• "Tous les chevaux, les chars du pharaon, et ses cavaliers et son armée, les atteignirent campés près de la mer... et les fils d'Israël eurent une grande peur..."
    "Moi... je me glorifierai dans le pharaon et en toute son armée, en ses chars et en ses cavaliers ; et les Égyptiens sauront que je suis l'Éternel." Exode 14. 7-17

     

    Si la Parole de Dieu relate que le pharaon possédait "six cents chars d'élite" en plus de "tous les chars de l'Égypte", c'est bien pou mettre en évidence la puissance destructrice qu'ils représentaient. Aussi n'est-ce pas étonnant que les Israélites, acculés à la Mer Rouge dans leur fuite, aient été terrifiés à leur approche. La mort leur semblait inéluctable ; soit par noyade dans la mer, soit sois les traits des archers montés sur leurs chars !

    Ils ignoraient alors que le plan de Dieu n'était pas uniquement de les libérer de leur esclavage mais également de se glorifier par cette délivrance. Et plus spectaculaire serait la victoire.
    Ils devaient cependant apprendre que non seulement Dieu avait tout prévu mais qu'ils seraient entièrement délivrés : "l'Éternel combattra pour vous et vous, vous demeurerez tranquilles" (Ex. 14. 14). Après la victoire, les fils d'Israël évoquent l'extraordinaire moyen déployé par Dieu pour qu'ils puissent marcher "à sec au milieu de la mer", et la destruction de l'armée du pharaon : "les eaux retournèrent et couvrirent les chars...", "les chars... il les a jetés dans la mer", "le cheval est entré dans la mer avec son char... et l'Éternel a fait retourner sur eux les eaux de la mer".
    Il fallait que la puissance du pharaon soit anéantie, que ses chars, l'une des sources de sa force, soient engloutis pour que le peuple soit délivré et que Dieu soit glorifié : "Jah... a été mon salut" (15. 2). Ce récit illustre la victoire complète du Seigneur sur Satan pour nous sauver de la mort et glorifier Dieu. Lire Hébreux 2. 14, 15. Cependant, comme les Israélites, quoique "délivrés du pouvoir des ténèbres" (Col. 1. 13), nous avons des adversaires dont la puissance peut être assimilée aux chars égyptiens.
    Pour les vaincre, Dieu nous équipe d'une armure complète (Eph. 6. 10-18), comme nous le verrons demain par l'exemple de Josué.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Ne nous lassons pas de faire le bien. Galates 6. 9

    Surmonte le mal par le bien. Romains 12. 21

     

    Évoquant plusieurs dégradations et actes de violence commis dans sa ville, une personnalité déclarait récemment : “On n'a plus le sens du bien, et c'est terrible”. La violence est l'une des conséquences tragiques de la séparation morale de l'homme d'avec Dieu, survenue dès l'origine. Le premier meurtre se produit peu de temps après (Genèse 4. 8). Plus encore, aujourd'hui dans bien des domaines on ne fait plus de distinction claire entre le bien et le mal.

    Pourtant, à la suite de son péché, l'homme a acquis la connaissance du bien et du mal : il a une conscience. Mais celle-ci peut être endurcie, comme anesthésiée, et même “cautérisée”, c'est-à­-dire rendue définitivement insensible (1 Timothée 4. 2). Il y a pire encore : en venir à “appeler le mal bien et le bien mal” (Ésaïe 5. 20).

    Pour que notre conscience reste un guide fiable, nous devons nous laisser éclairer par Dieu, par sa Parole : elle “discerne les pensées et les intentions du cœur” (Hébreux 4. 12). La Bible nous apprend aussi qu'il n'y a pas de bien en nous-mêmes (Romains 7. 18). Mais si nous croyons en Jésus, Dieu nous accorde le pardon de nos fautes, et nous donne une nouvelle nature, capable de garder le “sens du bien” et même de l'accomplir.

    De plus, le Saint Esprit vient habiter dans le croyant pour l'éclairer, le conduire, et l'avertir si nécessaire. Oui, la relation établie avec Dieu par la conversion nous permet de faire la différence entre le bien et le mal, et nous donne la puissance d'agir d'une manière qui lui plaise, et qui l'honore.

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Une ville forcée et sans murailles, tel est l’homme qui n’est point maître de lui-même." Proverbes 25.28

     

    La maîtrise de soi procure une sensation agréable d'aptitude. Comme une voiture dont le moteur a été réglé avec précision, vous n'avez aucun mal à garder le bon cap. La maîtrise de soi engendre la confiance et un sentiment intérieur de sécurité.

    La course dans laquelle nous sommes engagés est infiniment plus importante que n'importe quel événement sportif sur la terre.

    La maîtrise de soi et la discipline personnelle sont aussi des facteurs déterminants pour tous les succès que vous désirez remporter dans cette vie. Sans discipline, vous n'accomplirez probablement rien qui ait une valeur durable.

    C'est ce qu'a compris l'apôtre Paul lorsqu'il a écrit : "Tous les athlètes s'imposent une discipline sévère dans tous les domaines pour recevoir une couronne qui pourtant sera bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais" (1 Corinthiens 9.25).

    Les athlètes olympiques s'entraînent pendant des années pour avoir une chance de connaître un bref moment de gloire. Mais la course dans laquelle nous sommes engagés est infiniment plus importante que n'importe quel événement sportif sur la terre. La maîtrise de soi n'est donc pas une qualité facultative pour les chrétiens.

    Comment peut-on l'acquérir ?

    Admettez que vous avez un problème. Pour apprendre la maîtrise de soi, je dois commencer par regarder en face ce que Dieu a déclaré à mon sujet : je suis responsable de mon comportement. Jacques 1.14 nous dit : "Lorsque nous sommes tentés, ce sont les mauvais désirs que nous portons en nous qui nous attirent et nous séduisent". Comprenez-vous le sens de ces paroles ? Jacques affirme ici que vous agissez de telle et telle manière parce que vous y trouvez du plaisir. Quand je fais quelque chose que je sais être mauvais pour moi, je le fais parce que cela me plaît. Je veux le faire, j'obéis à un désir intérieur.

    Voulez-vous être davantage maître de vous-même ? Reconnaissez que vous avez un problème et soyez précis. Commencez par prier spécifiquement pour les domaines où vous rencontrez des difficultés.

    Mettez votre passé derrière vous : "[…] oubliant ce qui est derrière moi, et tendant toute mon énergie vers ce qui est devant moi, je poursuis ma course vers le but…" (Philippiens 3.13-14).

    Ce verset dénonce une idée erronée qui vous empêchera d'apprendre à vous dominer, selon laquelle un échec en entraîne un autre.

    Un échec passé ne veut pas dire que vous ne pourrez jamais changer. Par contre, si vous vous concentrez sur vos manquements passés, vous avez toutes les chances d'entrer dans ce cercle vicieux. C'est comme si vous conduisiez une voiture en regardant constamment dans le rétroviseur. Vous ne manquerez pas d'entrer en collision avec ce qui est devant vous. Demandez à Dieu de vous aider à mettre votre passé derrière vous.

    Une action pour aujourd'hui

    Cette pensée vous a parlé ? Décidez de la mettre en pratique et développez la maîtrise de soi. 

     
    Source (La Pensée du Jour)
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  • "Pilate leur dit : Lequel voulez-vous que je vous relâche, Barabbas, ou Jésus qui est appelé Christ ?... Les principaux sacrificateurs et les anciens persuadèrent les foules de demander Barabbas et de faire périr Jésus. Reprenant la parole, le gouverneur leur dit : Lequel voulez-vous que je vous relâche ? Ils dirent : Barabbas ! Pilate leur dit : Que ferai-je donc de Jésus, qui est appelé Christ ? Ils disent tous : Qu'il soit crucifié !" Matthieu 27. 17-22

     

    Jésus s'est laissé prendre par les gardes des chefs religieux Juifs. Ainsi qu'il l'avait annoncé à ses disciples, il est livré par eux aux mains des nations, traîné devant Ponce Pilate, le gouverneur romain. Celui-ci déclare à plusieurs reprises qu'il n'a trouvé en Jésus aucun crime qui mérite la mort.

    Pour soulager sa conscience tout en contentant la foule manipulée par ses chefs, il propose de libérer un de ses prisonniers, sot Jésus, soit Barabbas, un voleur de grand chemin, emprisonné pour sédition et meurtre. En tant que rebelle à l'autorité romaine, il était sans doute très populaire parmi ses compatriotes.
    La foule choisit à grand cri le meurtrier. Elle demande la mort de Jésus, venu du ciel afin de représenter Dieu et son amour. C'est l'opposition entre les ténèbres et la lumière. Et les hommes choisissent les ténèbres.
    Ils n'ont pas supporté la lumière qui éclairait leur état intérieur. Ils ont répondu à l'amour de Jésus par la haine. Ils sont jaloux parce qu'ils ne possèdent pas la grâce et la bonté dont Jésus est remplit : "Ils m'ont rendu le mal par le bien, et la haine pour mon amour" (Ps. 109. 5).
    À première vue, les ennemis de Jésus semblent remporter une victoire : ils font mourir celui qu'ils refusent de reconnaître comme le Messie. En fait, la vraie victoire, c'est Jésus qui la remporte par son amour et son obéissance. Il accepte de prendre la place des coupables sous la sentence divine contre le péché. Celui qui a créé les mondes prend par amour la place de ses créatures révoltées, pour expier leurs péchés. Existe-t-il un plus grand amour ?
    Grâce à son œuvre, tous ceux qui se repentent et acceptent Jésus comme Sauveur et Seigneur entrent dans la lignée de la foi. Ainsi en est-il du brigand converti sur la croix, tandis que l'autre meurtrier reste dans la lignée des hommes perdus.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • [Jésus] a été enseveli, et il a été ressuscité le troisième jour, selon les Écritures ; il a été vu de Céphas, puis des douze. Ensuite il a été vu de plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont demeurés en vie jusqu'à présent. 1 Corinthiens 15. 4-6

     

    On s'insurge, à juste titre, quand de soi-disant historiens nient la réalité de l'extermination des Juifs par les nazis. Pourtant le fait n'est pas si lointain dans le temps, de multiples preuves existent, en particulier le témoignage des survivants des camps de concentration.

    Le fait de vouloir donner une version faussée de l'histoire n'est pas nouveau. L'évangéliste Matthieu nous raconte que les responsables de Jérusalem ne voulaient pas que la résurrection de Jésus soit connue du peuple. Ils ont alors soudoyé les soldats pour que ceux-ci disent que ses disciples étaient venus dérober son corps dans le tombeau. “Les soldats prirent l'argent et se conformèrent aux instructions reçues; c'est ce récit qui s'est répandu parmi les Juifs jusqu'à aujourd'hui” (Matthieu 28. 15).

    La réalité de la résurrection de Jésus, pourtant confirmée par des centaines de témoins, est ainsi largement niée, même dans les pays christianisés. Cette résurrection demeure cependant le fondement de la foi chrétienne. Elle est la preuve que la justice de Dieu a été satisfaite par le sacrifice de son Fils, et elle assure le pardon des péchés et la vie éternelle à ceux qui mettent leur confiance en Jésus Christ.

    Réfléchissons ! La vérité historique est ce qu'elle est; le fait de la nier n'y change rien. Plutôt que de mettre en doute la résurrection de Jésus Christ, examinons les conséquences de ce fait unique dans l'histoire. “Croyez en Dieu qui l'a ressuscité d'entre les morts et lui a donné la gloire, en sorte que votre foi et votre espérance soient en Dieu” (1 Pierre 1. 21).

    Source (La Bonne Semence)

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