• "Dieu créa l'homme à son image." Genèse 1. 27

    "Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous et que vous avez de Dieu ?" 1 Corinthiens 6. 19

     

    Une jeune adulte me disait un jour son mal-être : mal dans sa peau et dans son corps, elle ne s'aimait pas. Je lui ai alors suggéré de répéter le marin devant son miroir : J'ai été créée à l'image de Dieu. Elle m'a regardé de façon un peu bizarre, on ne lui avait sans doute jamais dit une chose pareille !

    Nous nous exhortons souvent à nous aimer les uns les autres, et en effet c'est important puisque c'est le commandement "nouveau" donné par le Seigneur ! Mais peut-on aimer son frère quand déjà on ne s'aime pas soi-même ? L'estime de soi inclut l'aspect physique, ainsi que les capacités qui nous ont été données.
    J'aimerai vous exhorter à vous aimer vous-mêmes, à prendre soin de vous, à considérer quelle valeur vous avez aux prix de Dieu. Car Dieu a créé chacun de nous à son image. Imaginons un styliste en train de croquer l'esquisse de son prochain modèle ; s'il se dessine lui-même, le résultat sera flagrant : le mannequin qui plus tard défilera aura le « look » du styliste lui-même ! Nous sommes faits à la ressemblance de Dieu (Jac. 3. 9). Alors penser qu'on n'est pas (ou « pas assez ») beau, doué, ou autre, n'est-ce pas une insulte au Créateur ? Est-ce qu'on ne sous-entend pas qu'Il a « raté » son ouvrage ! Ces pensées négatives affecterons nos actes et nos paroles.
    Il n'est jamais trop tard pour commencer à s'aimer soi-même, car notre corps est le temple du Saint Esprit ! Ce n'est pas rien ! Quand on voit avec quel soin la Bible nous décrit la beauté du temple de Salomon, je crois que rien n'est trop beau pour accueillir l'une des personnes divines !
    S'aimer soi-même, c'est prendre soin de soi, en toute simplicité. C'est respecter son corps, en l'écoutant quand il dit « stop » en ayant une saine hygiène de vie, sans sédentarité ni hyperactivisme. C'est prendre soin de sa santé : en effet, j'aime cette notion qu'on naît avec un certain « capital santé », qui certes n'est pas le même pour chacun. Veillons à ne pas e gaspiller par nos excès.
    C'est aussi sans orgueil, savoir reconnaître nos capacités et les utiliser au service du Seigneur ou de notre prochain : on pourra alors mettre en pratique le "Aimez-vous les uns les autres".
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus ; car la loi de l'Esprit de vie dans le Christ Jésus m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. Romains 8. 1, 2

     

    “Ces murs sont vraiment bizarres. D'abord, tu les détestes, puis tu t'habitues à eux. Et au bout d'un certain temps, tu en deviens dépendant”. C'est de cette façon qu'un détenu décrit son accoutumance aux murs de sa prison. N'en est-il pas de même quand nous acceptons de faire le mal ? La première fois, nous faisons taire notre conscience. Puis nous essayons de cacher notre faute, car au fond nous savons que ce que nous avons fait est mal. Nous avons honte, nous sommes comme irrités contre nous-mêmes.

    Et si nous retombons dans le même travers, au bout d'un certain temps, nous voilà prisonniers. L'habitude nous conduit à être à l'aise avec le péché. Finalement, nous en devenons dépendants. Le jour où nous sommes pris dans cet engrenage, nous perdons notre vraie liberté.

    Mais Dieu désire nous libérer de cette puissance du péché. Il a donné pour cela son Fils, Jésus Christ. Lui, le seul juste, le seul homme sur la terre qui n'ait jamais connu le péché, a porté à notre place sur la croix la condamnation que nous méritions. Il est mort et il a donné sa vie pour moi. Pour être délivré du péché, j'ai le droit de me considérer comme mort avec lui, et vivant pour lui.

    Ne nous habituons pas au péché ! Notre désir de faire le bien ne suffit pas. Il faut confesser nos fautes à Dieu, simplement, et trouver en lui pardon, paix et pleine liberté ; alors la force de résister au mal nous sera donnée. Le Christ est venu faire de nous des hommes libres, affranchis du péché (Galates 5. 1). Mettons notre confiance en lui. Il est le Sauveur, le seul Sauveur.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Car notre Dieu, c’est lui, nous sommes le peuple dont il est le berger, le troupeau que sa main conduit. Aujourd’hui, puissiez-vous entendre ce qu’il dit : Ne refusez pas de comprendre…” Psaumes 95.7-8

     

    Papa vient vous voir bientôt ! C'est sur ces quelques mots que nous avons quitté mon père à l'aéroport d'Abidjan pour prendre mon grand frère et moi la direction de la France. Nous étions tristes de nous séparer, néanmoins la promesse qu'il nous avait faite de venir nous rejoindre rapidement, venait réconforter notre cœur d'enfant.

    Dieu est le maître des temps et sa volonté devrait être une priorité pour chacun de nous.

    A cet instant, si vous m'aviez dit que mon père arriverait en France des années plus tard afin de pleurer devant la tombe de son fils aîné je ne l'aurais pas cru. Et pourtant !

    Demain j'irai voir mes enfants. C'est ce qu'il s'est dit pendant 25 années. Mais, la réalité c'est que parfois demain n'arrive jamais. “Ne te vante pas du lendemain, Car tu ne sais pas ce qu'un jour peut enfanter”. Proverbes 27.1

    Savez-vous que vous êtes une priorité pour Dieu ? Et tout ce qui vous concerne de près ou de loin est d'une portance capitale pour lui. Aujourd'hui, il y a peut-être certaines choses qu'il vous demande d'effectuer et qui à vos yeux ne sont pas d'une grande importance, résultat vous les repoussez à demain.

    “C'est pourquoi, selon ce que dit le Saint-Esprit: Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs” Hébreux 3.7-8

    Lorsque Dieu nous fait entendre sa voix cela n'est jamais en vain. Il est notre berger, celui qui nous guide. Il est donc important de mettre en application tout de suite ses directives. Il n'est pas question, de se soustraire ou de chercher à évaluer nos capacités afin de savoir si nous sommes prêts ou pas, mais plutôt de s'appuyer sur lui pour les accomplir. “C'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir.” Philippiens 2.13

    Etes-vous prêt aujourd'hui à lui faire confiance ? A ne pas balayer ce qu'il vous demande de faire maintenant ? Il est le maître des temps et sa volonté devrait être une priorité pour chacun de nous. “Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.” Psaumes 119.105

    Une action pour aujourd'hui !

    Seigneur, je décide aujourd'hui d'appliquer ta parole. Au nom de Jésus. Amen  

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • "Je t'ai laissé en Crète, pour que tu mettes en bon ordre ce qui reste à régler, et que, dans chaque ville, tu établisses des anciens comme je te l'ai ordonné." Tite 1. 5

     

    Peu de temps après avoir quitté la Crète, l'apôtre Paul écrit une lettre à Tite pour lui donner les directives nécessaires à l’œuvre difficile qu'il lui a confiée. La mauvaise réputation des Crétois, d'après l'un de leurs propres poètes, était proverbiales (Tite 1.5). Cette île, grande populeuse, connue comme « l'île des cent villes », avait été célèbre dans l'Antiquité pour sa civilisation avancée. Mais plus tard, les Crétois s'étaient pervertis et l'île était devenue un repaire de pirates. Les Grecs avaient même forgé un verbe (kretizein) à partir de leur nom, qui signifiaient mentir et tricher. Mais Paul ne veut pas laisser les Crétois à leur sort. L'Évangile peut transformer tout homme et la grâce le conquérir.

    Paul ne cache rien à Tite des difficultés de la tâche délicate qu'il lui confie : mettre en ordre les choses qui restent à régler dans les assemblées qu'il a créées et y établir des anciens - d'autant plus qu'il y avait "beaucoup d'insubordonnés vains discoureurs et séducteurs, surtout ceux de la Circoncision" (Tite 1. 10). Tite est averti, mais il avait été préparé.
    Au cours des années précédentes, l'apôtre avait formé Tite, son fils spirituel (Tite 1. 4). Tite avait marché dans le même esprit et sur les mêmes traces que Paul (2 Cor. 12. 18) ; Paul l'appelle son frère (2. 13), puis le qualifie d'associé et de compagnon d’œuvre (2 Cor. 8. 23). Tite avait aidé à mettre de l'ordre dans les affaires épineuses de l'assemblée à Corinthe et à régler les abus. Il avait également été responsable de la collecte pour les pauvres de Jérusalem (2 Cor. 8. 6, 16). Ces missions avaient réclamé tact, intelligence spirituelle et zèle. Tite était l'homme des situations difficiles.
    Reconnaissant ses compétences, Paul le choisit pour la tâche importante à accomplir en Crète avant l'arrivée d'Apollos et de Zénas.
    Tite avait reçu une information à la mesure du service que Dieu lui confiait par l'intermédiaire de Paul. Surtout il avait le Seigneur à son côté pour l'aider à mener à bien sa tâche confiée.
    L'histoire de Tite montre que Dieu nous prépare, parfois pendant plusieurs années, et nous équipe pour le service spécifique auquel il nous appelle. Dieu donne ce qui est nécessaire pour faire ce qu'il ordonne !
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Dieu créa l'homme à son image ; il le créa à l'image de Dieu ; il les créa homme et femme. Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Fructifiez, et multipliez, et remplissez la terre et assujettissez-la ; et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur tout être vivant qui se meut sur la terre. Genèse 1. 27, 28

     

    Nous voulons aborder ici, à la lumière de la Bible, le sujet du mariage, sujet souvent débattu. Rappelons-nous que l'auteur de ce Livre n'est autre que le Créateur. Dieu a d'abord créé l'univers, puis introduit toutes les espèces vivantes sur la terre, et enfin il en a confié l'intendance à l'être humain, créé le sixième jour, homme et femme. Dans un même acte qui nous montre aussi bien sa sagesse que son amour, il a façonné l'homme, a constaté qu'il n'était pas bon pour l'homme d'être seul, et lui a aussitôt donné “une aide qui lui corresponde”, la femme (Genèse 2. 18). Une traduction plus littérale de l'expression employée dans le texte original hébreu pourrait être : “un secours, comme un vis-à­-vis de lui”, tournure qui exprime que les deux personnes qui composent le couple sont de nature identique et parfaitement adaptées l'une à l'autre, complémentaires.

    Dès l'origine, et en tout temps, l'intention de Dieu quand il fait naître l'amour entre un homme et une femme est de leur faire partager un bonheur intime, dans une communion spirituelle, affective et physique. Cela ressort du texte biblique fondateur du mariage : “L'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils seront une seule chair” (Genèse 2. 24).

    C'est dans le cadre de cette union, publiquement déclarée de manière civile ou religieuse (selon les pays et les époques), que Dieu a toujours voulu bénir les couples et les familles qui forment la trame des sociétés.

    (suite vendredi prochain)

    Source (La Bonne Semence)

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