• “Faites tout sans vous plaindre et sans discuter. Ainsi vous serez innocents, on n’aura rien à vous reprocher. Vous serez des enfants de Dieu sans défaut, au milieu de gens malhonnêtes et mauvais. Parmi ces gens-là, vous brillez comme des lumières dans le monde.” Philippiens 2.14­-15

     

    En 2010, je me suis rendu en Afrique du Sud pour la “conférence pour l'évangélisation du monde”. J'avais pris l'engagement devant Dieu de ne me plaindre sous aucun prétexte, durant toute la conférence, quoi qu'il arrive. Les premiers jours, j'ai tenu cet engagement malgré de nombreux désagréments logistiques. Mais lors d'une réunion qui abordait le thème de l'évangélisation sur Internet, je me suis offusqué par l'absence de référence au TopChrétien ou à moi. J'étais pourtant membre du comité de stratégie de cette organisation : comment pouvait-elle omettre de mentionner mon ministère, pensais-je avec orgueil...

    La meilleure manière de changer notre état d'esprit est d'être rempli de reconnaissance.

    J'étais tellement fâché que j'ai quitté la réunion, refusant de fréquenter une seconde de plus cette conférence qui me semblait, tout à coup, dénuée de tout intérêt. Très en colère, je n'ai pas cessé de me plaindre durant tout le trajet, reniant l'engagement que j'avais pris devant Dieu quelques jours auparavant.

    De retour à l'hôtel, je fus pris d'une conviction de péché et me mis à pleurer. J'avais mal agi. Le problème ne venait pas de cette organisation. Le problème venait de moi. J'ai demandé pardon à Dieu pour mon attitude ingrate et à mon entourage pour mon comportement désagréable. Dès ce moment, je me suis senti libre, victorieux dans mes pensées, et désireux de persévérer dans mon engagement initial, qui consistait à ne me plaindre sous aucun prétexte. Suite à cela, Dieu m'a permis de faire une incroyable connexion divine lors de cette conférence !

    Notre culture est empreinte de négativisme, de pessimisme et de revendication. Nous sommes formatés pour nous plaindre. Mais Dieu désire nous réformer et nous transformer par un changement de mentalité. Zig Ziglar a dit : “Notre attitude (et non notre aptitude) détermine notre altitude.” Une attitude de reconnaissance, pleine de gratitude, influence notre regard sur les circonstances, et laisse à Dieu la porte ouverte pour intervenir en notre faveur !

    Une action pour aujourd'hui

    La meilleure manière de changer notre état d'esprit est d'être rempli de reconnaissance. Êtes-vous reconnaissant ou râleur ? Victime ou victorieux ? Pessimiste ou optimiste ? Avez-vous expérimenté à quel point votre attitude, à l'égard du Seigneur et des autres, a le pouvoir de transformer votre environnement ? C'est le moment d'être renouvelé ! Allez, et brillez !

    Source (La Pensée du Jour)

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  • "L'athlète n'est pas couronné s'il n'a pas lutté selon les règles." 2 Timothée 2. 5

     

    La lutte dont il est question ici est un de ces jeux sportifs qui passionnaient toute la Grèce antique. Ils étaient aussi populaires que le football aujourd'hui. Pour toutes ces compétitions, comme pour les entraînements qui les précédaient, il y avait des règles que les athlètes devaient respecter s'il ne voulaient pas être écartés de la victoire ou même disqualifié.

    Dans l'image présentée par l'apôtre, l'accent n'est pas mis sur la victoire, mais sur la condition pour pouvoir y prétendre : respecter les règles du jeu. L'application de cette comparaison est facile : il est impératif que le croyant obéisse à la volonté du Seigneur, s'il veut lui plaire dans sa vie.
    Bien sûr, pour lutter, on ne peut pas rester simple spectateur ; il faut être là où se disputent les épreuves. En effet, si les luttes représentent pour nous des expériences que le Seigneur nous propose, nous pouvons parfois choisir de les éviter ; par exemple nous négligeons un appel du Seigneur à abandonner quelque chose par amour pour lui. Si nous faisons la sourde oreille, nous perdrons certainement l'approbation du Maître et une récompense éternelle. En revanche, si, par obéissance, nous répondons jusqu'au bout ce que le Seigneur nous a demandé, nous serons parmi les vainqueurs. Pour la gloire de qui ? Celle de Jésus, notre Seigneur !
    C'est sur la terre que l'occasion nous est offerte de gagner une couronne. On l'a dit : « Nous aurons toute l'éternité pour jouir des victoires, mais il ne nous reste que quelques heures de jour pour les remporter ! »
    Les différentes récompenses seront données au tribunal de Christ. Là, il n'y aura pas de condamnation pour le croyant, mais toutes ses œuvres seront révélées. Devant Christ assis sur son trône, nous pourrons alors, dans des corps glorifiés, revoir toute notre vie, nos circonstances et considérer avec sa parfaite perception du bien et du mal chacun des actes de notre vie (2 Cor. 5. 10). Aurai-je une couronne à déposer aux pieds de Christ ? Ce que j'aurai cherché à faire pour le Seigneur aura-t-il été accompli "selon les règles", c'est-à-dire dans l'obéissance à sa Parole ? Il sera alors trop tard pour se poser ces questions. Il importe d'y répondre maintenant et d'agir par amour pour celui qui a donné sa vie pour nous.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • Si vous vous livrez vous-mêmes à quelqu'un pour lui obéir comme des esclaves, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché pour la mort, soit de l'obéissance pour la justice. Romains 6. 16

    Si donc le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres. Jean 8. 36

     

    Je me souviens de ce camarade de service militaire qui, au cours d'une séance de vaccination, apparut torse nu avec cet impressionnant tatouage : “Ni Dieu, ni Maître”. Mais chacun savait à quel point l'alcool et l'immoralité avaient de l'emprise sur lui.

    C'est l'erreur de bien des personnes de croire qu'elles peuvent librement disposer d'elles-mêmes et qu'elles ne subissent aucune influence. Obéir à un mauvais penchant, céder à une tentation toutes les fois qu'elle se présente, c'est en être esclave. Depuis qu'il a été chassé du paradis à la suite de sa désobéissance, l'homme se trouve sous la domination du diable, celle du “pouvoir des ténèbres”. Dieu veut l'en arracher, l'amener à la conversion qui le fera passer de ces ténèbres morales à la lumière de sa présence. Mais nous ne serons délivrés que si nous y consentons. Il n'existe en fait pas de terrain neutre entre la lumière et les ténèbres : ou l'on appartient à Dieu, ou l'on a Satan pour maître. L'homme ressemble à un navire qui doit nécessairement être dirigé. Si Dieu n'en est pas le capitaine, vous devinez qui en prendra le gouvernail : Satan.

    Vous désirez une pleine délivrance ? Faites le choix de Jésus Christ pour Dieu et pour Maître. La vraie liberté, c'est de le croire et de le servir !

    Source (La Bonne Semence)

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  • "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." Jean 3.16

     

    Êtes-vous persuadé que Dieu vous aime ?

    Dieu vous aime !

    Il est facile de sentir son amour quand tout va bien. Mais quand la situation se complique… que vous perdez votre emploi ou que la maladie touche votre foyer, il est beaucoup plus difficile de se dire que Dieu connaît votre situation et qu'il vous aime, qu'il est pour vous et qu'il ne cessera jamais de marcher à côté de vous.

    À une époque, j'avais décidé de mettre au point un enseignement vraiment puissant. Je voulais étudier les vérités profondes, pour pouvoir les présenter de telle manière que tous ceux qui entendent mes conférences acquièrent une meilleure compréhension de leur relation spirituelle avec Dieu. Je voulais dévoiler les significations cachées et être messagère d'une révélation nouvelle.

    Quand j'ai prié Dieu de me montrer ce que je devais étudier plus précisément, j'ai senti qu'il me demandait de dire à mes auditeurs qu'il les aime. Rien d'autre que la vérité toute simple de son amour. J'étais abasourdie. Tout le monde dans cet auditoire, connaissait le passage de Jean 3.16. Je trouvais qu'il n'y avait là aucune vérité nouvelle ou cachée.

    Or j'ai appris que ce n'était pas le cas. En réalité, très rares sont ceux qui savent que Dieu leur porte un amour inconditionnel… quoi qu'il arrive, quoi qu'ils fassent. Il vous suffit de regarder autour de vous : si les gens savaient combien Dieu les aime… ils se comporteraient tout à fait différemment.

    Peu importe le nombre de fois que vous avez récité Jean 3.16, la connaissance intellectuelle ne vous sert à rien. Elle a besoin de se transformer en connaissance du cœur. Une fois que vous aurez eu la révélation de cette vérité, nul ne pourra vous l'enlever ou vous faire croire le contraire. Vous le SAUREZ, un point c'est tout.

    Une fois que vous saurez que Dieu vous aime, vous serez capable de recevoir son amour. Et une fois que vous pourrez recevoir cet amour, vous pourrez pleinement obéir à son commandement d'aimer les autres. Vous saurez faire passer leurs besoins avant les vôtres, leur pardonner et les servir. Vous ne pouvez pas véritablement aimer les autres tant que vous ne SAVEZ pas que Dieu vous aime !

    Une clé pour aujourd'hui

    Vous avez besoin d'approfondir votre relation avec Dieu ? Alors prenez le temps de vous approcher de lui et laissez-le vous sonder. 

    Source (La Pensée du Jour)

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  • "Qui de nous montera le premier contre le Cananéen, pour lui faire la guerre ? Et l'Éternel dit : Juda montera ; voici j'ai livré le pays en sa main. Et Juda dit à Siméon, son frère : Monte avec moi."
    "Juda prit Gaza et ses confins... il ne déposséda pas les habitants de la vallée parce qu'ils avaient des chars de fer." Juges 1. 1-3, 18, 19
    "Il ne demeura pas d'Anakim dans le pays des fils d'Israël ; il n'en resta seulement dans Gaza, dans Gad et dans Asdod." Josué 11. 23

     

    Moïse avait vécu la victoire de Dieu sur l'armée du pharaon et ses chars, Josué avait fait une expérience semblable contre la coalition de Jabin, en Canaan ; dorénavant c'est aux tribus d'assumer la poursuite de la conquête.

    Quand ils demandent qui sera le premier à livrer bataille, Dieu désigne Juda, la royale en précisant qu'il a "livré le pays en sa main".
    Premier faux pas : Juda demande à son frère Siméon de l'accompagner. Pourquoi recourir à une aide humaine puisque la victoire était assurée ? Dans sa bienveillance, Dieu ne revient pas sur sa promesse et Juda conquiert Tsephath, aux confins d'Édom, ainsi que trois villes de la pentapole philistine, dont Gaza, la plus importante. Encore eût-il fallu parachever la conquête en dépossédant les habitants et en détruisant les chars de fer.
    Deuxième faux pas : au manque de foi la crainte et ni l'un ni l'autre de ces deux commandements essentiels ne fut respecté. Depuis lors, la Philistie est devenue l'ennemi pas excellence d'Israël. Elle fut de tout temps le repaire des Anakim, dont un certain Goliath, et Gaza ne fut jamais totalement conquise. Les frontières des royaumes de Salomon et d'Ézéchias ne s'étendirent que temporairement "jusqu'à Gaza" (1 Rois 4. 24 ; 2 Rois 18. 8).
    Cette malencontreuse expérience de la tribu de Juda montre que l’œil humain minimise nos faiblesses qualifiée d'excès de prudence et de crainte exagérée. Dieu a un autre regard ; il a vu le manque de foi et l'insoumission ; la suite des événements l'a prouvé.
    Ce récit, tellement opposée à la conduite adoptée par Josué, nous encourage à choisir celle de ce dernier si riche en bénédiction pour lui et pour tout Israël.
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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