• Celui qui méprise la parole se perd, mais celui qui craint le précepte est récompensé. Proverbes 13.13

     

    On peut mépriser la Parole de Dieu de diverses manières. Certains, les plus profanes, ne lui prêtent aucune attention. Ils estiment ne pas en avoir besoin. Ils la considèrent comme une nécessité pour des faibles. Ils n’ont pas la moindre idée de sa noblesse, de sa hauteur. Ni de leur terrible dépendance à son égard pour leur propre vie ! D’autres, qui paraissent plus sérieux, la lisent et l’écoutent. Mais, aussitôt après, ils l’oublient. Ne la mettant pas en pratique, ils ne la laissent exercer aucune influence transformatrice sur leur existence. Seul celui qui prend la Parole de Dieu pour ce qu’elle est, une parole qui vient de Dieu, en connait le bienfait pour sa vie.

    Il ne suffit pas d’avoir la Bible chez soi ou avec soi pour être au bénéfice de son message. Les effets bienheureux de la parole de Dieu ne se font sentir que dans la vie de celui qui y obéit, comme un serviteur le fait envers son maître. Il n’y a que deux attitudes possibles avec la Parole de Dieu. Ou nous nous plaçons au-dessus d’elle, et nous la rendons caduque. Ou elle a autorité sur nous, et alors elle porte du fruit.

    Gilles Georgel

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    Lecture proposée : Lettre de Jacques, chapitre 1, versets 22 à 25.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • “Nebucadnetsar, il n’est pas nécessaire que nous te répondions sur ce sujet. S’il en est comme tu dis, notre Dieu que nous servons peut nous délivrer de la fournaise de feu ardent, et il nous délivrera de ta main, ô roi ! Et sinon, sache, ô roi, que nous ne servirons pas tes dieux, et que nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as dressée.” Daniel 3. 16-18

     

    Ces paroles sont adressées par Shadrac, Méshac et Abed-Nego, amis de Daniel, à Nebucadnetsar, le roi d’Assyrie. Au début de leur déportation, ils avaient été choisis pour être élevés à la cour du roi. Ils avaient déjà dû prendre position pour Dieu. Pour ne pas se souiller avec les mets raffinés du roi, ils avaient demandé, au risque de leur vie, de ne pas en manger.

    Les occasions de prendre position pour Dieu n’avaient pas dû manquer, au fil des années, dans le monde païen où ils avaient été élevés à de hautes fonctions d’État (Dan. 2. 49). Mais maintenant, c’est l’épreuve suprême de leur foi ; ils se trouvent, sans Daniel, devant un choix crucial : ou bien adorer l’immense statue de 30 m que Nebucadnetsar a dressée ou bien mourir brûlés vifs.

    Leur réponse succincte à Nebucadnetsar montre à la fois leur respect absolu des commandements de Dieu et une entière confiance en lui. Ils n’argumentent pas. Ils refusent même de discuter. On ne négocie pas la fidélité à Dieu. Sans la moindre hésitation, ils prennent de nouveau position pour Dieu. Et ils sont miraculeusement délivrés, à la gloire de Dieu (Dan. 3. 19-30).

    Par la grâce de Dieu, il y a une grande liberté dans beaucoup de pays pour exprimer sa foi. Pourtant nous pouvons nous trouver dans des circonstances où il faut prendre position pour Christ. Il y a des paroles que nous ne pouvons pas laisser dire sans exprimer notre désaccord. Il y a des comportements qui ne sont pas répréhensibles devant la loi, mais qui mettent pourtant notre conscience mal à l’aise. Nous avons parfois dû refuser certaines propositions d’association qui nous auraient placés dans la dépendance d’autrui. Ce sont autant d’occasions de prendre position pour Christ.

    Prenons exemple sur ces trois jeunes témoins déterminés à rester fidèles à Dieu. En exposant leur vie, ils ont su démontrer au plus puissant des rois de la terre la réalité de leur foi et lui rendre leur Dieu visible (Dan. 3. 25, 28).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • Il y a autant de distance entre ma façon d’agir et la vôtre, entre ce que je pense et ce que vous pensez, qu’entre le ciel et la terre. Ésaïe 55.9

     

    Beaucoup de chrétiens ont du mal à garder la foi lorsqu’ils prient pour quelque chose et qu’ils ne voient pas leurs prières se réaliser au bout de quelques jours. Ils pensent ceci : "Ma foi ne doit pas fonctionner ! Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ?"

    Lorsque Dieu vous dit quelque chose, vous devez le croire...

    Le problème, c'est qu’ils considèrent les choses de leur point de vue, et pas de celui de Dieu. Les pensées, les idées et les points de vues divins sont bien plus élevés que les nôtres !

    Lorsque Dieu vous dit quelque chose, vous devez le croire car son timing est parfait. Saviez-vous que Jésus avait prophétisé la chute du temple de Jérusalem quarante ans avant que cela n’arrive ? Quelqu’un qui aurait lu cette prophétie, deux semaines, deux mois ou deux ans après qu’il l’eût prononcée, aurait pu penser : "c’est un faux prophète !". Quarante ans plus tard, cela s’est réalisé exactement comme Jésus l’avait prédit. Ne mettez pas Dieu dans la boîte de votre timing. Il voit bien plus loin que nous et opère sur un créneau horaire totalement différent du nôtre. Tout ce qu’il dit se réalisera. Ses pensées sont bien plus grandes que les nôtres.

    Une action pour aujourd’hui

    Les voies de Dieu sont bien plus élevées et bien meilleures que les nôtres. Priez et continuez à croire. Ne limitez pas Dieu à vos idées ou à votre agenda. Proverbes 3.5 nous rappelle ceci : "Ne te fie pas à ta propre intelligence, mais place toute ta confiance dans le Seigneur."

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • Mon corps n’était pas caché devant toi lorsque j’ai été fait dans le secret… Je n’étais encore qu’une masse informe, mais tes yeux me voyaient. Psaume 139.15-16

     

    Lorsqu’un bébé s’annonce dans des conditions particulièrement difficiles, que faire ? Le garder… pour qu’il ait une vie faite de souffrance ?

    Un professeur de médecine a soumis un jour à ses élèves l’étude de cas suivante :

    « Un homme est brutal et alcoolique, et il a la syphilis. Sa femme est dépressive et tuberculeuse. Leur premier enfant est mort en bas âge. Ils sont pauvres. La mère est enceinte d’un nouvel enfant. Que recommanderiez-vous ? »

    La majorité des étudiants recommandèrent un avortement.

    « Eh bien, dit le professeur, vous venez de tuer… Ludwig van Beethoven ! »

    Notre jugement sur la valeur de la vie est très relatif. Nous pensons savoir quelles conditions permettent d’être épanoui et heureux. Avouons qu’il était difficile de croire que l’enfant puisse devenir un génie dont un des morceaux – l’Hymne à la joie – deviendrait l’hymne européen !

    La lecture proposée est un psaume qui célèbre précisément la joie, celle de savoir que Dieu connaît toute notre vie, depuis notre conception (Psaume 139.14). Sa grandeur nous dépasse (Psaume 139.17). Il a des projets bienveillants pour nous.

    Quel sujet de joie ! Les situations de la vie peuvent toutes sembler contre moi. Mais chaque jour, à mon réveil, ce grand Dieu qui a créé l’Univers est avec moi (Psaume 139.18).

    Jean-Louis Théron

    __________________

    Lecture proposée : Psaume 139.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • Connaissez-vous l’ennemi public n°1, celui qui veut la mort de tout être humain ? Il est le meurtrier dès le commencement. Rusé comme pas un, il attire ses proies par le mensonge, leur faisant croire au bonheur, à la prospérité, à la réussite... alors qu’aucun bonheur n’est possible sur terre tant qu’il ne sera pas arrêté.

    Sa première victime a été une femme qu’il a attirée par la ruse. Cet affreux menteur lui a promis des choses extraordinaires et, par la séduction, la tentation et la convoitise, il a réussi à lui injecter un venin mortel qui se transmet sur toute sa descendance, de génération en génération. 

    Contre lui devrait se former la ligue universelle de ceux qui veulent vivre. Rien ne parait plus triste, dans ce monde, que l’abdication des hommes devant leur ennemi. Ni les fausses religions et leurs rites si vides, ni l’irréligion et ses stupides plaisanteries, ni les philosophes, ni les savants, ni même les anarchistes ne semblent voir que la clé du bonheur est là : détruire l’Assassin ! On a bien arrêté des tueurs, des chefs d’organisations terroristes qui font des milliers de morts, mais de cet ennemi public n°1, le monde ne s’en soucie guère. Beaucoup l’ignorent et vont jusqu’à prétendre qu’il n’existe pas alors qu’ils savent qu’un jour ou l’autre ils en seront les victimes. Alors, qu’est-ce que la vie, je vous le demande et à quoi bon se passionner pour le progrès, pour la justice, pour des idées, puisque, tout à l’heure, il nous faudra aussi expirer et descendre dans une fosse, accompagnés par les larmes impuissantes de nos bien-aimés qui, eux aussi, seront victimes de l’ennemi public n°1 ?

    Et voilà pourquoi je suis chrétien, dans le seul sens où ce mot doit être pris, c’est-à-dire : disciple de Jésus-Christ. Lui est le seul ayant osé affronter et vaincre ce grand ennemi. Il a résisté à toutes ses tentations et quand il est entré dans la mort, cet ennemi cruel a dû ricaner, pensant avoir réussi son coup comme il réussit pour chaque être humain, mais c’est lui qui a été vaincu ! En effet, Celui qu’il croyait être sa victime est sorti victorieux la mort, la mort dans laquelle il est entré justement pour nous en délivrer.

    Ce grand Vainqueur de l’ennemi public n°1 peut donc maintenant nous promettre qu’un jour, bientôt, la Mort ne sera plus (Apocalypse 21 v.4) et il donne, dès maintenant, la vie éternelle à tous ceux qui lui font pleine confiance. 

    Par sa mort et sa résurrection, Jésus-Christ rend impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort (Hébreux 2 v.14). L’ennemi public n°1 ainsi que le monde dont il est le prince est inexorablement condamné, et si la patience de Dieu se prolonge à son égard, c’est pour que la bonne nouvelle de Jésus Christ, le grand Vainqueur, continue d’être annoncée pour le salut de tous ceux qui croient.

    Connaissez-vous le nom de cet ennemi public n°1, ce meurtrier et père du mensonge auquel ne croient plus ceux qui sont ses victimes : triomphe de son habileté ! C’est Satan, le diable, et le venin qu’il a injecté à toute l’humanité s’appelle le péché qui mène à la mort. « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur », le Grand Vainqueur (Romains 6 v.23)

    Vous tous qui portez aux cimetières des fleurs accompagnées de vos pleurs, de vos regrets, de votre révolte peut-être, levez la tête ! Ne vous résignez pas au fatalisme, ne prenez pas votre parti de la mort. N’abdiquez pas devant elle. Ne dites pas : « C’est l’irréparable, l’inévitable, l’ultime défaite qu’il faut accepter. » 

    Non, non ! Levez vos yeux vers le Christ : Celui qui est maintenant élevé au plus haut des cieux a vaincu, à la croix, la mort et celui qui en avait le pouvoir, le diable. Un jour, il tirera tous les morts de leurs sépulcres. Ah ! Pour que votre corps ressuscite en gloire et pour que vous connaissiez la Vie, la vraie vie, la vie éternelle, acceptez aujourd’hui et croyez en Jésus le puissant Vainqueur qui veut être votre Sauveur.

    « Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle » 

    (Jean 3 v.36)

    « Je suis la résurrection et la vie, vous dit-il ;

    celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; 

    et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra jamais.

    Crois-tu cela ? » 

    (Jean 11 v.25-26)

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