• “Le point capital de ce qui vient d'être dit, c'est que nous avons un tel grand-prêtre, qui s'est assis à la droite du trône de la majesté divine dans le ciel.” Hébreux 8. 1

     

    « Je n’ai personne qui vienne me voir », pense cette dame âgée, isolée dans une maison de retraite.

    « Je n’ai personne qui peut comprendre mon chagrin », se dit cette jeune fille après une déception amoureuse.

    « Je n’ai personne avec qui partager », déplore cet homme, muté pour son travail dans une ville éloignée.

    « Je n’ai personne » : qu’elle soit formulée ou non, cette plainte trahit malheureusement la réalité de beaucoup de personnes dans un monde individualiste et égoïste.

    Quel contraste avec l’affirmation triomphante de l’auteur de l’épître aux Hébreux ! Dans les sept premiers chapitres de sa lettre, il développe les gloires de Jésus Christ, une Personne unique, à la fois Dieu et homme. Avant de mettre en évidence la gloire de l’œuvre qu’il a accomplie à la croix, l’auteur s’interrompt pour attirer l’attention de son lecteur : “le point capital… c’est que nous avons un tel grand prêtre”. C'est dire :

    – Quelqu’un de compréhensif : Dieu le Fils est devenu homme ; nous savons qu’il peut nous comprendre. Les épreuves que nous connaissons sur terre sont celles qu’il a connues et dont il a triomphé : c’est l’assurance de son secours (Héb. 2. 18 ; 4. 15).

    – Quelqu’un de parfait : les personnes qui nous sont proches nous déçoivent parfois ; nous avons l’impression qu’elles ne font pas ce qu’il faut à notre égard. Mais lui est ce “grand prêtre” qui nous “convenait,” car il “peut nous sauver entièrement” (Héb. 7. 25).

    – Quelqu’un de puissant : sa position actuelle, “à la droite du trône de la Majesté dans les cieux” en témoigne. Peut-on imaginer une chose qui lui soit impossible ?

    – Quelqu’un de proche : certes, Jésus est au ciel mais, avant d’y monter, il a dit : “Je suis avec vous tous les jours”. L’accès auprès lui est toujours ouvert.

    – Quelqu’un d’attentif : il intercède pour nous. C’est un de ses rôles principaux comme “grand prêtre”.

    Alors, nous qui connaissons ainsi Jésus, ne disons, ni ne pensons jamais : « Je n’ai personne » ; remercions plutôt notre Père en pensant que nous avons Quelqu’un qui nous aime.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "L'Éternel est mon berger..." Psaumes 23.1

     

    On raconte l'histoire de deux hommes, le premier est un acteur, et le second, un vieux pasteur. Un jour qu'une foule nombreuse était réunie pour une conférence, on demanda à ces deux personnes de conclure la réunion en récitant le célèbre Psaume 23.

    "Père, je veux te connaître beaucoup plus..."

    L’acteur, bien habillé et doté d'un phrasé éloquent, fit un récit majestueux qui lui valut les applaudissements nourris de la foule. Ensuite, vint le tour du pasteur âgé, fatigué par des années de consécration à son ministère. Il ne se sentait pas très à l’aise devant tant de monde, alors, il ferma les yeux, et se contenta de réciter lentement avec son coeur ce Psaume qu'il avait lu tant de fois, puis il quitta l'estrade. Il n’y avait plus un bruit dans la salle. Pas d'applaudissements, mais on vit de nombreuses personnes essuyer leurs larmes.

    À la sortie, un journaliste posa cette question à l’acteur : Monsieur, d'après vous, pourquoi tout le monde a applaudi lorsque vous avez récité le psaume 23, et pourquoi le même public a t’il pleuré quand ils ont entendu le pasteur réciter le même psaume ? L’acteur répliqua : et bien, c'est simple ! Moi je connaissais le texte, mais lui, il connaissait le berger.

    Et vous ? Il est certain que vous connaissez le Psaume 23. Toutefois, connaissez-vous le berger dont il y est question ? Ce Dieu fidèle, qui marche avec vous et ne vous lâchera jamais, qui pourvoit à vos besoins afin que vous ne manquiez de rien, qui vous donne du repos lorsque vous êtes blessé...

    Apprenez dès à présent à développer une relation riche et profonde avec Dieu. Prenez du temps pour prier, pour l'entendre vous parler, pour lire sa Parole et pour découvrir qui est véritablement votre berger !

    Une prière pour aujourd’hui

    Père, je veux te connaître beaucoup plus... Révèle toi à moi maintenant ! Au nom de Jésus. Amen

    Yannis Gautier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Il y aura un jugement pour ceux qui ont vécu dans la malhonnêteté dans ce monde. Cette attitude provoque en effet de nombreuses occasions de chute. Je me souviens qu’étant jeune, je parlais de Jésus à mes amis, mais j’étais aussi malhonnête qu’eux, si ce n’est plus. Je volais, je trichais, je convoitais, bref, je n’étais pas un modèle ! Et à cause de cela, mon témoignage perdait sa consistance et sa force. C’est parce que les apôtres étaient différents que leur parole était revêtue de force, « Dieu travaillant avec eux et confirmant leur prédication par les signes miraculeux qui l’accompagnaient » (Marc 16:20). Dieu travaille avec des honnêtes gens, et nous pouvons aisément le comprendre.

    Certaines personnes parlent de Jésus à leur travail, mais tous leurs collègues sont au courant qu’ils trafiquent comme eux leurs horaires, leurs impôts, etc. Tout le monde sait qu’ils vivent dans le compromis ou qu’ils sont corrompus. Tout le monde les a entendus se moquer de la dame de l’étage du bas qui sent mauvais, critiquer l’ouvrier qui a mal fait son travail et s’enorgueillir de choses immorales ou impures ! Nous ne pouvons pas nous permettre cela, non seulement à cause de notre amour pour Dieu, mais aussi à cause de l’amour de Dieu pour les perdus. Nous nous devons de vivre et de marcher comme des modèles, dans ce monde où les modèles deviennent rares. Nous ne pouvons pas nous présenter dans le monde revêtus d’un vêtement blanc qui pue le poisson !

    Cela me rappelle le vendeur de poissons dans la bande dessinée d’Astérix, dont les poissons sentaient apparemment très mauvais. Il avait beau dire qu’ils étaient frais et avoir une belle enseigne sur son magasin, l’odeur parlait plus fort que lui ! Parfois, notre odeur parle plus que nos paroles. « Nous sommes en effet pour Dieu la bonne odeur de Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent » (2 Corinthiens 2:15). Je ne suis jamais entré dans une parfumerie qui pue, et je n’ai jamais senti une bouse qui sentait la rose. Le parfum est censé sentir bon, et la bouse sentir mauvais. C’est ainsi. Quelle est votre odeur ?

    Jérémy Sourdril

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  • Vous savez comment Dieu a déversé une onction de Saint-esprit et de puissance sur Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient sous la domination du diable, parce que Dieu était avec lui. Actes 10. 38

     

    Il y a plus de 2000 ans, il s'est produit un événement qui a marqué l'humanité : la venue de Jésus Christ sur terre.

    Il est né comme un petit enfant. Les hommes ont été indifférents, mais les anges ont célébré sa naissance, accomplissement d'une prophétie vieille de plusieurs siècles (Michée 5. 2). Il est venu rétablir les relations de pais entre Dieu et les hommes.

    Il a mené une vie parfaite. Ceux qui vivaient à ses côtés ont été frappés par ses qualités et son comportement. Un de ceux qui l'ont mis à mort a déclaré : "Véritablement, cet homme était Fils de Dieu" (Marc 15. 39).

    Sa vie, ses paroles et ses nombreux miracles ont attesté que Jésus est Dieu, et donnent toute autorité aux vérités extrêmement importantes qu'il a annoncées :

    - Il y a deux chemins pour les hommes, celui de la vie éternelle et celui de la perdition éternelle.

    - Dieu aime tous les êtres humains, s'intéresse à chacun et aide ceux qui le lui demande.

    Si, durant sa vie, Jésus Christ a guéri un grand nombre de malades, il a surtout voulu sauver de la mort éternelle chacun de nous. Pour cela, sa vie parfaite ne suffisait pas, il a dû mourir. En subissant  notre place le châtiment que méritaient nos péché, il a démontré son amour pour nous.

    Finalement, sa vie, ses paroles, ses actes, sa mort même et sa résurrection, tout a démontré qu'il était Dieu fait homme, venu pour nous sauver. Il incombe maintenant chacun de chercher à le connaître en lisant la Bible, de mettre sa confiance en lui, de l'aimer, de lui obéir, de le servir, et de l'adorer.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Maintenant, fortifie-toi, Zorobabel ! déclare l'Éternel. Fortifie-toi, Josué, fils de Jotsadak, grand prêtre ! Fortifie-toi, peuple entier du pays, déclare l'Éternel, et travaillez, car je suis moi-même avec vous, déclare l'Éternel, le maître de l'univers. Conformément à l'engagement que j'ai conclu avec vous quand vous êtes sortis d'Égypte, mon Esprit est au milieu de vous. N'ayez pas peur !" Aggée 2. 4, 5

     

    Sur la vive exhortation d’Aggée, “messager de l’Éternel”, après deux ans de suspension des travaux, les Israélites reprennent la reconstruction du temple de Jérusalem, entraînés par Zorobabel, prince de Juda et Joshua, le souverain sacrificateur. Cependant, seize ans auparavant, à la pose des fondements, certains d’entre eux s’étaient répandus en pleurs : ils comparaient la modicité du nouvel édifice commencé avec la splendeur disparue du temple de Salomon (Esd. 3. 12).

    C’est pourquoi, à la reprise du travail, Dieu les stimule par deux “sois fort” adressés à Zorobabel et à Joshua et un “soyez forts” à tout le peuple du pays.

    Pour appuyer ces exhortations, Dieu leur rappelle trois bases essentielles de cette force dont ils auront besoin pour achever la reconstruction du temple. Ce sont sa présence, sa Parole et son Esprit. On sait le prodigieux résultat de cette promesse sur le zèle des Israélites. En quatre ans seulement, le temple est terminé, car “les anciens des Juifs bâtirent et prospérèrent par la prophétie d’Aggée” (Esd. 6. 14).

    L’exhortation d’Aggée est toujours actuelle. La construction de chaque assemblée chrétienne est un enjeu perpétuel au fil des générations. Chacun de ses membres y a sa part : “sois fort”. Chaque assemblée chrétienne, vue dans son ensemble, est responsable de sa propre croissance : “soyez forts”.

    Les ressources mentionnées par Aggée n’ont pas changé :

    1. Le Seigneur est avec nous. Nous croyons à sa promesse et nous proclamons la réalité de sa présence au milieu des siens (Matt. 28. 20 ; 18. 20).

    2. La parole de la grâce de Dieu a toujours la puissance d’édifier (Act. 20. 32)

    3. L’Esprit Saint nous a été maintenant “envoyé” par notre Père : il “demeure” et “habite” en nous, individuellement comme dans l’Église (Jean 14. 26 ; Jac. 4. 5, Rom. 8. 11 ; 1 Cor. 3. 16).

    L’état spirituel de notre assemblée locale nous paraît-il bien loin des modèles que nous avons eus ? Les ressources divines sont disponibles ! Par Aggée, Dieu nous encourage encore : “Montez à la montagne et apportez du bois (évangélisation), et bâtissez la maison (édification) ; et j’y prendrai plaisir et je serai glorifié (adoration)” (Agg. 1. 8).

    Source (Plaire au Seigneur)

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