésus » aux sept églises dans l’Apocalypse. Mais si nous ne sommes pas déjà occupés à faire ce qu’il nous a ordonné de faire, il ne dira qu’une seule chose : « Allez, au travail ! ». Donc : « Écoutez ce que l’Esprit dit aux églises » (Apocalypse 2:29).

    Pourquoi attendre une autre lettre quand vous n’avez pas encore ouvert la première ? Jésus n’a rien à nous dire de plus tant que ses ordres ne sont pas menés à bien.

    Nombreux sont ceux qui attendent que Dieu leur parle, mais seulement pour l’entendre dire ce qu’ils désirent entendre. Ils attendent et attendent encore que Dieu leur donne une nouvelle direction. Mais comment peuvent-ils savoir s’il a une nouvelle direction pour eux ? Ou qu’il a pour eux une formidable révélation ? Ou encore qu’il leur donnera des instructions radicales ?

    La Parole de Dieu que je détiens est celle-ci, il veut l’ancienne direction, une Église qui témoigne, avec l’évangélisation dans et par les églises (1 Jean 2:7).

    Jérémy Sourdril

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  • En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Jean 3. 16

     

    Juste après la seconde guerre mondiale, un père se promène un soir avec son jeune enfant dans les rues dune grande cité américaine. De temps en temps, ils aperçoivent, collée à la vitre d'une fenêtre éclairée, une étoile d'argent. Cela veut dire que, dans cette famille, on a donné un fils, mort pour la libération de l'Europe. Sur certaines fenêtres, il y a même deux étoiles d'argent : deux fils sont morts. Et l'enfant compte les étoiles d'argent.

    En continuant leur promenade, entre deux immeubles, apparaît dans le ciel scintillante, l'étoile du soir. L'enfant demande : "Dis papa, est-ce que Dieu a aussi donné un fils ?" Alors le père serre bien fort la main de son enfant et répond, ému : "Oui, Dieu a donné son Fils unique pour le salut de chacun de nous".

    Dieu savait quel accueil les gens de la terre feraient à son Fil bien-aimé. Il connaissait d'avance la jalousie et la haine des dirigeants contre lui, les insultes, les blasphèmes, les coups et les clous. Dieu le savait et pourtant, il a donné son Fils pour l'humanité. Il l'a donné par amour pour nous. Peut-on comprendre un amour si grand ? Alors que nous étions indignes, haïssables, ennemis, "alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous" (Romains 5. 8). Sommes-nous de ceux qui peuvent dire : "Or nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous et nous y avons cru" (1 Jean 4. 16).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Jésus lui dit : Moi, je suis la résurrection et la vie.” Jean 11. 25

     

    Devant ceux qu’il aime, le Seigneur Jésus veut manifester la gloire de Dieu et rendre perceptible sa propre gloire comme Fils de Dieu (v. 4).

    Dans le jardin d’Éden la mort était annoncée comme la sanction de la désobéissance éventuelle de l’homme. À la mort, “avant que la poussière ne retourne à la terre comme elle y était, et que l'esprit ne retourne à Dieu, celui qui l'a donné !” (Ecc. 12. 7). L’affirmation “par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, de même la mort a atteint tous les hommes parce que tous ont péché” (Rom 5. 12, Segond 21) constate l’introduction effective de la mort dans le monde et son motif.

    La résurrection, c’est-à-dire la réunification du corps et de l’esprit, est l’inverse de la mort physique. Sauf pour les sadducéens, la résurrection des morts “au dernier jour” était un dogme reconnu des Juifs. Mais que le Messie, le Fils de David, le Fils de l’homme puisse en être l’artisan et le maître leur échappait ; de surcroît, la pensée que Jésus soit ce Messie puissant leur était insupportable.

    En ressuscitant Lazare, le Seigneur Jésus démontre qu’il maîtrise la résurrection. Il anticipe ainsi le résultat de son œuvre à la croix où il “a connu la mort pour tout être humain” (Héb. 2. 9).

    Il a été “ressuscité par la gloire du Père”, et ce témoignage lui a été rendu : “En effet, puisque la mort est venue à travers un homme, c'est aussi à travers un homme qu'est venu la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tout revivront en Christ” (1 Cor. 15. 21, 22).

    La résurrection de Lazare est la démonstration de la gloire de Dieu dans son autorité sur la mort ; elle est aussi la confirmation, par la puissance que Jésus déploie, qu’il est l’envoyé de Dieu, le Fils de Dieu.

    La résurrection des hommes sera bientôt totale et le dernier ennemi, la mort, sera abolie. C’est la fin de l’histoire ouverte en Éden : “Le dernier ennemi qui sera anéanti, c'est la mort. Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsque Dieu dit que tout lui a été soumis, il est évident que c'est à l'exception de celui qui lui a soumis toute chose. Lorsque tout lui aura été soumis, alors le Fils lui-même se soumettra à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous” (1 Cor. 15. 26-28). Mais n’oublions pas d’annoncer que les uns connaîtront une résurrection de vie et les autres une résurrection de jugement (Actes 17. 30, 31).

    Gloire à Jésus Christ, “le premier-né des morts”, celui “qui détiens les clefs de la mort et du séjour des morts” (Apoc. 1. 5, 18) !

    À dimanche prochain, “Moi, je suis la vie” !

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "D'où viennent les conflits et d'où viennent les luttes parmi vous ? N'est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ? Vous désirez et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et jaloux, et vous ne pouvez rien obtenir ; vous avez des luttes et des conflits. Vous ne possédez pas parce que nous ne demandez pas." Jacques 4.1-2

     

    La première étape biblique vers la restauration d’une relation consiste à parler à Dieu avant de parler à la personne concernée.

    "La plupart des conflits ont leur origine dans des besoins inassouvis."

    Toutes vos relations seraient plus aisées si vous priiez davantage pour elles. Comme l’a fait David avec ses Psaumes :

    . Servez-vous de la prière pour vous décharger verticalement

    . Confiez vos frustrations à Dieu

    . Criez à lui

    Il n’est jamais pris de court ni déstabilisé par votre colère, votre souffrance, votre sentiment d’insécurité ou par n’importe quelle autre émotion. Dites-lui donc exactement ce que vous ressentez. Discutez du problème avec Dieu.

    Si vous commencez par prier au sujet du conflit au lieu d’aller en parler à un tiers, vous constaterez souvent que Dieu change votre cœur ou celui de l’autre sans que vous fassiez quoi que ce soit.

    La plupart des conflits ont leur origine dans des besoins inassouvis. Certains de ces besoins ne peuvent être comblés que par Dieu. Lorsque vous attendez de quelqu’un – d’un(e) ami, d’un(e) conjoint(e), d’un autre pasteur ou d’un membre de la famille – qu’il  ou elle réponde à un besoin que Dieu seul peut satisfaire, vous vous exposez à la déception et à l’amertume. Nul autre que Dieu ne peut répondre à tous vos besoins.

    L’apôtre Jacques souligne que beaucoup de nos conflits sont dus à un manque de prière. (Jacques 4.1-2)

    Au lieu de regarder à Dieu, nous attendons des autres qu’ils nous rendent heureux, et nous sommes contrariés lorsque ce n’est pas le cas. Dieu nous dit : "Pourquoi ne viens-tu pas d’abord à moi ?"

    Une action pour aujourd’hui

    Avez-vous besoin de restaurer une relation ? Ne laissez pas s’envenimer la situation Approchez-vous de Dieu et parlez-lui de cette relation brisée.

    Rick Warren

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Selon les statistiques, si 10 000 personnes vivent près de votre église, quatre d’entre eux meurent chaque semaine. Il n’est donc pas satisfaisant qu’une soit sauvée par mois, ni même une par semaine.

    Le besoin de l’Évangile est si flagrant que tout ce que je pourrais dire ne ferait que renforcer l’évidence. Pourtant, je constate que le diable possède des ruses pour masquer l’évidence. Premièrement, Satan a essayé d’empêcher la naissance du Sauveur. Il a arrangé le meurtre d’Abel puis lancé tous ses missiles contre les ancêtres de Christ, pour finalement massacrer des innocents à Bethléem. Le meurtre et le génocide ayant échoué, la seule alternative qui restait était d’empêcher la proclamation de l’Évangile.

    Au début, le diable n’utilisa que la persécution et de faux évangiles, mais maintenant il possède une véritable armurerie. L’une de ses armes consiste à donner aux croyants d’autres priorités. Cela ne le dérange pas si nous travaillons dur pour notre église, tant que cela nous tient éloignés du désastre que l’Évangile peut accomplir dans son royaume maléfique.

    Nous pouvons nous spécialiser dans la doctrine, dans la communion fraternelle, dans la voie de la prospérité ou dans l’entretien de notre âme, par des manières qui n’ont aucune relation ni conséquence sur la proclamation de l’Évangile à toute créature. Ce sont de bonnes activités qui, néanmoins, ne laissent aucune place à la tâche la plus urgente.

    Nous pouvons même mettre au point des interprétations de l’Écriture qui nous font grâce de cette tâche et apaisent notre conscience vis-à-vis des perdus. La prière elle-même, pourtant si vitale, peut devenir un substitut à l’évangélisation. Mais, comme le dit Suzette Hattingh : « La prière sans évangélisation est une flèche envoyée pour rien ! ». Si nous organisons des rassemblements de prière, ils doivent être associés directement à un effort d’évangélisation, et non pas avoir lieu pour présenter des requêtes générales.

    Jérémy Sourdril

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