• Et d'après vous, qui suis-je ? leur demanda-t-il. Marc 8.29

     

    Qui est Jésus pour vous ? Si on pose la question à nos contemporains, et même à d’éminents théologiens, nombre d’entre eux diraient que Jésus a été et demeure l’un des hommes les plus remarquables de tous les temps. Plusieurs pourraient encore citer quelques faits édifiants de sa vie ou des paroles fortes de son enseignement. Mais sans pouvoir ou… sans vouloir aller plus loin !

    Quand Jésus dit à un paralytique : Tes péchés te sont pardonnés (Luc 5.20), les pharisiens s’offusquent et se demandent : Qui est donc cet homme qui prononce des paroles blasphématoires ? Qui peut pardonner les péchés, si ce n’est Dieu seul ?

    Quand Jésus le répète à une femme à la vie dissolue, les gens s’interrogent à juste titre : Qui est cet homme qui pardonne même les péchés ? (Luc 7.49)

    Les disciples ont vécu avec Jésus pendant plusieurs mois. Ils ont été touchés par son enseignement et ses miracles. Mais quand, secoués dans la barque en pleine tempête, ils implorent Jésus, ils sont pourtant stupéfaits de voir que les éléments se calment à sa voix : Qui est donc cet homme ? Il donne des ordres même au vent et à l'eau, et ils lui obéissent (Luc 8.25).

    À cette question une seule réponse s’impose : cet homme est véritablement le Fils de Dieu, Dieu qui se révèle à nous en devenant notre semblable. Comment dès lors demeurer indifférent au message que Dieu nous adresse à travers lui ?

    Bernard Grebille

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 5, versets 20 à 26.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Ce Jésus qui a été enlevé au ciel du milieu de vous reviendra de la même manière que vous l'avez vu aller au ciel. Actes 1. 11

    En effet, le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel et ceux qui sont morts en Christ ressusciteront d'abord. 1 Thessaloniciens 4. 16

     

    "Je reviendrai et je vous prendrai avec moi" (Jean 14. 3). Pour les chrétiens, cette promesse du Seigneur Jésus est encourageante et réjouissante au plus haut point. Au milieu d'un monde insouciant, ils attendent le retour de leur Maître. Beaucoup de non-croyants se moquent des vérités de la Bible et ironisent : "Où est la promesse de son retour ?" (2 Pierre 3. 4). Cependant, les années passent et nous rapprochent de son accomplissement.

    "Voici, je viens bientôt" (Apocalypse 22. 7). Jésus le Sauveur revient pour prendre tous ceux qui auront placé leur confiance en lui et pour les introduire avec lui dans une éternité de bonheur. Les croyants décédés ressusciteront d'abord et seront enlevés, en même temps que ceux qui seront encore en vie, à la rencontre du Seigneur dans les airs (1 Thessaloniciens 4. 17). Cet événement saisissant et solennel aura lieu en un instant, en un clin d’œil (1 Corinthiens 15. 52), et passera inaperçu aux yeux de ce monde. Comme l'ascension du Seigneur n'a été vu que par ses disciples (Luc 24. 51). Il en sera de même lorsqu'il viendra chercher les siens.

    Pour ceux qui constateront après coup la disparition de leurs amis ou voisins chrétiens, ce sera alors trop tard pour se mettre en règle avec Dieu. Mais aujourd'hui c'est encore le temps de la grâce, "Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme certains le pensent : au contraire, il fait preuve de patience envers nous, voulant qu'aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance" (2 Pierre 3. 9).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Jésus leur dit : C'est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim et celui qui croit en moi n’aura jamais soif.” Jean 6. 35

     

    – Moi, je suis le pain de vie, mais il eut faim et refusa de transformer les pierres en pain (Jean 6. 35 ; Matt. 4. 1-4).

    – Moi, je suis le pain vivant, mais le pain que nous partageons aujourd’hui est signe de sa mort, de son corps donné pour nous (Jean 6. 51 ; Luc 22. 19).

    – Moi, je suis la lumière, mais il a connu les ténèbres quand il est entré dans les heures de l’abandon (Jean 8. 12 ; Lam. 3. 2).

    – Moi, je suis la porte, mais il est sorti de la ville par celle qui menait à Golgotha (Jean 10. 7 ; 19. 17)

    – Moi, je suis le bon berger, mais il a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent (Jean 10. 11 ; Es. 53. 7).

    – Moi, je suis la résurrection, mais son corps a été déposé dans une tombe (Jean 11. 25 ; 19. 38-42).

    – Moi, je suis le chemin, mais celui qu'il a lui-même emprunté menait à Golgotha où il a été crucifié, au vu et au su de tous ceux qui passaient par là (Jean 14. 6 ; Marc 15. 29, 30).

    – Moi, je suis la vérité, mais ceux qui n'ont jamais pu le mettre en défaut ont réclamé sa mort (Jean 14. 6 ; Matt. 26. 59-68).

    – Moi, je suis la vie, mais il a laissé sa propre vie, afin que beaucoup d’hommes et de femmes puissent recevoir la vie éternelle par la foi (Jean 14. 6 ; 10. 11, 17, 18).

    – Moi, je suis le vrai cep, mais la vigne de son peuple a dégénéré pour ne produire que du mauvais raisin (Jean 15. 1 ; Es. 5. 2).

    – Il est descendu du ciel, mais il a été élevé sur la croix, suspendu entre terre et ciel (Jean 6. 38 ; 3. 14).

    – Il est la source de l’eau de la vie, mais sur la croix, il a eu soif (Jean 4. 10-14 ; 19. 28).

    – S’il a été élevé sur une croix, il reste le centre d’attraction donné à tous les hommes (Jean 12. 32).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Il parle et la chose arrive…" Psaumes 33.9

     

    Novembre 2012 fut particulier et riche en émotions. Ce mois-là, nous votions à l’Église Bordeaux Rive Droite notre projet d’agrandissement et par conséquent notre prêt immobilier. Cela nous engageait sur des centaines de milliers d’euros. Nos frais fixes devenaient très importants.

    "Peu importe quand et comment, soyez certain qu’il agira."

    À la fin du mois, le comptable m’appela pour me dire que les offrandes de novembre étaient les pires de l’année et que si cela persistait, alors nous irions droit dans le mur… Après avoir raccroché, je priais instamment en demandant à Dieu que d’ici la fin de la journée le comptable puisse me rappeler en me disant qu’un chèque incroyable était arrivé. Deux heures plus tard, mon téléphone portable sonna en laissant apparaître le numéro de mon comptable… Wow, me suis-je dit, Dieu tu es trop fort. Je décrochais et là il me dit : « Et surtout ne fais plus de chèque ! » 

    J’étais triste car nous allions rentrer dans décembre avec tout son lot de défis. Ce dernier mois est pour nous très important parce que nous avons l’habitude d’offrir une belle journée aux enfants de l’église et du quartier. Notre parking se transforme alors en fête foraine avec structure gonflable, barbe à papa, etc. Puis, nous avons notre repas pour les bénéficiaires de la banque alimentaire. L’église est transformée en salle de restaurant afin d’offrir un Noël à ceux qui n’en ont pas les moyens. Tous les enfants reçoivent un cadeau. Bref, c’est beau, c’est touchant, c’est émouvant mais…. ça coûte de l’argent ! Donc le « Surtout tu ne fais plus de chèque ! » devenait pour moi très pesant et lourd de sens en pensant aux activités en prévision.

    Le dimanche suivant, après avoir recueilli l’offrande hebdomadaire, je prêchai à l’assemblée en donnant le témoignage que je venais de vivre. J’encourageai l’auditoire à croire que Dieu est capable de nous surprendre. À la fin de la réunion les compteurs de l’offrande vinrent me trouver tout affolés. Ils me dirent : « il y a un chèque mais, nous croyons que c’est une erreur. Une personne a donné plus de 50 000 €, certainement qu’elle voulait écrire 5 000 € ! » Bref, un coup de téléphone plus tard, et le montant s’avéra exact !

    J’étais scotché par la surprise de Dieu. L’année 2012 fut pour l’église une année record. Gloire à Son Nom. Faites-lui seulement confiance et croyez qu’il est capable d’agir puissamment en son temps. Peu importe quand et comment, soyez certain qu’il agira.

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, je prie qu’en ce jour tu puisses m’étonner, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « À cause de la progression du mal, l'amour du plus grand nombre se refroidira » (Matthieu 24:12).

     

    La progression du mal sur la terre a fait en sorte que les gens ont endurci leur coeur et sont devenus de plus en plus égoïstes et indépendants. Il n’est pas rare d’entendre parler ici et là de « non-assistance à personne en danger ». J’ai entendu à plusieurs reprises des faits divers, qui mentionnaient l’histoire d’un homme qu’on a battu sans que personne ne fasse quoi que ce soit. Le mal progresse et il est communiqué dans les médias, les films, la musique, les réseaux sociaux… 

    Cette publicité du mal a refroidi le coeur des gens, qui sont alors devenus de plus en plus méfiants. Aussi, la haine appelle la haine, elle fait naître la haine et la colère. Le mal qui s’accroît dans le monde a fait se développer dans les cœurs de l’amertume, de la colère et de l’irritation. La plupart des gens n’en ont pas grand chose à faire que leurs voisins soient malheureux et sans emploi ou qu’il leur manque à manger. La plupart des gens ne ressentent aucun sentiment à la vue d’un homme qui mendie. Pourquoi ? Car l’amour du plus grand nombre s’est refroidi.

    Autrefois, lorsqu’un inconnu arrivait dans une ville, on l’accueillait avec joie et on lui proposait même de le loger. Mais le mal s’est accru, quoi qu’on en dise. Le mal existait déjà mais aujourd’hui il est présent partout et avec beaucoup plus de force. Cependant, ce mal ne devrait pas nous mettre en colère et nous irriter. Il ne devrait pas nous rendre insensibles aux besoins des gens. Nous devrions au contraire aller à l’opposé du monde, et notre amour ne devrait cesser de grandir pour les perdus. Je ne sais pas si vous avez dans votre coeur une forme d’irritation contre « les gens du monde », mais je vous encourage à l’abandonner si c’est le cas. Ne soyez pas irrité contre le méchant. « Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui, ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses entreprises, contre l’homme qui réalise ses méchants projets ! Laisse la colère, abandonne la fureur, ne t’irrite pas : ce serait mal faire » (Psaumes 37:7-8).

    Jérémy Sourdril

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