• Et puisque je vais vous préparer une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi afin que, là où je suis, vous y soyez aussi. Jean 14. 3

    Voici je viens bientôt et j'apporterai avec moi ma récompense pour traiter chacun conformément à son oeuvre. Apocalypse 22. 12

     

    L'homme a besoin d'espoir pour vivre, et pourtant le monde d'aujourd'hui n'en laisse pas beaucoup. Dans tous les domaines (géopolitique, économique, écologique...), l'équilibre semble tellement fragile. Cela faut peur ! Alors trop souvent, pour fuir les réalités d'une vie difficile et oublier la crainte d'un avenir incertain, on se réfugie dans des divertissements de toutes sortes. Mais chacun sait bien, au fond de lui, que la mort reste l'échéance incontournable. "En effet, qu'est-ce que votre vie ? C'est une vapeur qui paraît pour un instant et qui disparaît ensuite" (Jacques 4. 14).

    Il y a des millénaires, Job disait avec réalisme : "Plus rapide que la navette d'un tisserand, mes jours s'évanouissent : plus d'espérance !" (Job 7. 6). Mais plus tard, voyant au-delà, il pouvait ajouter : "Pour ma part, je sais que celui qui me rachète est vivant et qu'il se lèvera le dernier sur la terre... Mes yeux le verront" (Job 19. 25, 27). Aujourd'hui encore, la même espérance habite tous ceux qui ont mit leur confiance en Jésus le Sauveur. Le merveilleux plan de Dieu, rassembler ses enfants en sa présence pour toujours, va s'accomplir : il enverra son Fils Jésus Christ pour enlever au ciel tous ceux qui auront cru en lui (1 Thessaloniciens 4. 17). Ils seront "toujours avec le Seigneur". Pouvons-nous tous dire :

    Cette espérance glorieuse

    Ranime nos cœurs abattus ;

    Oh ! Quelle perspective heureuse,

    D'être bientôt avec Jésus !

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Je demande à l'Éternel une chose, que je désire ardemment : je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l'Éternel, pour contempler la beauté de l'Éternel et pour admirer son temple.” Psaume 27. 4

     

    La vie n’est pas facile pour David au moment où il écrit ce psaume : il doit faire face à des méchants, à des ennemis, des faux témoins et des violents. Mais ce n’est pas les dangers auxquels il est exposé de toute part qui le préoccupent. Un seul désir lui tient vraiment à cœur : habiter dans la maison de l’Éternel pour voir la beauté de l’Éternel. Dans cette intimité, les obstacles intérieurs tombent. Plus de crainte, il est en sécurité et rien ne peut faire obstacle à la bénédiction que Dieu veut lui donner.

    C’était au sens figuré que David parlait d’habiter “dans la maison de l’Éternel”, car le temple de l’Éternel ne sera bâti qu’après sa mort et son accès sera réservé aux sacrificateurs. De plus, la fonction royale le contraignait à de multiples occupations souvent éloignées de Jérusalem. En parlant ainsi, il exprimait son souhait ardent d’éprouver toujours la proximité d’un Dieu omniprésent, quelles que pourraient être ses circonstances.

    Il en est de même pour moi. Je peux réaliser la communion avec le Seigneur dans toutes les tâches de ma vie quotidienne, même si celles-ci m’obligent à me concentrer sur elles. C’est du reste seulement ainsi que je peux les accomplir dans la paix intérieure, en manifestant autour de moi, le plus souvent sans m’en rendre compte, la vie de Christ et le rayonnement de l’amour de Dieu.

    Le point de départ, c’est donc de chercher à plaire à Dieu parce qu’il m’aime et que je l’aime. Je donne donc la priorité absolue dans ma vie à la recherche d’un vrai accord avec lui : “J’ai demandé une chose à l’Éternel, et je la rechercherai”. Notre Dieu répond toujours à celui qui le cherche en vérité ; il m’ouvre la porte afin que moi aussi “j’habite dans la maison de l’Éternel”, c’est-à-dire dans sa proximité spirituelle. Et cette présence, un contemporain de David l’a exprimée ainsi : “Cependant je suis toujours avec toi : tu m'as empoigné la main droite, tu me conduiras par ton conseil, tu me prendra dans ta gloire. Qui d'autre ai-je au ciel ? Et sur la terre je ne prends plaisir qu'en toi” (Ps. 73. 23-25).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "En effet, je verserai de l'eau sur la terre qui a soif et des ruisseaux sur le terrain sec." Ésaïe 44.3

     

    Julie Coleman a écrit : "Je me rendais à Philadelphie en voiture, pour assurer une conférence, lorsque j’ai réalisé que j’avais oublié de faire le plein. Habituellement, je sélectionne l’endroit où je m’arrête. Mais comme j’étais sur une route déserte, je commençais à désespérer. Il faisait 40 degrés à l’ombre et je n’avais pas la moindre bouteille d’eau. J’ai roulé jusqu’à un carrefour où se trouvaient quatre maisons et une station d’essence, un endroit perdu sorti tout droit de l’enfer ! En temps normal, je n’y aurais pas même jeté un regard, mais ce jour-là, c’était comme un coin de paradis ! C’est étonnant comme les circonstances peuvent influencer nos sentiments".

    "Lorsque la vie nous sourit, nous devenons vite autonomes et oublions Dieu."

    Poursuivi pas ses ennemis, David priait ainsi : "Je tend les mains vers toi, je soupire après toi comme une terre assoiffée. Réponds-moi vite, Éternel, car mon esprit s'épuise. Ne me cache pas ton visage, car je deviendrais pareil à ceux qui descendent dans la tombe. Dès le matin, fais-moi entendre ta bonté, car je me confie en toi ! Fais-moi connaître le chemin o je dois marcher, car je me tourne vers toi !" (Psaume 143.6-8) La prière de David aurait-elle été différente s’il avait été dans le luxe, entouré de gens à son service ?

    L’incertitude du prochain repas et les nuits à dormir dehors changent la vision des choses. Lorsque la vie nous sourit, nous devenons vite autonomes et oublions Dieu.

    Sur le plan spirituel, vous pouvez voyager sans carburant jusqu’à la venue d’une épreuve. Mais si le réservoir est vide, à qui la faute ? La station-service n’a pas bougé ! Vous avez choisi de ne pas vous arrêter !

    Lorsque vous roulez à vide, vous finissez par blesser vos proches et devez gérer la culpabilité qui suit la panne sèche. Dieu dit pourtant : "Je verserai de l'eau sur la terre qui a soif et des ruisseaux sur le terrain sec".

    Une action pour aujourd’hui

    Prenez votre Bible et faites le plein pour votre âme !

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Jésus-Christ a déjà traversé le château du géant Désespoir. il détient les clés de la mort et de l’enfer, et il a ouvert les portes. Alors, pourquoi des millions sont-ils là à transpirer, à essayer chaque truc possible Pour se débarrasser de leurs mauvaises habitudes et de leurs esclavages ? Ils deviennent membres de nouvelles sectes ou d’anciennes religions païennes, entendent de nouvelles théories, vont voir les psychiatres. Mais pourquoi ? Jésus libère les hommes. Il le fait sans cesse.

    C’est cela l’Évangile ! Vous ne prêchez pas à son sujet, ou ne présentez pas son contenu à la discussion. L’Évangile n’est pas un sujet de discussion. C’est une proclamation de délivrance. Le dialogue ? L’Évangile n’est pas ouvert à la modification. Il est obligatoire, c’est un édit royal et divin. Certains systèmes et certaines théories de délivrance sont des liens en eux-mêmes, pleins d’exigences et de devoirs continuels. Seul Jésus sauve.

    Je me souviens d’un homme qui me dit être un « conseiller spirituel ».

    Cependant, il ne croyait ni que Jésus-Christ fût le Fils de Dieu, ni que la Bible fût la Parole de Dieu. Par conséquent, je me demandai comment ce « conseiller » pouvait conseiller qui que ce soit. Je lui demandai : « Viennent-ils vous voir pour s’en aller ensuite avec des cœurs brisés ? ».

    « Oh, non », m’assura-t-il, « je les calme tout simplement ». Je le regardai dans les yeux et lui dis : « Monsieur, un homme sur un bateau qui coule a besoin d’autre chose que d’un tranquillisant. Ne lui donnez pas de comprimé, il est déjà comprimé. Quand Jésus vient vers un homme dans un naufrage, il ne lui lance pas un cachet de Valium en lui disant : « Meurs en paix ». Il tend sa main marquée par le clou, le saisit, le soulève et lui dit : « Je vis et tu vivras aussi ».

    C’est l’Évangile de Jésus-Christ qui doit être prêché. Jésus est le Sauveur de notre monde. Ce message est vie, paix et santé pour l’esprit, l’âme et le corps.

    Jérémy Sourdril

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  • Mais ces qualités qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte à cause de Christ. Et je considère même tout comme une perte à cause du bien suprême qu'est la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur. À cause de lui je me suis laissé dépouiller de tout et je considère tout cela comme des ordures afin de gagner Christ. Philippiens 3. 7, 8

     

    Beaucoup de gens suivent chaque jour avec attention les cours de la Bourse. Chacun d'eux fait aussi le bilan : combien ai-je gagné, combien ai-je perdu ?

    Dans les évangiles, Jésus Christ a posé cette question : "Que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ? Ou que pourra donner un homme en échange de son âme ?" (Matthieu 16. 26). Il nous invite ainsi à réfléchir sur le sens profond de notre vie. Quelles sont les vraies richesses pour nous ? Dans quelle mesure ce que je fais est-il un gain ou une perte ?

    Les richesses matérielles ou intellectuelles amassées sur cette terre sont passagères, la mort nous en privera définitivement. Dieu nous invite à nous faire un trésor dans le ciel, où rien ne peut être abîmé. "Faites-vous des bourses qui ne s'usent pas, un trésor inépuisable dans le ciel" (Luc 12. 33). Ces richesses-là ne sont pas matérielles mais bien meilleures. Elles sont spirituelles, et nous les possédons quand nous croyons en Jésus Christ. Il nous les a acquises par le sang qu'il a versé à la croix pour nous délivrer de notre culpabilité devant Dieu. Ce sang est bien plus précieux que l'argent ou l'or (1 Pierre 1. 18, 19). Et nous partagerons avec Jésus éternellement ses richesses morales : la justice, la paix, la joie. L'espérance d'être bientôt avec Jésus faisait dire à l'apôtre Paul que tout le reste n'avait plus de valeur pour lui.

    Source (La Bonne Semence)

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